Transavia poursuit sa croissance.
La filiale low-cost d’Air France va inaugurer l’été prochain dix nouvelles destinations au départ de Paris Orly, Lyon et Nantes.
Les parisiens pourront s’envoler pour Dubrovnik, Vienne, Split, Londres, Edimbourg et Vérone.
A Saint-Exupéry, elle se positionne sur Faro (en concurrence avec easyJet), sur Lisbonne (en concurrence avec TAP) et sur Valence. Enfin Nantes aura une ligne vers Faro.
Notons que la compagnie résiste en Tunisie et ne change pas son programme de vol en maintenant ses lignes vers Monastir, Tunis et Djerba, même si elle n’augmentera pas les fréquences.
Au total, Transavia desservira 80 routes en 2016, avec une offre de sièges en hausse de 25%.
Elle espère ainsi séduire un million de passagers supplémentaires, en plus de 4.3 millions de clients transportés en 2015.
La filiale low-cost d’Air France va inaugurer l’été prochain dix nouvelles destinations au départ de Paris Orly, Lyon et Nantes.
Les parisiens pourront s’envoler pour Dubrovnik, Vienne, Split, Londres, Edimbourg et Vérone.
A Saint-Exupéry, elle se positionne sur Faro (en concurrence avec easyJet), sur Lisbonne (en concurrence avec TAP) et sur Valence. Enfin Nantes aura une ligne vers Faro.
Notons que la compagnie résiste en Tunisie et ne change pas son programme de vol en maintenant ses lignes vers Monastir, Tunis et Djerba, même si elle n’augmentera pas les fréquences.
Au total, Transavia desservira 80 routes en 2016, avec une offre de sièges en hausse de 25%.
Elle espère ainsi séduire un million de passagers supplémentaires, en plus de 4.3 millions de clients transportés en 2015.
Étoffer son réseau pour séduire la clientèle affaires
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En parallèle, la compagnie poursuit la consolidation de son réseau existant avec la mise en place de vols quotidiens sur 29 destinations. Des doubles quotidiens seront programmés sur 12 d’entre elles.
De quoi satisfaire la clientèle affaires, qui représente déjà 10% de ses passagers. Une part qu'elle espère faire grimper à 15% l'an prochain.
Pour ce faire, elle compte notamment sur son tarif "max" qui permettra à partir du 1er janvier d'embarquer avec deux bagages cabines.
Elle s’appuie également sur la force commerciale de sa maison mère, Air France KLM, qui intègre désormais ses vols dans les contrats corporate du groupe.
Transavia continue sa coopération avec sa sœur hollandaise, qui vient d’ouvrir une base à Munich. "Nous n’avons qu’une marque unique sur tous les marchés européens, comme l’Espagne ou le Portugal. Les clients ne voient pas la différence entre la compagnie en France et Hollande ", explique Hervé Kozar, le directeur commercial.
De quoi satisfaire la clientèle affaires, qui représente déjà 10% de ses passagers. Une part qu'elle espère faire grimper à 15% l'an prochain.
Pour ce faire, elle compte notamment sur son tarif "max" qui permettra à partir du 1er janvier d'embarquer avec deux bagages cabines.
Elle s’appuie également sur la force commerciale de sa maison mère, Air France KLM, qui intègre désormais ses vols dans les contrats corporate du groupe.
Transavia continue sa coopération avec sa sœur hollandaise, qui vient d’ouvrir une base à Munich. "Nous n’avons qu’une marque unique sur tous les marchés européens, comme l’Espagne ou le Portugal. Les clients ne voient pas la différence entre la compagnie en France et Hollande ", explique Hervé Kozar, le directeur commercial.
Des embauches en vue
Cette croissance à l'étranger a d'ailleurs engendré une certaine grogne de la part des salariés de Transavia France ainsi que du SNPL d'Air France.
Dans tous les cas, la compagnie va devoir embaucher pour 2016, afin d'exploiter les 5 nouveaux appareils qui vont rejoindre sa flotte. Elle prévoit d'engager 16 équivalents temps plein au sol et 144 pour le personnel navigant.
Des embauches qui se feront avant tout en interne. Et qui pourraient permettre d'éponger en partie le sur-effectif chez Air France.
Rappelons que la maison mère de Transavia a confirmé lors du dernier CCE du 5 décembre 2015, la suppression d'un millier d’emplois en 2016, et près de 2 000 supplémentaires d’ici fin 2017 si les syndicats ne trouvent pas un accord sur la hausse de la productivité.
Dans tous les cas, la compagnie va devoir embaucher pour 2016, afin d'exploiter les 5 nouveaux appareils qui vont rejoindre sa flotte. Elle prévoit d'engager 16 équivalents temps plein au sol et 144 pour le personnel navigant.
Des embauches qui se feront avant tout en interne. Et qui pourraient permettre d'éponger en partie le sur-effectif chez Air France.
Rappelons que la maison mère de Transavia a confirmé lors du dernier CCE du 5 décembre 2015, la suppression d'un millier d’emplois en 2016, et près de 2 000 supplémentaires d’ici fin 2017 si les syndicats ne trouvent pas un accord sur la hausse de la productivité.