Mercredi 27 avril, plus de 500 personnes s’étaient rassemblées mercredi à l’hôtel Grand Hyatt lors d’un Workshop où les professionnels du secteur sont venus échanger et prendre leurs marques, leurs commandes aussi, dans le contexte de lancement de ce nouveau produit d’Air Tahiti Nui (ATN).
Jean-Marc Hastings, directeur France et B elgique de ATN s’est également réjoui des commentaires des professionnels, des prescripteurs notamment. «On a lancé les invitations et les décideurs sont venus, ce qui n’est pas forcément simple à concevoir un mercredi matin à New York. Tout cela est plutôt un bon baromètre pour la suite », notait M. Hastings.
Jeudi lors d’un vol inaugural (JFK-JFK une première NDLR), l'ouverture de la ligne prenait ainsi symboliquement vie au départ de l’aéroport John-Fitzgerald Kennedy. Nelson Levy, directeur général délégué de ATN résumait assez bien l'enjeu de cette nouvelle passerelle entre les deux pays. « Tout le monde le sait Tahiti est un paradis, mais pour s’y rendre, c’était un enfer. Maintenant, nous avons supprimé l’enfer. »
L’opération promotionnelle s’est donc conclue jeudi soir dans un hôtel de New York (Maritime hotel) où une fête ultra chic et branchée était donnée. A cette occasion, le président de la Polynésie française, Oscar Temaru, a pris la parole pour inviter les Américains à se rendre à Tahiti et plus largement sur le territoire polynésien. «Tahiti, ce n’est pas seulement une destination, c’est aussi une expérience », avait-il déclaré mercredi lors du workshop.
203 000 touristes en 2004
Au-delà de l’aspect événementiel de cette ouverture de ligne, ce sont des enjeux économiques pour le moins significatifs qui se font jour avec cette liaison. « Ainsi, il est bien évident que le contrôle de l’aérien permet un développement pérenne du tourisme en Polynésie. Comment en effet inciter les investisseurs à construire des hôtels et à élargir leurs infrastructures si la venue des touristes est aléatoire.
La création de ligne va durablement régler cette question », notait un des participants. Le tourisme polynésien et les liaisons aériennes sont donc intimement liés comme le relevait J-M. Hastings « la maîtrise de l’aérien est le premier maillon de l’industrie touristique. La justification de la ligne, c’est logiquement un apport de passagers.
En 2004 230 000 t ouristes sont venus en Polynésie, d’ici 2007, 300 000 sont attendus sur le territoire ». Ainsi du côté de Air Tahiti Nui, on semble relativement serein face au futur. « C’est un produit qui n’existait pas donc, ce qui nous permet d’être plutôt confiants notamment par rapport à l’attractivité de la destination mais aussi parce que New York concentre le plus haut pouvoir d’achat au monde.
15 000 passagers par an attendus
En plus, la ligne est non stop et fait "économiser" trois heures par rapport à ce qui était proposé », ajoutait le directeur France-Belgique d’ATN en précisant que les projections attendues font état de 300 passagers par semaine.
Avec trois rotations hebdomadaires, la ligne atteindrait un peu plus de 15 000 passagers par an pour être conforme aux prévisions de la compagnie et ceci « sans prendre en compte le marché européen notamment espagnol ou italien ou encore les passagers en provenance d’Australie », notait-on encore chez ATN.
L’objectif semble donc atteint pour les organisateur s de l’opération (ATN et le territoire polynésien) qui a fortement marqué les esprits. Nul doute que la campagne publicitaire, signée par la célèbre agence londonienne Saatchi et Saatchi, devrait faire perdurer cet aspect du plan media visible sur l’affiche monumentale installée sur un building de Manhattan comme sur des bus New yorkais. Une réussite médiatique en attendant les retombées économiques…
Jean-Marc Hastings, directeur France et B elgique de ATN s’est également réjoui des commentaires des professionnels, des prescripteurs notamment. «On a lancé les invitations et les décideurs sont venus, ce qui n’est pas forcément simple à concevoir un mercredi matin à New York. Tout cela est plutôt un bon baromètre pour la suite », notait M. Hastings.
Jeudi lors d’un vol inaugural (JFK-JFK une première NDLR), l'ouverture de la ligne prenait ainsi symboliquement vie au départ de l’aéroport John-Fitzgerald Kennedy. Nelson Levy, directeur général délégué de ATN résumait assez bien l'enjeu de cette nouvelle passerelle entre les deux pays. « Tout le monde le sait Tahiti est un paradis, mais pour s’y rendre, c’était un enfer. Maintenant, nous avons supprimé l’enfer. »
L’opération promotionnelle s’est donc conclue jeudi soir dans un hôtel de New York (Maritime hotel) où une fête ultra chic et branchée était donnée. A cette occasion, le président de la Polynésie française, Oscar Temaru, a pris la parole pour inviter les Américains à se rendre à Tahiti et plus largement sur le territoire polynésien. «Tahiti, ce n’est pas seulement une destination, c’est aussi une expérience », avait-il déclaré mercredi lors du workshop.
203 000 touristes en 2004
Au-delà de l’aspect événementiel de cette ouverture de ligne, ce sont des enjeux économiques pour le moins significatifs qui se font jour avec cette liaison. « Ainsi, il est bien évident que le contrôle de l’aérien permet un développement pérenne du tourisme en Polynésie. Comment en effet inciter les investisseurs à construire des hôtels et à élargir leurs infrastructures si la venue des touristes est aléatoire.
La création de ligne va durablement régler cette question », notait un des participants. Le tourisme polynésien et les liaisons aériennes sont donc intimement liés comme le relevait J-M. Hastings « la maîtrise de l’aérien est le premier maillon de l’industrie touristique. La justification de la ligne, c’est logiquement un apport de passagers.
En 2004 230 000 t ouristes sont venus en Polynésie, d’ici 2007, 300 000 sont attendus sur le territoire ». Ainsi du côté de Air Tahiti Nui, on semble relativement serein face au futur. « C’est un produit qui n’existait pas donc, ce qui nous permet d’être plutôt confiants notamment par rapport à l’attractivité de la destination mais aussi parce que New York concentre le plus haut pouvoir d’achat au monde.
15 000 passagers par an attendus
En plus, la ligne est non stop et fait "économiser" trois heures par rapport à ce qui était proposé », ajoutait le directeur France-Belgique d’ATN en précisant que les projections attendues font état de 300 passagers par semaine.
Avec trois rotations hebdomadaires, la ligne atteindrait un peu plus de 15 000 passagers par an pour être conforme aux prévisions de la compagnie et ceci « sans prendre en compte le marché européen notamment espagnol ou italien ou encore les passagers en provenance d’Australie », notait-on encore chez ATN.
L’objectif semble donc atteint pour les organisateur s de l’opération (ATN et le territoire polynésien) qui a fortement marqué les esprits. Nul doute que la campagne publicitaire, signée par la célèbre agence londonienne Saatchi et Saatchi, devrait faire perdurer cet aspect du plan media visible sur l’affiche monumentale installée sur un building de Manhattan comme sur des bus New yorkais. Une réussite médiatique en attendant les retombées économiques…