Baptême du tout premier Dreamliner de la compagnie Royal Air Maroc, qui se posera à Orly jusqu'en février. DR-LAC
Premiers tours d'échauffement pour le tout nouveau Dreamliner de Royal Air Maroc.
Le Boeing 787 se posera à Paris Orly jusqu'au 8 février avant de relier Casablanca et New York à partir du 20 février, non sans avoir fait un rapide tour à Dakar.
Il s'agit du premier appareil de la compagnie, qui devrait en recevoir un second en juin, un troisième à la fin de l'année et le dernier en 2016. Un cinquième est également en option.
Configuré pour accueillir 18 passagers en classe Affaires et 256 en Economie, il s'agit du nouveau fleuron de la flotte marocaine, symbole du renouveau de la compagnie.
En effet, depuis maintenant deux ans, Royal Air Maroc s'est entièrement restructurée, supprimant les lignes non-rentables et se séparant d'une grande partie de ses employés.
Rien qu'en France, tous les bureaux en province ont été fermés. L'équipe est passée de 100 à 42 employés.
Cette restructuration a porté ses fruits puisque la RAM est à nouveau bénéficiaire. Elle a transporté plus de 6 millions de passagers au terme de l'exercice 2014 (novembre 2013 à fin octobre 2014) en hausse de 6%.
Le Boeing 787 se posera à Paris Orly jusqu'au 8 février avant de relier Casablanca et New York à partir du 20 février, non sans avoir fait un rapide tour à Dakar.
Il s'agit du premier appareil de la compagnie, qui devrait en recevoir un second en juin, un troisième à la fin de l'année et le dernier en 2016. Un cinquième est également en option.
Configuré pour accueillir 18 passagers en classe Affaires et 256 en Economie, il s'agit du nouveau fleuron de la flotte marocaine, symbole du renouveau de la compagnie.
En effet, depuis maintenant deux ans, Royal Air Maroc s'est entièrement restructurée, supprimant les lignes non-rentables et se séparant d'une grande partie de ses employés.
Rien qu'en France, tous les bureaux en province ont été fermés. L'équipe est passée de 100 à 42 employés.
Cette restructuration a porté ses fruits puisque la RAM est à nouveau bénéficiaire. Elle a transporté plus de 6 millions de passagers au terme de l'exercice 2014 (novembre 2013 à fin octobre 2014) en hausse de 6%.
La compagnie veut devenir un acteur majeur en Afrique
Autres articles
-
Véloscénie : "Nous avons l’ambition de rendre désirable le voyage à vélo"
-
Les Jeux Olympiques, le déclencheur de la saison touristique estivale
-
Paris Île-de-France : quelle fréquentation touristique avec les JO ?
-
JO 2024 : 100 000 passagers internationaux attendus sur 4 jours
-
JO : Civitatis propose une visite panoramique de Paris
La France et ses huit destinations représentent 2 millions de passagers, un chiffre en stagnation.
Il faut dire que le contexte n'est pas vraiment favorable à la destination. "L'activité est difficile depuis septembre, avec la publication de la carte du Quai d'Orsay" remarque Tarik Benyoucef, le représentant régional à Paris.
Et les attentats début janvier n'ont pas arrangé les choses, marquant un net ralentissement dans les ventes BSP.
Toutefois, il veut rester optimiste et table cette année sur une progression de 8% sur le marché français, tant en terme de chiffre d'affaires que de passagers.
"J'espère que les ventes seront excellentes sur l'été. Car nos clients Marocains ou Africains qui vivent en Europe continueront de voyager, quoi qu'il arrive".
De toute façon, ce n'est pas vraiment en France que la compagnie compte trouver de nouveaux relais de croissance.
Tous ses regards sont aujourd'hui tournés vers l'Afrique, un continent dynamique où la croissance du trafic aérien dépasse les 5% par an.
L'an passé, Royal Air Maroc a d'ailleurs enregistré une progression de 16% sur ses 32 destinations africaines, faisant voyager près de 1,3 millions de passagers.
Elle se rêve ainsi en compagnie panafricaine et nourrit de grandes ambitions pour son hub de Casablanca.
Car au delà des Etats-Unis, elle aimerait également poser ses avions en Asie, et plus précisément à Beijing.
Il faut dire que le contexte n'est pas vraiment favorable à la destination. "L'activité est difficile depuis septembre, avec la publication de la carte du Quai d'Orsay" remarque Tarik Benyoucef, le représentant régional à Paris.
Et les attentats début janvier n'ont pas arrangé les choses, marquant un net ralentissement dans les ventes BSP.
Toutefois, il veut rester optimiste et table cette année sur une progression de 8% sur le marché français, tant en terme de chiffre d'affaires que de passagers.
"J'espère que les ventes seront excellentes sur l'été. Car nos clients Marocains ou Africains qui vivent en Europe continueront de voyager, quoi qu'il arrive".
De toute façon, ce n'est pas vraiment en France que la compagnie compte trouver de nouveaux relais de croissance.
Tous ses regards sont aujourd'hui tournés vers l'Afrique, un continent dynamique où la croissance du trafic aérien dépasse les 5% par an.
L'an passé, Royal Air Maroc a d'ailleurs enregistré une progression de 16% sur ses 32 destinations africaines, faisant voyager près de 1,3 millions de passagers.
Elle se rêve ainsi en compagnie panafricaine et nourrit de grandes ambitions pour son hub de Casablanca.
Car au delà des Etats-Unis, elle aimerait également poser ses avions en Asie, et plus précisément à Beijing.