Au 1er juin prochain, les Français pourront choisir une nouvelle compagnie pour traverser l'Atlantique. A cette date, Westjet, qui se revendique second transporteur aérien canadien derrière Air Canada, positionnera en effet, et pour la première fois, un Boeing 737 Max entre Paris-Charles de Gaulle et Halifax (Nouvelle Ecosse).
La ligne Paris-Halifax se prolonge ensuite vers Calgary (Alberta). Pour sa première année d'exploitation, elle sera saisonnière, du 1er juin au 27 octobre, et proposera un vol quotidien.
Les cabines des 737 de 174 places sont configurées en bi-classe, avec une premium éco de 12 sièges. Le tout à partir de 243 € TTC l'aller simple pour un Paris-Halifax, et à 322 € l'aller simple pour un Paris-Calgary.
La ligne Paris-Halifax se prolonge ensuite vers Calgary (Alberta). Pour sa première année d'exploitation, elle sera saisonnière, du 1er juin au 27 octobre, et proposera un vol quotidien.
Les cabines des 737 de 174 places sont configurées en bi-classe, avec une premium éco de 12 sièges. Le tout à partir de 243 € TTC l'aller simple pour un Paris-Halifax, et à 322 € l'aller simple pour un Paris-Calgary.
L'Acadie, le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Ecosse...
"Nous ne sommes pas une compagnie low-cost mais low-fare", tient à préciser Catherine Vaurillon chez APG, en charge de la représentation en France de la compagnie. "WestJet est déjà distribuée par les GDS, les agences...", précise-t-elle.
Pourquoi avoir choisi de relier Paris aux provinces maritimes de l'Est canadien ? "Nous nous sommes orientés en regardant la façon dont le Canada est desservi par la France en ce moment", explique Louis Gosselin, directeur des ventes de la compagnie canadienne.
"Acadie, Nouveau-Brunswick ou Nouvelle-Ecosse : nous voulons ouvrir le marché aux gens des provinces maritimes qui n'auront plus besoin de passer par Montréal pour se rendre en Europe", ajoute-t-il. Dans le viseur de Westjet : une petite part de trafic affaires, mais surtout du tourisme.
Dans ce but, la compagnie prospecte et travaille depuis plusieurs années avec les tour-opérateurs français, et met en valeur son important réseau domestique sur l'Amérique du nord. "Nous allons leur donner la possibilité de développer plus leurs programmes sur le Canada, à des tarifs préférentiels", d'après Louis Gosselin, qui confie, dans ce but, avoir récemment rencontré à Paris des membres de TUI France
Pourquoi avoir choisi de relier Paris aux provinces maritimes de l'Est canadien ? "Nous nous sommes orientés en regardant la façon dont le Canada est desservi par la France en ce moment", explique Louis Gosselin, directeur des ventes de la compagnie canadienne.
"Acadie, Nouveau-Brunswick ou Nouvelle-Ecosse : nous voulons ouvrir le marché aux gens des provinces maritimes qui n'auront plus besoin de passer par Montréal pour se rendre en Europe", ajoute-t-il. Dans le viseur de Westjet : une petite part de trafic affaires, mais surtout du tourisme.
Dans ce but, la compagnie prospecte et travaille depuis plusieurs années avec les tour-opérateurs français, et met en valeur son important réseau domestique sur l'Amérique du nord. "Nous allons leur donner la possibilité de développer plus leurs programmes sur le Canada, à des tarifs préférentiels", d'après Louis Gosselin, qui confie, dans ce but, avoir récemment rencontré à Paris des membres de TUI France
Volonté de développement
Les premières ventes du Paris-Halifax se "portent très, très bien", d'après le directeur. "Surtout au départ du Canada car nous n'avons pas fait de publicité en France encore".
Est ce que la ligne entre Paris et l'Est canadien sera renouvelée l'année prochaine ? Louis Gosselin répond oui "à 90%". Peut-on s'attendre à de nouvelles ouvertures, dès lors, entre la France et les grands espaces sauvages du Canada ?
"Entre nous, comme nous attendons 3 nouveaux Boeing 787 Dreamliner pour l'année prochaine, il faudra bien trouver des nouvelles routes", glisse aussi le directeur des ventes. "En regardant en priorité les marchés mal desservis".
Est ce que la ligne entre Paris et l'Est canadien sera renouvelée l'année prochaine ? Louis Gosselin répond oui "à 90%". Peut-on s'attendre à de nouvelles ouvertures, dès lors, entre la France et les grands espaces sauvages du Canada ?
"Entre nous, comme nous attendons 3 nouveaux Boeing 787 Dreamliner pour l'année prochaine, il faudra bien trouver des nouvelles routes", glisse aussi le directeur des ventes. "En regardant en priorité les marchés mal desservis".