L'Aéronautique et la marine brésilienne n'excluent pas de dépasser le délai initialement prévu de 21 jours et ne stopperont les recherches des corps que lorsqu'il n'y aura plus aucune chance d'en retrouver.
Toutefois, les familles des victimes qui ont fait le déplacement à l'Institut médico légal (IML) de Récif, n'ont pu reconnaître les dépouilles qui, selon l'IML, ne sont pas identifiables et par conséquent, les reconnaissances ne peuvent avoir valeur juridique.
Pour l'instant, selon les déclarations de l'ambassadeur Pierre-Jean Vandoorne, aucun français ne faisait partie des 16 corps retrouvés.
Toutefois, les familles des victimes qui ont fait le déplacement à l'Institut médico légal (IML) de Récif, n'ont pu reconnaître les dépouilles qui, selon l'IML, ne sont pas identifiables et par conséquent, les reconnaissances ne peuvent avoir valeur juridique.
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Selon les données préliminaires des experts résultant de l'examen, aucune des 16 victimes retrouvées (sur 49) ne porte de traces de brûlures. Le fait qu'elles ne portent pas de vêtements non plus, laisse à penser que ceux-ci ont pu être arrachés par le vent.
Ainsi, l'hypothèse d'une désintégration de l'A330 dans l'atmosphère avant de retomber dans l'Atlantique, est de plus en plus renforcée, rapporte "O Globo" qui cite les experts brésiliens.
Tout semble indiquer que l'avion a été victime d'une chute soudaine et d'une dislocation brutale. Il reste à déterminer ce qui a pu causer ce décrochage et à établir le lien de cause à effet avec les conditions météo particulièrement difficiles dans la zone.
Ainsi, l'hypothèse d'une désintégration de l'A330 dans l'atmosphère avant de retomber dans l'Atlantique, est de plus en plus renforcée, rapporte "O Globo" qui cite les experts brésiliens.
Tout semble indiquer que l'avion a été victime d'une chute soudaine et d'une dislocation brutale. Il reste à déterminer ce qui a pu causer ce décrochage et à établir le lien de cause à effet avec les conditions météo particulièrement difficiles dans la zone.