"Nous avons convié les chefs de produit des tour-opérateurs, spécialisés dans la destination "Tahiti et ses îles, qui la connaissent déjà". Ils rencontreront au cours de ce séminaire les hôteliers, les réceptifs, la plupart des professionnels du tourisme de la Polynésie française", a expliqué le service de la communication du GIE Tahiti Tourisme.
"La Nouvelle-Zélande et l'Australie sont deux marchés qui travaillent en synergie. D'où un unique séminaire pour ces deux pays" a poursuivi le GIE. "Nous disposons de deux représentants pour le groupement sur cette zone, l'un à Auckland, l'autre à Sydney, qui travaillent avec le représentant d'Air Tahiti Nui, basé à Auckland".
Sept tour-opérateurs néo-zélandais, dont, pour les plus connus, Escape Holidays et Gulliver's Holidays, ont fait le déplacement. Tandis que neuf tour-opérateurs sont arrivés d'Australie, notamment Qantas Holidays et Orient Pacific.
Le marché australien et néo-zélandais dans le détail
L'ensemble poursuivra le séminaire en Polynésie par des séjours programmés dans les îles de Bora Bora (îles Sous-le-Vent), Rangiroa (archipel des Tuamotu) et Moorea (îles du Vent).
Alors que les Australiens ont déserté l'Asie (-43%) et l'Amérique du Nord (-5%) début 2003, leurs déplacements dans le Pacifique sud ont progressé de 10% cette même année.
Le bénéfice ne revient pas seulement à la Polynésie française. Au contraire, les Australiens ont opté pour Fidji ou encore le Vanuatu, moins chers et mieux desservis. Treize grossistes australiens commercialisent la destination polynésienne. Les prévisions pour 2004 sont évaluées à 7500 visiteurs.
Le marché néo-zélandais est tombé en panne début 2003. Cependant, le GIE Tahiti Tourisme enregistre aujourd'hui un regain de confiance et estime même à 3% la progression de ce marché pour 2004.
Les destinations concurrentes comme Fidji sont aujourd'hui très connues des néo-zélandais qui vont donc lui préférer la destination polynésienne, une destination de rêve, considérée accessible pour les privilégiés. La cherté de la destination polynésienne demeure toutefois un frein.
"La Nouvelle-Zélande et l'Australie sont deux marchés qui travaillent en synergie. D'où un unique séminaire pour ces deux pays" a poursuivi le GIE. "Nous disposons de deux représentants pour le groupement sur cette zone, l'un à Auckland, l'autre à Sydney, qui travaillent avec le représentant d'Air Tahiti Nui, basé à Auckland".
Sept tour-opérateurs néo-zélandais, dont, pour les plus connus, Escape Holidays et Gulliver's Holidays, ont fait le déplacement. Tandis que neuf tour-opérateurs sont arrivés d'Australie, notamment Qantas Holidays et Orient Pacific.
Le marché australien et néo-zélandais dans le détail
L'ensemble poursuivra le séminaire en Polynésie par des séjours programmés dans les îles de Bora Bora (îles Sous-le-Vent), Rangiroa (archipel des Tuamotu) et Moorea (îles du Vent).
Alors que les Australiens ont déserté l'Asie (-43%) et l'Amérique du Nord (-5%) début 2003, leurs déplacements dans le Pacifique sud ont progressé de 10% cette même année.
Le bénéfice ne revient pas seulement à la Polynésie française. Au contraire, les Australiens ont opté pour Fidji ou encore le Vanuatu, moins chers et mieux desservis. Treize grossistes australiens commercialisent la destination polynésienne. Les prévisions pour 2004 sont évaluées à 7500 visiteurs.
Le marché néo-zélandais est tombé en panne début 2003. Cependant, le GIE Tahiti Tourisme enregistre aujourd'hui un regain de confiance et estime même à 3% la progression de ce marché pour 2004.
Les destinations concurrentes comme Fidji sont aujourd'hui très connues des néo-zélandais qui vont donc lui préférer la destination polynésienne, une destination de rêve, considérée accessible pour les privilégiés. La cherté de la destination polynésienne demeure toutefois un frein.