"Nos officiers de santé suivent de très près la situation et ont pris certaines mesures de manière à contrôler l'éventuelle diffusion du virus, mais la vie dans l'archipel continue comme avant tant pour les résidents que pour nos visiteurs.
Certains reportages internationaux ont décrit incorrectement la situation aux Seychelles comme traversant une épidémie et le virus lui-même comme une maladie incurable et épouvantable, ce qui est en absolue contradiction avec la réalité.
"Il n'existe pas de raison réelle de s'alarmer"
"A la lecture de ces faits, il parait évident qu'on a fait du chikungunya un virus beaucoup plus virulent qu'il ne l'est en réalité," dit le docteur Gédéon, le directeur général de la Santé communautaire. "Ce virus n'est "incurable" que dans le sens où un simple rhume est lui aussi "incurable", et n’a aucun effet durable.
Bien qu'il soit du devoir du Ministère de la Santé de prendre les choses sérieusement en mains, il n'existe pas de raison réelle de s'alarmer, étant donné notre capacité à empêcher l'expansion du virus jusqu'ici."
Le chikungunya est la transmission non mortelle d'un virus par des piqures de moustiques, et il se traduit automatiquement par de la fièvre, des douleurs musculaires, des irritations de la peau et occasionnellement de la nausée et des vomissements. La maladie dure entre 4 à 7 jours et se termine d'elle-même, même si des traitements symptomatiques, tels que des antidouleurs et du repos sont recommandés.
Ce virus, qui n'est pas endémique à nos îles, a sans doute été apporté aux Seychelles par une des nos îles voisines. Jusqu'à présent, moins de 2.000 cas ont été recensés depuis le premier cas détecté en juillet 2005, et la majorité des personnes qui ont été touchées ont déjà récupéré.
Il n'y a pas lieu de prendre des mesures spéciales
Des mesures préventives ont été prises par le Ministère de la Santé –ce qui inclut la mobilisation de groupes communautaires pour nettoyer les sites sur lesquels les moustiques auraient pu se développer- et ces mesures ont déjà porté leurs fruits car on constate une diminution des cas rapportés dans ces régions et les officiers de santé croient qu'il n'est plus qu'une question de temps avant que le virus soit complètement éliminé.
Etant donné que les moustiques sont particulièrement actifs le soir, et que les lieux d'hébergement de nos visiteurs sont en général climatisés, les chances d'être affectés par ce virus sont très peu probables.
Il est conseillé comme pour tous les pays tropicaux que les touristes peuvent évidemment s'équiper d'anti-moustiques comme une précaution pour leur voyage, mais il n'y a pas lieu de prendre des mesures spéciales pour voyager entre nos îles et dans l'archipel.
Certains reportages internationaux ont décrit incorrectement la situation aux Seychelles comme traversant une épidémie et le virus lui-même comme une maladie incurable et épouvantable, ce qui est en absolue contradiction avec la réalité.
"Il n'existe pas de raison réelle de s'alarmer"
"A la lecture de ces faits, il parait évident qu'on a fait du chikungunya un virus beaucoup plus virulent qu'il ne l'est en réalité," dit le docteur Gédéon, le directeur général de la Santé communautaire. "Ce virus n'est "incurable" que dans le sens où un simple rhume est lui aussi "incurable", et n’a aucun effet durable.
Bien qu'il soit du devoir du Ministère de la Santé de prendre les choses sérieusement en mains, il n'existe pas de raison réelle de s'alarmer, étant donné notre capacité à empêcher l'expansion du virus jusqu'ici."
Le chikungunya est la transmission non mortelle d'un virus par des piqures de moustiques, et il se traduit automatiquement par de la fièvre, des douleurs musculaires, des irritations de la peau et occasionnellement de la nausée et des vomissements. La maladie dure entre 4 à 7 jours et se termine d'elle-même, même si des traitements symptomatiques, tels que des antidouleurs et du repos sont recommandés.
Ce virus, qui n'est pas endémique à nos îles, a sans doute été apporté aux Seychelles par une des nos îles voisines. Jusqu'à présent, moins de 2.000 cas ont été recensés depuis le premier cas détecté en juillet 2005, et la majorité des personnes qui ont été touchées ont déjà récupéré.
Il n'y a pas lieu de prendre des mesures spéciales
Des mesures préventives ont été prises par le Ministère de la Santé –ce qui inclut la mobilisation de groupes communautaires pour nettoyer les sites sur lesquels les moustiques auraient pu se développer- et ces mesures ont déjà porté leurs fruits car on constate une diminution des cas rapportés dans ces régions et les officiers de santé croient qu'il n'est plus qu'une question de temps avant que le virus soit complètement éliminé.
Etant donné que les moustiques sont particulièrement actifs le soir, et que les lieux d'hébergement de nos visiteurs sont en général climatisés, les chances d'être affectés par ce virus sont très peu probables.
Il est conseillé comme pour tous les pays tropicaux que les touristes peuvent évidemment s'équiper d'anti-moustiques comme une précaution pour leur voyage, mais il n'y a pas lieu de prendre des mesures spéciales pour voyager entre nos îles et dans l'archipel.