Dans le dossier du rachat de Transat France par TUI, c'est désormais au tour de l'Union européenne de jouer - Photo : JOVO-Fotolia.com
Depuis l'officialisation de l'ouverture de négociations exclusives entre TUI et Transat pour la vente de Transat France et Tourgreece le 11 mai 2016, le dossier n'a pas vraiment avancé.
Les deux groupes restent dans l'attente d'une réaction de Bruxelles.
Les autorités de la concurrence de l'Union Européenne (UE) doivent en effet rendre une notification pour permettre à l'opération de poursuivre son cours.
Mais, selon nos informations, les salariés comme les directions de Transat et de TUI vont devoir encore patienter puisqu'ils n'ont pas reçu cette fameuse notification mardi 30 août 2016 comme prévu.
Bruxelles a pris un peu de retard.
Les deux groupes restent dans l'attente d'une réaction de Bruxelles.
Les autorités de la concurrence de l'Union Européenne (UE) doivent en effet rendre une notification pour permettre à l'opération de poursuivre son cours.
Mais, selon nos informations, les salariés comme les directions de Transat et de TUI vont devoir encore patienter puisqu'ils n'ont pas reçu cette fameuse notification mardi 30 août 2016 comme prévu.
Bruxelles a pris un peu de retard.
"Les salariés se posent beaucoup de questions"
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Du côté de TUI France, un comité d'entreprise extraordinaire était virtuellement prévu vendredi 2 septembre 2016, dans les 3 jours qui suivent la notification comme cela est légalement prévu. Il n'aura pas lieu.
"Cela sera certainement reporté à la semaine prochaine, analyse Lazare Razkallah, délégué CGT et secrétaire général du CE de TUI France.
D'ici là, nous restons en attente. Les salariés continuent de se poser beaucoup de questions." (Lire : Rachat Transat France par TUI : les salariés des 2 groupes s'inquiètent pour leur avenir)
Le rachat de Transat France par TUI va-t-il aboutir sur une absorption ou une nouvelle entité va-t-elle être créée ?
Un plan social sera-t-il mis en place ? Les CE vont-ils fusionner ou un comité central d'entreprise (CCE) verra-t-il le jour ? Que vont devenir les 3 sièges ?
Des interrogations qui pourront trouver des réponses dès que Bruxelles aura rendu sa notification sur la concurrence.
"Cela sera certainement reporté à la semaine prochaine, analyse Lazare Razkallah, délégué CGT et secrétaire général du CE de TUI France.
D'ici là, nous restons en attente. Les salariés continuent de se poser beaucoup de questions." (Lire : Rachat Transat France par TUI : les salariés des 2 groupes s'inquiètent pour leur avenir)
Le rachat de Transat France par TUI va-t-il aboutir sur une absorption ou une nouvelle entité va-t-elle être créée ?
Un plan social sera-t-il mis en place ? Les CE vont-ils fusionner ou un comité central d'entreprise (CCE) verra-t-il le jour ? Que vont devenir les 3 sièges ?
Des interrogations qui pourront trouver des réponses dès que Bruxelles aura rendu sa notification sur la concurrence.
Nomination de cabinets experts
Les CE extraordinaires qui se tiendront au sein des deux groupes dans les trois jours qui suivent aboutiront également sur la nomination de cabinets experts.
Ceux-ci auront pour mission de suivre et de contrôler le bien-fondé de l'opération.
Ce sont eux qui analyseront sa pertinence économique, stratégique et financière et les éventuelles conséquences sociales et financières de la vente.
Ils étudieront également le business plan combiné ainsi que les risques et les opportunités sur le plan économique, social et financier.
Ils rendront un rapport qui sera suivi par la validation ou l'invalidation finale par l'Union européenne de l'opération.
Une décision qui doit légalement intervenir dans les 45 jours qui suivent la notification tant attendue dans les jours qui viennent.
Ceux-ci auront pour mission de suivre et de contrôler le bien-fondé de l'opération.
Ce sont eux qui analyseront sa pertinence économique, stratégique et financière et les éventuelles conséquences sociales et financières de la vente.
Ils étudieront également le business plan combiné ainsi que les risques et les opportunités sur le plan économique, social et financier.
Ils rendront un rapport qui sera suivi par la validation ou l'invalidation finale par l'Union européenne de l'opération.
Une décision qui doit légalement intervenir dans les 45 jours qui suivent la notification tant attendue dans les jours qui viennent.