Au programme du Top 5 de la semaine TUI France, French Bee, la guerre du ciel en Polynésie ou encore l'arnaque au TPE... - Crédit photo : Pixabay, libre pour usage commercial
L'aérien a tenu une nouvelle fois le haut du pavé sur TourMaG.com.
La saisie de l'avion Ryanair sur le tarmac de l'aéroport de Bordeaux n'a pas laissé nos lecteurs indifférents. Une dette de 525 000 euros à éponger... Et la DGAC (Direction Générale de l'Aviation Civile) hausse le ton !
Ce montant correspond aux subventions jugées illégales que les Irlandais ont touché à l'époque où ils assuraient encore une ligne entre Angoulême et Londres.
Résultat : Ryanair a versé la quasi-intégralité de la somme réclamée, à 678 euros près.
Un souci n'arrivant jamais seul, Michael O’Leary a aussi reçu une plainte déposée à New York par l’un de ses actionnaires. Celui-ci estime que la compagnie « a fait artificiellement monter le cours de son action en exagérant sa capacité à gérer les relations de travail et à comprimer ses coûts », d’après ce que rapporte Reuters.
Pour en savoir plus sur les déboires de Ryanair : Avion saisi, plainte aux USA... sale temps pour Ryanair dans le collimateur des syndicats !
La saisie de l'avion Ryanair sur le tarmac de l'aéroport de Bordeaux n'a pas laissé nos lecteurs indifférents. Une dette de 525 000 euros à éponger... Et la DGAC (Direction Générale de l'Aviation Civile) hausse le ton !
Ce montant correspond aux subventions jugées illégales que les Irlandais ont touché à l'époque où ils assuraient encore une ligne entre Angoulême et Londres.
Résultat : Ryanair a versé la quasi-intégralité de la somme réclamée, à 678 euros près.
Un souci n'arrivant jamais seul, Michael O’Leary a aussi reçu une plainte déposée à New York par l’un de ses actionnaires. Celui-ci estime que la compagnie « a fait artificiellement monter le cours de son action en exagérant sa capacité à gérer les relations de travail et à comprimer ses coûts », d’après ce que rapporte Reuters.
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Décidément les compagnies low cost ne sont pas à la fête ! C'est aussi le cas pour Flybe...
Après la faillite de Primera Air et la vente de Wow Air, les britanniques de Flybe annoncent à leur tour leur mise en vente.
Le P-DG a également présenté une nouvelle série de mesures de réduction des capacités aériennes et de ses coûts opérationnels. Sur le premier semestre 2018, la compagnie affiche un bénéfice après impôts divisé par 2 par rapport à 2017 (à environ 8,4 millions d’euros) pour un chiffre d’affaires en recul à 469 millions d’euros.
Lire : Flybe : une nouvelle low-cost rentrée en zone de fortes turbulences...
On reste dans les difficultés aériennes, mais d'un autre genre cette fois. Des anecdotes plus ou moins incroyables, parfois dramatiques... c'est ce que nous relate Pierre Georges notre journaliste spécialiste de l'aérien.
Entre des hôtesses qui tombent des avions, des stewards qui s'envoient en l’air, ou des bagagistes qui s’endorment dans la soute... le cocktail des pires galères des compagnies aériennes est détonant.
Lire : Chutes, porno et bad buzz : retour sur les pires galères des compagnies aériennes...
Après la faillite de Primera Air et la vente de Wow Air, les britanniques de Flybe annoncent à leur tour leur mise en vente.
Le P-DG a également présenté une nouvelle série de mesures de réduction des capacités aériennes et de ses coûts opérationnels. Sur le premier semestre 2018, la compagnie affiche un bénéfice après impôts divisé par 2 par rapport à 2017 (à environ 8,4 millions d’euros) pour un chiffre d’affaires en recul à 469 millions d’euros.
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On reste dans les difficultés aériennes, mais d'un autre genre cette fois. Des anecdotes plus ou moins incroyables, parfois dramatiques... c'est ce que nous relate Pierre Georges notre journaliste spécialiste de l'aérien.
Entre des hôtesses qui tombent des avions, des stewards qui s'envoient en l’air, ou des bagagistes qui s’endorment dans la soute... le cocktail des pires galères des compagnies aériennes est détonant.
Lire : Chutes, porno et bad buzz : retour sur les pires galères des compagnies aériennes...
Globaltours poursuit ses acquisitions
La concentration ne touche pas que le secteur de l'aérien mais aussi celui du tour-opérating et de la distribution.
Globatours, le groupe dirigé par Frédéric d’Hauthuille ajoute une nouvelle corde à son arc en faisant l'acquisition de Voyage.VO.
Une opération qui lui permet de creuser encore davantage son sillon dans l'univers des voyages sur-mesure.
Avec 23 collaborateurs et un portefeuille de plus de 50 destinations sur tous les continents, Globaltours affiche en 2017 un volume d’affaires de 6,3 millions d’euros, en progression de 28 % par rapport à 2016, annonce à ce jour un volume d’affaires de 7,2 millions pour 2018 (en progression de 14 % par rapport à 2017) et se fixe l’objectif d’atteindre 10 millions de volume d’affaires en 2020.
Lire : Globaltours (Frédéric d’Hauthuille) met la main sur Voyage.VO
Globatours, le groupe dirigé par Frédéric d’Hauthuille ajoute une nouvelle corde à son arc en faisant l'acquisition de Voyage.VO.
Une opération qui lui permet de creuser encore davantage son sillon dans l'univers des voyages sur-mesure.
Avec 23 collaborateurs et un portefeuille de plus de 50 destinations sur tous les continents, Globaltours affiche en 2017 un volume d’affaires de 6,3 millions d’euros, en progression de 28 % par rapport à 2016, annonce à ce jour un volume d’affaires de 7,2 millions pour 2018 (en progression de 14 % par rapport à 2017) et se fixe l’objectif d’atteindre 10 millions de volume d’affaires en 2020.
Lire : Globaltours (Frédéric d’Hauthuille) met la main sur Voyage.VO
Thierry Maillet, le résilient
Nous ne pouvions pas terminer cet article sans évoquer le triste anniversaire des attentats de Paris.
Il y a 3 ans, le soir du 13 novembre 2015 des innocents mourraient sous le tir des balles des terroristes. Ce soir là, Thierry Maillet, connu de l’ensemble de la profession, grand amateur de musique, a vécu surement la pire nuit de sa vie, lui qui était venu écouter les Eagles of Death Metal au Bataclan.
Il revient pour TourMaG.com sur son état d'esprit 3 ans après le drame. Thierry, le résilient se confie.
Lire : Paris : 3 ans après le massacre du Bataclan, Thierry Maillet, le "survivant", se souvient...
Il y a 3 ans, le soir du 13 novembre 2015 des innocents mourraient sous le tir des balles des terroristes. Ce soir là, Thierry Maillet, connu de l’ensemble de la profession, grand amateur de musique, a vécu surement la pire nuit de sa vie, lui qui était venu écouter les Eagles of Death Metal au Bataclan.
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