BeFC a levé 3 millions d'euros et va pouvoir industrialiser sa production de puce - Crédit photo : BeFC
Dans le milieu des start-up, il y a à boire et à manger, un important tri à faire face à des solutions qui sont bien souvent redondantes.
Et puis parfois, vous avez le flash, une idée novatrice qui nous fait dire, que nous allons pouvoir remporter certains combats de notre société.
BeFC fait partie de cette caste.
La start-up grenobloise créée dans les laboratoires du CNRS a mis au point des puces à base de sucre et d'eau permettant d'alimenter des petits objets électroniques (voir vidéo ci-dessous).
Totalement biodégradables, ne nécessitant aucun métaux rares dont les batteries rechargeables sont très friandes, et donc respectueux de la planète, les puces développées par BeFC vont connaître une accélération dans l'industrialisation de la solution.
En effet, la start-up vient de lever 3 millions d'euros.
Et puis parfois, vous avez le flash, une idée novatrice qui nous fait dire, que nous allons pouvoir remporter certains combats de notre société.
BeFC fait partie de cette caste.
La start-up grenobloise créée dans les laboratoires du CNRS a mis au point des puces à base de sucre et d'eau permettant d'alimenter des petits objets électroniques (voir vidéo ci-dessous).
Totalement biodégradables, ne nécessitant aucun métaux rares dont les batteries rechargeables sont très friandes, et donc respectueux de la planète, les puces développées par BeFC vont connaître une accélération dans l'industrialisation de la solution.
En effet, la start-up vient de lever 3 millions d'euros.
"Nous avons été impressionnés par le niveau de rupture qu’apportent ces biopiles à glucose dans le domaine des piles à combustible.
La technologie est déjà très mature et répond aux besoins croissants en énergie de nombreux marchés comme celui des dispositifs médicaux jetables ou celui de la logistique connectée.
Avec sa composition en papiers, enzymes et glucose, cette biopile n’utilise pas de produits toxiques et ne perturbe pas les filières de recyclage. Cette innovation correspond parfaitement à la cible deep tech de notre fonds d’amorçage Supernova 2," indique Marine Glon, Directrice d’Investissement chez Supernova Invest.
Le sujet vous parait très éloigné du tourisme ? Et pourtant les usages sont multiples que ce soit dans les hôtels ou dans les musées, mais aussi les agences de voyages avec des petits carnets de bord digitaux dans quelques années.
La levée de fonds permettra notamment de construire la ligne de production dans la région grenobloise. L’équipe en plein essor se concentre parallèlement sur la R&D et sur l’acquisition de contrats de co-développement avec des grands groupes industriels.
Souvenez-vous quand une célèbre campagne pour barres chocolatées disait : "Un mars et ça repart..."
Et bien avec BeFC un verre d'eau et du sucre suffisent pour faire le plein d’énergie.
La technologie est déjà très mature et répond aux besoins croissants en énergie de nombreux marchés comme celui des dispositifs médicaux jetables ou celui de la logistique connectée.
Avec sa composition en papiers, enzymes et glucose, cette biopile n’utilise pas de produits toxiques et ne perturbe pas les filières de recyclage. Cette innovation correspond parfaitement à la cible deep tech de notre fonds d’amorçage Supernova 2," indique Marine Glon, Directrice d’Investissement chez Supernova Invest.
Le sujet vous parait très éloigné du tourisme ? Et pourtant les usages sont multiples que ce soit dans les hôtels ou dans les musées, mais aussi les agences de voyages avec des petits carnets de bord digitaux dans quelques années.
La levée de fonds permettra notamment de construire la ligne de production dans la région grenobloise. L’équipe en plein essor se concentre parallèlement sur la R&D et sur l’acquisition de contrats de co-développement avec des grands groupes industriels.
Souvenez-vous quand une célèbre campagne pour barres chocolatées disait : "Un mars et ça repart..."
Et bien avec BeFC un verre d'eau et du sucre suffisent pour faire le plein d’énergie.