Totec 2012 : un programme plus dense et plus international

Pour sa 4ème édition, le 11 décembre prochain, le TOTEC 2012 attend quelques 400 décideurs du tourisme dans les salons du Pavillon Cambon Capucines.

Signe de maturité pour cette manifestation produite par Eventiz et son Président, Frédéric Vanhoutte, les participants ne seront pas exclusivement des « techno », comme Orchestra, ou des « pure players », comme Google, Call Expert, Ecotour ou Capitaine Train, un prestataire qui a creusé son trou en moins d’1 ans.

Toutes les institutions de la profession, ou presque, le SNAV, l’APST, le BAR, Atout France, et même le Conseil National du Tourisme, vont intervenir ou du moins seront représentées.

« Je crois que les professionnels du tourisme ne parlent pas assez entre eux, » expliquait le Président d’Eventiz, en évoquant rapidement son principal objectif : « Pour nous, le TOTEC est une excellente réponse à la crise, car il valorise l’innovation, favorise les échanges et le partenariat entres les professionnels, et soutient tout à la fois l’action et la réflexion. »

Une ouverture qui réjouit donc Frédéric Vanhoutte qui présentait mardi 27 novembre 2012, avec Stéphane Aita, le vice-Président Europe de l’Ouest de Sabre, son partenaire historique, le programme de la journée.

D’abord des présentations réduites à 20 minutes, pour dynamiser davantage la partie conférence, et deux fois plus d’intervenants que l’an dernier, dont le Senior vice-Président de Sabre, Harald Eisenaecher, et Ronan Mac Dubhghaill, un sociologue spécialiste du comportement et des médias sociaux.

Ensuite, beaucoup plus d’exposants et de démonstrations, notamment avec un « corner des start’up » qui permettra à quelques jeunes entreprises triées sur le volet pour la qualité de leurs travaux de présenter leur activité.

Enfin, une fenêtre ouverte aux blogueurs spécialisés dans le voyage qui rejoindront la manifestation dès 17h, afin d’apporter aux start’up invitées à la fois un regard extérieur à leur métier et un écho le plus large possible à leur innovations.

Outre la maturité gagnée, le second motif de satisfaction pour Frédéric Vanhoutte, c’est que l’événement s’internationalise enfin. Après quatre ans d’efforts, la participation étrangère grimpe de 10 à 25 % du public attendu.

Mais qu’on se rassure, la manifestation se tiendra quand même en Français…