23 ans après son ouverture, Vulcania met les bouchées doubles pour continuer à attirer les visiteurs. Le parc des volcans et de la planète Terre, installé au cœur de la chaîne des Puys (Auvergne), vient d’annoncer un nouveau plan d’investissements baptisé « Olympus 25 ».
Durant les huit prochaines années (et principalement entre 2026 et 2030), il va investir 25 millions d’euros afin d’améliorer l’expérience des visiteurs et élargir son audience, avec l’objectif d’attirer 450 000 visiteurs par an à l’horizon 2030.
« Fidèle à notre positionnement d’apprendre en s’amusant, la priorité sera donnée à la recherche du plaisir partagé et des émotions pour tous, quels que soient l’âge des visiteurs » précise Sophie Rognon, qui a pris la direction du site en 2022.
Durant les huit prochaines années (et principalement entre 2026 et 2030), il va investir 25 millions d’euros afin d’améliorer l’expérience des visiteurs et élargir son audience, avec l’objectif d’attirer 450 000 visiteurs par an à l’horizon 2030.
« Fidèle à notre positionnement d’apprendre en s’amusant, la priorité sera donnée à la recherche du plaisir partagé et des émotions pour tous, quels que soient l’âge des visiteurs » précise Sophie Rognon, qui a pris la direction du site en 2022.
Vulcania : un écolodge de 25 hébergements pour 2028
La principale nouveauté est l’ouverture, en 2028, d’un écolodge thématisé sur l’univers du parc. Il regroupera 25 hébergements (4 à 6 personnes), dans un environnement arboré pour se fondre dans le paysage inscrit au patrimoine de l’Unesco.
Chaque unité sera équipée d’une kitchenette et les chambres disposeront de toilettes séparées, afin de répondre aux besoins de différentes clientèles, les familles mais aussi les entreprises qui organisent des séminaires.
« Environ 15% des visiteurs achètent un billet second jour pour profiter de toutes les attractions, projections, spectacles et shows animés par des scientifiques. Ces hébergements vont permettre de répondre à une demande non satisfaite » précise Sophie Rognon. Ils compléteront les hébergements partenaires proposés par Vulcania.
Chaque unité sera équipée d’une kitchenette et les chambres disposeront de toilettes séparées, afin de répondre aux besoins de différentes clientèles, les familles mais aussi les entreprises qui organisent des séminaires.
« Environ 15% des visiteurs achètent un billet second jour pour profiter de toutes les attractions, projections, spectacles et shows animés par des scientifiques. Ces hébergements vont permettre de répondre à une demande non satisfaite » précise Sophie Rognon. Ils compléteront les hébergements partenaires proposés par Vulcania.
Une nouvelle attraction majeure en 2029
En 2029, un nouveau pôle sortira de terre, avec une attraction dynamique accessible au plus grand nombre. « C’est notre ADN. Ainsi, 70% des visiteurs expérimentent notre montagne russe familiale baptisée Namazu sur le thème des séismes » rappelle Sophie Rognon.
« Cette nouveauté majeure permettra d’augmenter les capacités du parc, d’attirer de nouveaux visiteurs et d’encourager les revisites. Nous sommes l’une des locomotives du tourisme en Auvergne-Rhône-Alpes. Il faut rester attractif ».
D’ici là, Vulcania va continuer à améliorer son offre, avec une nouveauté ou une rénovation chaque année, entre 2025 et 2031. A l’instar de la nouvelle version de « Terre en colère » cette saison, une projection dynamique et interactive sur le dérèglement climatique.
« Cette nouveauté majeure permettra d’augmenter les capacités du parc, d’attirer de nouveaux visiteurs et d’encourager les revisites. Nous sommes l’une des locomotives du tourisme en Auvergne-Rhône-Alpes. Il faut rester attractif ».
D’ici là, Vulcania va continuer à améliorer son offre, avec une nouveauté ou une rénovation chaque année, entre 2025 et 2031. A l’instar de la nouvelle version de « Terre en colère » cette saison, une projection dynamique et interactive sur le dérèglement climatique.
Vulcania se hisse dans le Top 10 des parcs français
Ce plan d’investissements couronne une excellente année 2024. Vulcania a accueilli 390 000 visiteurs l’année dernière (+20% en deux ans), se hissant dans le Top 10 des parcs de loisirs en France.
Il s’agit de sa quatrième meilleure performance, après les années d’ouverture en 2002, 2003 et 2004 qui avaient vu la fréquentation osciller entre 420 000 et 626 000 visiteurs par an.
Mais faute de nouveautés majeures, et d’un positionnement parfois trop pédagogique, la fréquentation s’était ensuite étiolée au fil des années, tombant à 220 000 visiteurs en 2006.
Il s’agit de sa quatrième meilleure performance, après les années d’ouverture en 2002, 2003 et 2004 qui avaient vu la fréquentation osciller entre 420 000 et 626 000 visiteurs par an.
Mais faute de nouveautés majeures, et d’un positionnement parfois trop pédagogique, la fréquentation s’était ensuite étiolée au fil des années, tombant à 220 000 visiteurs en 2006.
Un parc qui s’autofinance à 90%
L’ouverture d’attractions plus ludiques et un positionnement plus large autour de la Terre (symbolisés par une montagne russe et le plus grand planétarium de France, inaugurés en 2021 et 2023) ont permis au parc de reprendre des couleurs, y compris sur le plan financier.
En 2024, le chiffre d’affaires s’est établi à 13,5 millions d’euros, en progression de 27% par rapport à 2022. « Aujourd’hui, le parc s’autofinance à 90% » précise Sophie Rognon.
La région Auvergne Rhône-Alpes, propriétaire du parc, et les actionnaires majoritairement publics (qui tiennent à la vocation pédagogique et à l’accueil de plusieurs milliers de scolaires chaque année) ajoutent au pot pour atteindre l’équilibre.
Lire aussi : Vulcania partage son expertise avec le CNES
En 2024, le chiffre d’affaires s’est établi à 13,5 millions d’euros, en progression de 27% par rapport à 2022. « Aujourd’hui, le parc s’autofinance à 90% » précise Sophie Rognon.
La région Auvergne Rhône-Alpes, propriétaire du parc, et les actionnaires majoritairement publics (qui tiennent à la vocation pédagogique et à l’accueil de plusieurs milliers de scolaires chaque année) ajoutent au pot pour atteindre l’équilibre.
Lire aussi : Vulcania partage son expertise avec le CNES
Des ventes intermédiées en croissance
Les efforts en matière de digitalisation pour améliorer l’expérience des visiteurs (lors de la réservation comme sur le parc), portent également leurs fruits.
Aujourd’hui, 75% des visiteurs viennent d’en dehors de l’Auvergne, notamment de Rhône-Alpes (21%) et d’Île-de-France (16%). En revanche, Vulcania peine encore à séduire les visiteurs étrangers (5%).
Cet élargissement de la clientèle, et une politique commerciale plus offensive, se traduit également par une croissance des ventes intermédiées, via les agences, OTA et autocaristes. Elles représentent désormais 25% de l’activité de Vulcania.
Aujourd’hui, 75% des visiteurs viennent d’en dehors de l’Auvergne, notamment de Rhône-Alpes (21%) et d’Île-de-France (16%). En revanche, Vulcania peine encore à séduire les visiteurs étrangers (5%).
Cet élargissement de la clientèle, et une politique commerciale plus offensive, se traduit également par une croissance des ventes intermédiées, via les agences, OTA et autocaristes. Elles représentent désormais 25% de l’activité de Vulcania.