Le sort de SeaFrance pourrait être scellé ce lundi 9 janvier 2012.
Le tribunal de commerce de Paris doit étudier le projet de reprise soumis à partir de 10h.
Mais la cour peut également décider de mettre sa décision en délibéré et ainsi repousser à nouveau la date du jugement.
Le seul projet présenté au tribunal est celui monté par des salariés de la compagnies réunis en société coopérative (Scop) et soutenu par la CFDT.
Mais il ne serait soutenu que par environ 250 des 800 employés de l'entreprise, selon certaines sources proches du dossier.
Ces dernières dénoncent d'ailleurs les méthodes des syndicalistes CFDT.
Le tribunal de commerce de Paris doit étudier le projet de reprise soumis à partir de 10h.
Mais la cour peut également décider de mettre sa décision en délibéré et ainsi repousser à nouveau la date du jugement.
Le seul projet présenté au tribunal est celui monté par des salariés de la compagnies réunis en société coopérative (Scop) et soutenu par la CFDT.
Mais il ne serait soutenu que par environ 250 des 800 employés de l'entreprise, selon certaines sources proches du dossier.
Ces dernières dénoncent d'ailleurs les méthodes des syndicalistes CFDT.
Eurotunnel soutiendrait le projet de la Scop
Autres articles
-
MyFerryLink : un accord avec Eurotunnel et DFDS pour sauver 402 emplois
-
My Ferry Link fête son 1er anniversaire et bientôt son millionième voyageur
-
SeaFrance : Eurotunnel met la main sur les navires
-
SeaFrance : décision du tribunal reportée au 11 juin 2012
-
SeaFrance : pas de décision avant le 4 juin 2012
Selon des informations publiées par le quotidien économique Les Echos, la société Eurotunnel affiche son soutien au projet de reprise formulé par la Scop.
"Eurotunnel est candidat pour être majoritaire, quelque part entre 51% et 100%, dans une structure de portage qui reprendrait les navires de SeaFrance, pour ensuite les mettre à disposition de la Scop, qui serait l'opérateur de la compagnie", explique Jacques Gounon, Président-Directeur Général d'Eurotunnel.
"Eurotunnel est candidat pour être majoritaire, quelque part entre 51% et 100%, dans une structure de portage qui reprendrait les navires de SeaFrance, pour ensuite les mettre à disposition de la Scop, qui serait l'opérateur de la compagnie", explique Jacques Gounon, Président-Directeur Général d'Eurotunnel.