Tout d'abord, le Le Bureau d’Enquêtes et d’Analyses (BEA), chargé de l’enquête technique sur le crash de l’Airbus A330 le 1er juin entre Rio et Paris, a estimé dans un communiqué diffusé ce lundi sur son site internet qu’il est "trop tôt pour prétendre expliquer les circonstances de l’accident".
Le BEA rappelle que les éléments disponibles sont "en cours d'étude par les meilleurs experts français et étrangers ; l'enquête progresse, mais elle est particulièrement difficile et il est trop tôt pour pouvoir décrire les circonstances de l'accident et, a fortiori, prétendre les expliquer."
Une nouvelle fois, "il recommande donc la plus grande prudence." Le bureau prévoit en outre la sortie d'un nouveau rapport d'étape avant la fin de l'année.
Parallèlement, des informations sur la troisième phase de recherche de l'épave de l'avion seront annoncées dès que les enquêteurs auront achevé la préparation de cette campagne.
Dans ce communiqué, le BEA réagissait à un rapport du Syndicat des Pilotes d’Air France (Spaf) —minoritaire parmi les pilotes de la compagnie nationale— et divulgué par le Journal du Dimanche, selon lequel l’accident serait un "échec collectif" dû à la sous-estimation des défaillances des sondes Pitot de mesures de vitesse.
Le BEA rappelle que les éléments disponibles sont "en cours d'étude par les meilleurs experts français et étrangers ; l'enquête progresse, mais elle est particulièrement difficile et il est trop tôt pour pouvoir décrire les circonstances de l'accident et, a fortiori, prétendre les expliquer."
Une nouvelle fois, "il recommande donc la plus grande prudence." Le bureau prévoit en outre la sortie d'un nouveau rapport d'étape avant la fin de l'année.
Parallèlement, des informations sur la troisième phase de recherche de l'épave de l'avion seront annoncées dès que les enquêteurs auront achevé la préparation de cette campagne.
Dans ce communiqué, le BEA réagissait à un rapport du Syndicat des Pilotes d’Air France (Spaf) —minoritaire parmi les pilotes de la compagnie nationale— et divulgué par le Journal du Dimanche, selon lequel l’accident serait un "échec collectif" dû à la sous-estimation des défaillances des sondes Pitot de mesures de vitesse.
Air France coopère avec ces différentes autorités
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De son côté, Aior France répliquait ce lundi après midi.
"Certains organes de presse se sont fait l’écho d’hypothèses, exprimées par le responsable d’un syndicat minoritaire de personnels navigants techniques et par un pilote retraité d’une autre compagnie, sur les causes de l’accident du vol AF 447.
Air France précise que deux enquêtes sont actuellement en cours en France. L'une, "technique", pour l'amélioration de la sécurité aérienne, est menée par le BEA, qui vient de le rappeler dans un communiqué ce matin.
L'autre, "judiciaire", pour la recherche d'éventuelles responsabilités pénales, est confiée à la gendarmerie nationale sous le contrôle d’un juge d’instruction qui a nommé des experts judiciaires.
Depuis le drame du vol Rio-Paris le 1er juin, Air France coopère avec ces différentes autorités, afin que des scénarios solides et étayés par des faits puissent être proposés et analysés.
La compagnie également a choisi de mettre en ligne depuis le 9 septembre dernier toutes les informations, actualisées, dont elle dispose sur le site corporate.airfrance.com/fr/actualites/af-447/index.html
"Certains organes de presse se sont fait l’écho d’hypothèses, exprimées par le responsable d’un syndicat minoritaire de personnels navigants techniques et par un pilote retraité d’une autre compagnie, sur les causes de l’accident du vol AF 447.
Air France précise que deux enquêtes sont actuellement en cours en France. L'une, "technique", pour l'amélioration de la sécurité aérienne, est menée par le BEA, qui vient de le rappeler dans un communiqué ce matin.
L'autre, "judiciaire", pour la recherche d'éventuelles responsabilités pénales, est confiée à la gendarmerie nationale sous le contrôle d’un juge d’instruction qui a nommé des experts judiciaires.
Depuis le drame du vol Rio-Paris le 1er juin, Air France coopère avec ces différentes autorités, afin que des scénarios solides et étayés par des faits puissent être proposés et analysés.
La compagnie également a choisi de mettre en ligne depuis le 9 septembre dernier toutes les informations, actualisées, dont elle dispose sur le site corporate.airfrance.com/fr/actualites/af-447/index.html