Dallas
Les Français apprécient à nouveau les Etats-Unis. Si l’on en croit les statistiques officielles, c’est à un bond de plus de 25% auquel on a assisté en 2008 avec 1,25 millions de visiteurs en provenance de France.
Le marché français se place ainsi au quatrième rang des marchés internationaux (hors Mexique et Canada).
Si le trio de têtes des régions visitées, New York, la Californie et la Floride semble indeffectible, le Texas tient également à voir sa part du gâteau augmenter et l’état du sud fait beaucoup d’efforts pour y arriver.
Il est représenté depuis plusieurs années déjà en France par Express Conseil et, comme les représentants du Texas en visite en France la semaine dernière, affirment être moins touchés par la crise que d’autres états américains, les budgets de promotion devraient logiquement, être maintenus.
Le marché français se place ainsi au quatrième rang des marchés internationaux (hors Mexique et Canada).
Si le trio de têtes des régions visitées, New York, la Californie et la Floride semble indeffectible, le Texas tient également à voir sa part du gâteau augmenter et l’état du sud fait beaucoup d’efforts pour y arriver.
Il est représenté depuis plusieurs années déjà en France par Express Conseil et, comme les représentants du Texas en visite en France la semaine dernière, affirment être moins touchés par la crise que d’autres états américains, les budgets de promotion devraient logiquement, être maintenus.
La 1ère raison des visites au Texas reste le voyage d’affaires
Autres articles
Sur les 1,25 millions de visiteurs français aux Etats-Unis en 2008, seulement 65 000, selon les dernières estimations se sont rendus au Texas alors que Houston est desservi en direct par Continental Airlines et Air France/ KLM, Dallas/Fort Worth par American Airlines et Air France/ KLM.
La première raison des visites au Texas reste le voyage d’affaires ou la participation aux congrès. Pourtant, l’état du Texas offre à lui tout seul un condensé d’Amérique.
Des paysages tels qu’on les voient dans les films de cow boys, des ranches, une influence mexicaine très prononcée dans le sud de l’Etat et notamment dans la ville très touristique de San Antonio.
Des villes typiquement américaines où l’on ne se déplace qu’en voiture comme Houston ou Dallas et où les rencontres avec la population locale se font davantage dans les banlieues. Ces villes comportent également les musées les plus riches des Etats-Unis.
La première raison des visites au Texas reste le voyage d’affaires ou la participation aux congrès. Pourtant, l’état du Texas offre à lui tout seul un condensé d’Amérique.
Des paysages tels qu’on les voient dans les films de cow boys, des ranches, une influence mexicaine très prononcée dans le sud de l’Etat et notamment dans la ville très touristique de San Antonio.
Des villes typiquement américaines où l’on ne se déplace qu’en voiture comme Houston ou Dallas et où les rencontres avec la population locale se font davantage dans les banlieues. Ces villes comportent également les musées les plus riches des Etats-Unis.
Chaque métropole texane va voir son potentiel hôtelier s’agrandir
Parmi les programmations des tour-opérateurs, le Texas apparaît chez Jetset avec un autotour « Total Texas » de 12 jours, chez Jets Tours et Vacances Transat qui, tous deux mettent l’accent sur la musique avec un périple de Chicago à Dallas, tandis que Voyageurs propose des séjours en ranches…
A noter que chaque métropole texane va voir son potentiel hôtelier s’agrandir cette année avec 3 nouvelles unités à Houston, 2 à Dallas, 1 à Fort Worth, 1 à Austin, et parmi celles-ci, l'enseigne Aloft qui ouvrira à Houston, Austin et Dallas.
A noter que chaque métropole texane va voir son potentiel hôtelier s’agrandir cette année avec 3 nouvelles unités à Houston, 2 à Dallas, 1 à Fort Worth, 1 à Austin, et parmi celles-ci, l'enseigne Aloft qui ouvrira à Houston, Austin et Dallas.
![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
