Les associations européennes d’acheteurs et travel managers, réunis au sein de BT4Europe sont prêtes à faire de "l’empreinte carbone" une donnée "aussi importante que le prix".
Encore faut-il leur en donner les moyens et c’est pour cela qu’elles en appellent à l’Union européenne dans un plaidoyer publié début septembre.
Pour y arriver, deux conditions préalables : "Les clients doivent obtenir des informations claires et précises sur les émissions de CO2" par l’intermédiaire d' "une norme unifiée qui doit être instaurée au sein de l’Union Européenne".
L’association note, par exemple, que selon les méthodes de calculs actuelles, le nombre de tonnes de CO2 dépensé peut être très différent pour un même vol.
Il apparait donc "urgent de prendre des mesures significatives pour permettre l’accès à des données standardisées, précises et comparables sur les émissions de CO2 des voyages d’affaires".
BT4Europe demande ainsi à l’Europe de travailler sur la création d’une norme relative à la méthodologie de calcul des émissions de CO2 pour les voyages d’affaires.
Comme le souligne l’association, "nous disposons de multiples méthodologies et d’aucune norme" et, "une norme européenne, au-delà du transport, doit émerger d’afin d’apporter plus de transparence et d’améliorer la qualité des données relatives aux émissions de CO2 pour les déplacements professionnels dans les rapports non financiers".
Encore faut-il leur en donner les moyens et c’est pour cela qu’elles en appellent à l’Union européenne dans un plaidoyer publié début septembre.
Pour y arriver, deux conditions préalables : "Les clients doivent obtenir des informations claires et précises sur les émissions de CO2" par l’intermédiaire d' "une norme unifiée qui doit être instaurée au sein de l’Union Européenne".
L’association note, par exemple, que selon les méthodes de calculs actuelles, le nombre de tonnes de CO2 dépensé peut être très différent pour un même vol.
Il apparait donc "urgent de prendre des mesures significatives pour permettre l’accès à des données standardisées, précises et comparables sur les émissions de CO2 des voyages d’affaires".
BT4Europe demande ainsi à l’Europe de travailler sur la création d’une norme relative à la méthodologie de calcul des émissions de CO2 pour les voyages d’affaires.
Comme le souligne l’association, "nous disposons de multiples méthodologies et d’aucune norme" et, "une norme européenne, au-delà du transport, doit émerger d’afin d’apporter plus de transparence et d’améliorer la qualité des données relatives aux émissions de CO2 pour les déplacements professionnels dans les rapports non financiers".
Légiférer pour rendre obligatoire et gratuite la fourniture de rapports de émissions de CO2 des voyages d'affaires
L’association demande à l’UE "de faire pression sur les fournisseurs de voyages et, si nécessaire, de légiférer pour rendre obligatoire et gratuite la fourniture de rapports de émissions de CO2 des voyages d’affaires à tous les clients professionnels".
Il faut donc veiller "à ce qu’un soutien financier suffisant soit accordé au secteur du voyage afin de l’aider à réaliser les investissements nécessaires dans les solutions numériques permettant de fournir des données précises et opportunes sur les émissions de carbone". Par ailleurs, "les déplacements entre le domicile et le travail doivent être inclus dans les exigences de reporting".
De plus, souligne, BT4 Europe "les voyageurs d’affaires peuvent contribuer de manière significative à une mobilité plus durable en Europe et en bénéficier en utilisant davantage le réseau en développement des chemins de fer longue distance et transfrontaliers".
C’est pourquoi l’association "demande instamment à l’UE à ce que les options de transport ferroviaire soient pleinement intégrées dans tous les systèmes de réservation de voyage d’affaires."
Il faut donc veiller "à ce qu’un soutien financier suffisant soit accordé au secteur du voyage afin de l’aider à réaliser les investissements nécessaires dans les solutions numériques permettant de fournir des données précises et opportunes sur les émissions de carbone". Par ailleurs, "les déplacements entre le domicile et le travail doivent être inclus dans les exigences de reporting".
De plus, souligne, BT4 Europe "les voyageurs d’affaires peuvent contribuer de manière significative à une mobilité plus durable en Europe et en bénéficier en utilisant davantage le réseau en développement des chemins de fer longue distance et transfrontaliers".
C’est pourquoi l’association "demande instamment à l’UE à ce que les options de transport ferroviaire soient pleinement intégrées dans tous les systèmes de réservation de voyage d’affaires."