TourMaG.com - Avignon va accueillir lundi le "Rendez-vous France, Grand Sud-Avignon-Vaucluse". Quels en sont les objectifs ?
Patrick Mennucci :"L'enjeu est, bien sûr de mettre en contact les réceptifs régionaux et les tour opérateurs étrangers. Il était normal qu'après Marseille et Saint Tropez en 1989 et 1994 et Saint Rémy en 1990, vienne le tour du Vaucluse qui est une grande destination.
C'était aussi l'occasion de donner un coup de pouce à cette région, après les problèmes qu'elle a connus l'année dernière avec l'annulation du Festival..."
T.M.com - Qu'attendez-vous de cette prestigieuse manifestation ?
P.M. :"J'attends que les uns comme les autres puissent se rencontrer et faire des affaires ensemble. Vous connaissez le principe de fonctionnement : ce sont les voyagistes étrangers qui viennent rencontrer les réceptifs du sud de la France.
C'est une sorte de "salon à l'envers". Pour moi ce sera aussi une sorte d'aboutissement de ma mission puisque le 10 mai prochain je ferai ma dernière intervention en matière de tourisme même si je reste au conseil d'administration..."
T.M.com - Vous allez passer la main ?
P.M. :"En effet, j'ai beaucoup aimé cette mission et ce départ me rend nostalgique, mais je ne pourrais pas assurer la charge de Vice-président en charge de l'Education et de la Formation permanente tout en poursuivant mes responsabilités d'élu en matière de tourisme. Même si cela me rend nostalgique... Je proposerai donc lors de la prochaine assemblée générale du CRT, la candidature à la présidence de Jean-Marc Coppola, marseillais et élu régional communiste."
T.M.com - La sensibilité politique de votre successeur pourrait-elle changer les orientations définies dans le Plan Marketing par exemple ?
P.M. :"Je ne pense pas que les stratégies actuellement en cours en matière de marketing touristique changeront radicalement. Jean-Marc Coppola a reconnu qu'il y avait eu du "bon travail" de fait.
Bien entendu il y mettra sa touche personnelle avec davantage de tourisme social mais, fondamentalement il devrait poursuivre sur la lancée. En effet, le plan marketing arrêté et ses orientations s'imposent à tous, car il s'agit d'un document contractuel. Bien entendu, on peut y modifier des choses tout en en respectant le côté formel..."
Patrick Mennucci :"L'enjeu est, bien sûr de mettre en contact les réceptifs régionaux et les tour opérateurs étrangers. Il était normal qu'après Marseille et Saint Tropez en 1989 et 1994 et Saint Rémy en 1990, vienne le tour du Vaucluse qui est une grande destination.
C'était aussi l'occasion de donner un coup de pouce à cette région, après les problèmes qu'elle a connus l'année dernière avec l'annulation du Festival..."
T.M.com - Qu'attendez-vous de cette prestigieuse manifestation ?
P.M. :"J'attends que les uns comme les autres puissent se rencontrer et faire des affaires ensemble. Vous connaissez le principe de fonctionnement : ce sont les voyagistes étrangers qui viennent rencontrer les réceptifs du sud de la France.
C'est une sorte de "salon à l'envers". Pour moi ce sera aussi une sorte d'aboutissement de ma mission puisque le 10 mai prochain je ferai ma dernière intervention en matière de tourisme même si je reste au conseil d'administration..."
T.M.com - Vous allez passer la main ?
P.M. :"En effet, j'ai beaucoup aimé cette mission et ce départ me rend nostalgique, mais je ne pourrais pas assurer la charge de Vice-président en charge de l'Education et de la Formation permanente tout en poursuivant mes responsabilités d'élu en matière de tourisme. Même si cela me rend nostalgique... Je proposerai donc lors de la prochaine assemblée générale du CRT, la candidature à la présidence de Jean-Marc Coppola, marseillais et élu régional communiste."
T.M.com - La sensibilité politique de votre successeur pourrait-elle changer les orientations définies dans le Plan Marketing par exemple ?
P.M. :"Je ne pense pas que les stratégies actuellement en cours en matière de marketing touristique changeront radicalement. Jean-Marc Coppola a reconnu qu'il y avait eu du "bon travail" de fait.
Bien entendu il y mettra sa touche personnelle avec davantage de tourisme social mais, fondamentalement il devrait poursuivre sur la lancée. En effet, le plan marketing arrêté et ses orientations s'imposent à tous, car il s'agit d'un document contractuel. Bien entendu, on peut y modifier des choses tout en en respectant le côté formel..."