L'annonce de la délocalisation de la moitié du personnel d'Air Méditerranée vers la Grèce est connue depuis plus d'un mois, mais le SNPL ne compte pas laisser passer la décision.
Le syndicat rappelle que plus de 80 navigants français ont été licenciés, "remplacés, y compris sur les vols au départ de France et même intra France, par du personnel grec qui ne sera soumis à aucune charge sociale française.
Ce personnel sous payé ne bénéficiera d’aucune prestation sociale française".
Il craint notamment que ce cas de figure "ne soit qu’un ballon d’essai et que demain tout le secteur charter de l’aviation française ne recoure à ce genre de pratiques sociales indignes.
Le syndicat rappelle que plus de 80 navigants français ont été licenciés, "remplacés, y compris sur les vols au départ de France et même intra France, par du personnel grec qui ne sera soumis à aucune charge sociale française.
Ce personnel sous payé ne bénéficiera d’aucune prestation sociale française".
Il craint notamment que ce cas de figure "ne soit qu’un ballon d’essai et que demain tout le secteur charter de l’aviation française ne recoure à ce genre de pratiques sociales indignes.
Au-delà, les tours opérateurs et les autres compagnies (y compris les plus grandes) qui affrètent des avions exploités dans des conditions inacceptables socialement doivent savoir qu’ils participent activement à la ruine du pavillon français et de nos systèmes sociaux."