Selon la dernière enquête « Loves and Hates » d’American Express Business Travel, 93 % des grands voyageurs s’attendent à se déplacer aussi souvent qu’en 2007, voire plus. Alors que, voici dix ans, le voyage d’affaires pouvait apparaître comme l’apanage des administrateurs et des dirigeants de haut rang, il semble désormais davantage perçu comme une nécessité professionnelle imposée par des formations (46 %), des congrès et séminaires (46 %), ou des réunions avec les clients à travers le monde (43 %) et beaucoup moins comme un symbole de statut .
L’enquête résulte d’un sondage effectué auprès de 500 voyageurs d’affaires européens par la société d’études indépendante LoudHouse.
Voyager ouvre l’esprit
Près des deux tiers (63 %) des voyageurs d’affaires admettent qu’ils aiment voyager à titre professionnel. Les niveaux de satisfaction augmentent parmi ceux qui voyagent le plus souvent à l’étranger :
L’enquête résulte d’un sondage effectué auprès de 500 voyageurs d’affaires européens par la société d’études indépendante LoudHouse.
Voyager ouvre l’esprit
Près des deux tiers (63 %) des voyageurs d’affaires admettent qu’ils aiment voyager à titre professionnel. Les niveaux de satisfaction augmentent parmi ceux qui voyagent le plus souvent à l’étranger :
• 76 % des gens qui prennent l’avion plus de dix fois par an affirment que cela leur plaît.
• 67 % considèrent que les voyages d’affaires leur donnent l‘occasion de voir le monde et d’élargir leurs horizons
• 56 % apprécient de rompre avec leur routine quotidienne ou hebdomadaire
• 55 % aiment rencontrer de nouvelles personnes pendant leurs déplacements d’affaires
Travail ou loisir ?
À une époque où les gens voyagent en général plus loin et plus souvent, les frontières entre voyage d’affaires et loisir commencent à s’estomper, car les habitudes en matière de déplacements professionnels tendent à se rapprocher davantage des préférences touristiques individuelles.
• 45 % des voyageurs choisissent la même compagnie aérienne pour leurs voyages d’affaires et personnels
• 41 % voyagent dans la même classe
• 35 % sont retournés en vacances dans un endroit où ils s’étaient rendus à titre professionnel
Annulations et modifications
Les deux tiers des personnes interrogées estiment qu’il est vital d’être capable de modifier ses projets de voyage au moins dans les 48 heures, et 16 % doivent réorganiser le programme de leur voyage au moins une fois sur deux, proportion qui atteint 29 % parmi les membres des conseils d’administration.
Beaucoup de voyageurs disent que la première personne qu’ils appelleraient en cas de bouleversement d’un aspect quelconque de leurs voyages serait leur conjoint ou leur compagne/compagnon (37 %), juste avant leur patron (34 %). Moins d’un quart (23%) disent qu’ils appelleraient d’abord leur agence de voyage spécialisée.
• 67 % considèrent que les voyages d’affaires leur donnent l‘occasion de voir le monde et d’élargir leurs horizons
• 56 % apprécient de rompre avec leur routine quotidienne ou hebdomadaire
• 55 % aiment rencontrer de nouvelles personnes pendant leurs déplacements d’affaires
Travail ou loisir ?
À une époque où les gens voyagent en général plus loin et plus souvent, les frontières entre voyage d’affaires et loisir commencent à s’estomper, car les habitudes en matière de déplacements professionnels tendent à se rapprocher davantage des préférences touristiques individuelles.
• 45 % des voyageurs choisissent la même compagnie aérienne pour leurs voyages d’affaires et personnels
• 41 % voyagent dans la même classe
• 35 % sont retournés en vacances dans un endroit où ils s’étaient rendus à titre professionnel
Annulations et modifications
Les deux tiers des personnes interrogées estiment qu’il est vital d’être capable de modifier ses projets de voyage au moins dans les 48 heures, et 16 % doivent réorganiser le programme de leur voyage au moins une fois sur deux, proportion qui atteint 29 % parmi les membres des conseils d’administration.
Beaucoup de voyageurs disent que la première personne qu’ils appelleraient en cas de bouleversement d’un aspect quelconque de leurs voyages serait leur conjoint ou leur compagne/compagnon (37 %), juste avant leur patron (34 %). Moins d’un quart (23%) disent qu’ils appelleraient d’abord leur agence de voyage spécialisée.
Ce qui irrite les voyageurs
Plus d’un quart des gens trouvent les voyages d’affaires particulièrement pénibles, mais 84 % ne pensent pas qu’ils le soient plus qu’il y a un an. Comme en 2006, ce que la majorité des gens (42 %) trouvent le plus stressant est tout simplement de se rendre à l’aéroport.
Une fois arrivé à l’aéroport, les principales préoccupations sont :
• Les retards et annulations de vols (60 %)
• Les files d’attente à l’enregistrement (57 %)
• Les pertes de temps dues aux attentes à l’aéroport (45 %)
Améliorer le vécu
On note quelques différences intéressantes entre les centres d’intérêt des hommes et des femmes en matière de voyages d’affaires. Les femmes souhaitent davantage pouvoir dormir lors des voyages long courriers : 41 % pensent qu’un lit horizontal leur rendrait l’avion plus agréable, contre seulement 28 % des hommes. Les femmes ont aussi tendance à donner la priorité à une récupération des bagages rapide (44 %), alors que seuls 29 % des hommes s’en préoccupent.
Confort matériel
Il semble que les voyageurs d’affaires soient attachés à leurs habitudes puisque 88 % des personnes interrogées pensent important de savoir exactement ce qu’elles trouveront en arrivant à leur hôtel. Les trois principaux désagréments hôteliers sont :
• Un lit inconfortable (59 %)
• Une salle de bains sale (49 %)
• Un emplacement malcommode (46 %)
En dehors des préoccupations quotidiennes des voyageurs individuels, l’étude a aussi mis en évidence l’importance du respect de la politique de voyage de l’entreprise. Il est encourageant de constater que 60 % des entreprises ont instauré une forme quelconque de politique de voyage d’affaires écrite, même si celle-ci ne peut être considérée comme complète et formalisée que dans 32 % des cas.
Cependant, seuls 45 % des salariés se conforment systématiquement à la politique de leur entreprise lors de la préparation de leurs voyages d’affaires. Là où existent des systèmes de réservation en ligne, 57 % des salariés admettent qu’ils comptent encore sur une certaine forme d’assistance hors ligne.
Cette étude fait suite à une enquête réalisée fin 2006. Elle repose sur 400 entretiens effectués en ligne avec des voyageurs d’affaires au Royaume-Uni, en France, en Allemagne et dans les pays Nordiques fin 2007. Elle a été réalisée par une société d’études marketing indépendante, Loudhouse Research, dont le siège se trouve à Londres.
www.americanexpress.com/businesstravel
Plus d’un quart des gens trouvent les voyages d’affaires particulièrement pénibles, mais 84 % ne pensent pas qu’ils le soient plus qu’il y a un an. Comme en 2006, ce que la majorité des gens (42 %) trouvent le plus stressant est tout simplement de se rendre à l’aéroport.
Une fois arrivé à l’aéroport, les principales préoccupations sont :
• Les retards et annulations de vols (60 %)
• Les files d’attente à l’enregistrement (57 %)
• Les pertes de temps dues aux attentes à l’aéroport (45 %)
Améliorer le vécu
On note quelques différences intéressantes entre les centres d’intérêt des hommes et des femmes en matière de voyages d’affaires. Les femmes souhaitent davantage pouvoir dormir lors des voyages long courriers : 41 % pensent qu’un lit horizontal leur rendrait l’avion plus agréable, contre seulement 28 % des hommes. Les femmes ont aussi tendance à donner la priorité à une récupération des bagages rapide (44 %), alors que seuls 29 % des hommes s’en préoccupent.
Confort matériel
Il semble que les voyageurs d’affaires soient attachés à leurs habitudes puisque 88 % des personnes interrogées pensent important de savoir exactement ce qu’elles trouveront en arrivant à leur hôtel. Les trois principaux désagréments hôteliers sont :
• Un lit inconfortable (59 %)
• Une salle de bains sale (49 %)
• Un emplacement malcommode (46 %)
En dehors des préoccupations quotidiennes des voyageurs individuels, l’étude a aussi mis en évidence l’importance du respect de la politique de voyage de l’entreprise. Il est encourageant de constater que 60 % des entreprises ont instauré une forme quelconque de politique de voyage d’affaires écrite, même si celle-ci ne peut être considérée comme complète et formalisée que dans 32 % des cas.
Cependant, seuls 45 % des salariés se conforment systématiquement à la politique de leur entreprise lors de la préparation de leurs voyages d’affaires. Là où existent des systèmes de réservation en ligne, 57 % des salariés admettent qu’ils comptent encore sur une certaine forme d’assistance hors ligne.
Cette étude fait suite à une enquête réalisée fin 2006. Elle repose sur 400 entretiens effectués en ligne avec des voyageurs d’affaires au Royaume-Uni, en France, en Allemagne et dans les pays Nordiques fin 2007. Elle a été réalisée par une société d’études marketing indépendante, Loudhouse Research, dont le siège se trouve à Londres.
www.americanexpress.com/businesstravel