Air France ne semble pas avoir tiré les leçons de sa dernière condamnation pour travail dissimulé chez CityJet.
Selon une information de Challenges, la compagnie nationale serait à nouveau sous le coup d'une plainte du SNPL pour les mêmes motifs.
En effet, si une base a bien été créée sur l'aéroport de Paris, le Syndicat l'estime sous dimensionnée par rapport à l'activité de CityJet.
"Une trentaine de pilotes écossais, irlandais ou anglais viennent chaque semaine à Paris pour faire voler les avions", assure Yves Deshayes le président du SNPL.
Selon une information de Challenges, la compagnie nationale serait à nouveau sous le coup d'une plainte du SNPL pour les mêmes motifs.
En effet, si une base a bien été créée sur l'aéroport de Paris, le Syndicat l'estime sous dimensionnée par rapport à l'activité de CityJet.
"Une trentaine de pilotes écossais, irlandais ou anglais viennent chaque semaine à Paris pour faire voler les avions", assure Yves Deshayes le président du SNPL.
Seulement 26 équivalents temps plein sous contrat français
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Celui-ci n'aurait comptabilisé que 26 équivalents temps plein sous contrat français, alors que le double serait nécessaire.
Le Syndicat va donc déposer à nouveau une plainte pour travail dissimulé, tout en s'interrogeant sur la pertinence d'une telle manipulation du code du travail.
En effet, est-t-il vraiment rentable de faire venir en France, de loger et de défrayer une trentaine de pilotes étrangers ?
L'économie réalisée vaut-elle réellement la peine de prendre le risque d'être poursuivie en justice et de risquer une amende ?
Autant de questions posées par le SNPL, qui restent aujourd'hui sans réponse.
Le Syndicat va donc déposer à nouveau une plainte pour travail dissimulé, tout en s'interrogeant sur la pertinence d'une telle manipulation du code du travail.
En effet, est-t-il vraiment rentable de faire venir en France, de loger et de défrayer une trentaine de pilotes étrangers ?
L'économie réalisée vaut-elle réellement la peine de prendre le risque d'être poursuivie en justice et de risquer une amende ?
Autant de questions posées par le SNPL, qui restent aujourd'hui sans réponse.