Le livre était dans ma boîte aux lettres samedi matin, expédié par les Editions Robert Laffont.
Le titre : « Un mal qui ne se dit pas ». Auteur : Anne Bouferguène. Le livre, je l'ouvre et je le lis d'une traite, happée par une histoire, son histoire, racontée dans un total abandon.
Un mal qui ne se dit pas c'est le virus du Sida. Bluffant et bouleversant.
Il n'y a pas si longtemps Anne Bouferguene occupait les postes de directrice générale de Jet tours et directrice générale déléguée de Thomas Cook France.
Nous avons tous eu, dans la presse pro, l'occasion de côtoyer cette jolie jeune femme élégante et distante qui parlait sans jamais hausser le ton, en articulant chaque mot de façon un peu maniérée. Son regard ne s'attardait ni sur les êtres ni sur les choses. Voici quelques mois elle quittait ses fonctions « pour raison de santé ».
Le virus du sida elle le contracte voici 23 ans. Elle a 15 ans et pour cette adolescente précoce, brillante et sportive, l'annonce de la séropositivité est une condamnation à mort.
Le titre : « Un mal qui ne se dit pas ». Auteur : Anne Bouferguène. Le livre, je l'ouvre et je le lis d'une traite, happée par une histoire, son histoire, racontée dans un total abandon.
Un mal qui ne se dit pas c'est le virus du Sida. Bluffant et bouleversant.
Il n'y a pas si longtemps Anne Bouferguene occupait les postes de directrice générale de Jet tours et directrice générale déléguée de Thomas Cook France.
Nous avons tous eu, dans la presse pro, l'occasion de côtoyer cette jolie jeune femme élégante et distante qui parlait sans jamais hausser le ton, en articulant chaque mot de façon un peu maniérée. Son regard ne s'attardait ni sur les êtres ni sur les choses. Voici quelques mois elle quittait ses fonctions « pour raison de santé ».
Le virus du sida elle le contracte voici 23 ans. Elle a 15 ans et pour cette adolescente précoce, brillante et sportive, l'annonce de la séropositivité est une condamnation à mort.
Le quotidien d'une femme moderne qui mène de front sa vie professionnelle et familiale
« En 1988 j'étais une escrimeuse pleine de promesse.
Au moment de l'annonce de ma séropositivité, le soir même, j'ai décidé de ne rien changer à mon programme et de courir comme à mon habitude mes huit kilomètres de préparation physique ».
Cette maladie, au commencement, elle ne la combat pas, elle l'ignore tout en pensant qu'elle n'aurait jamais vingt ans. Avec ce livre, dans un style direct et sans manière, elle se décide à dialoguer avec le VIH, « sa mauvaise rencontre ».
Au fil des 227 pages, elle décrit le quotidien d'une femme moderne qui mène de front sa vie professionnelle, sa vie familiale et son combat avec la maladie. C'est bluffant et bouleversant.
Elle termine son livre par cette mise a point : « … J'ai écrit ce texte dans le but de contribuer à changer le regard sur le VIH – ce mal à dire - ...et pour que ceux qui traversent une expérience comparable à la mienne, celle de la honte et du secret qui rongent l'âme, celle de la maladie qui sème inexorablement sa terreur, puissent s'y reconnaître et, pourquoi pas, y trouver quelque raison d'espérer. »
Parution : 14 novembre 2011
Les droits d'auteur seront reversés à l'association AIDES
Au moment de l'annonce de ma séropositivité, le soir même, j'ai décidé de ne rien changer à mon programme et de courir comme à mon habitude mes huit kilomètres de préparation physique ».
Cette maladie, au commencement, elle ne la combat pas, elle l'ignore tout en pensant qu'elle n'aurait jamais vingt ans. Avec ce livre, dans un style direct et sans manière, elle se décide à dialoguer avec le VIH, « sa mauvaise rencontre ».
Au fil des 227 pages, elle décrit le quotidien d'une femme moderne qui mène de front sa vie professionnelle, sa vie familiale et son combat avec la maladie. C'est bluffant et bouleversant.
Elle termine son livre par cette mise a point : « … J'ai écrit ce texte dans le but de contribuer à changer le regard sur le VIH – ce mal à dire - ...et pour que ceux qui traversent une expérience comparable à la mienne, celle de la honte et du secret qui rongent l'âme, celle de la maladie qui sème inexorablement sa terreur, puissent s'y reconnaître et, pourquoi pas, y trouver quelque raison d'espérer. »
Parution : 14 novembre 2011
Les droits d'auteur seront reversés à l'association AIDES
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