Bretagne croisières : avec 22 escales pour 28 269 passagers, 2023 a ainsi été une année record pour Brest @MSC
Il n’y a pas que Marseille qui est ciblé par les militants anti-croisières.
Le collectif Stop Croisières Bretagne, selon une information d'Ouest France, a ainsi écrit aux présidents de la Région Bretagne, des conseils départementaux et des maires et présidents des ports de Brest, Concarneau, Douarnenez (Finistère), Lorient (Morbihan), Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) pour leur demander d’arrêter d’accueillir des paquebots de tourisme.
Le collectif Stop Croisières Bretagne, selon une information d'Ouest France, a ainsi écrit aux présidents de la Région Bretagne, des conseils départementaux et des maires et présidents des ports de Brest, Concarneau, Douarnenez (Finistère), Lorient (Morbihan), Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) pour leur demander d’arrêter d’accueillir des paquebots de tourisme.
Bretagne croisières : De nouvelles manifestations pourraient avoir lieu
Constatant que « les croisières vont encore fleurir sur nos côtes et dans nos ports en 2024 », ils regrettent que « ces choix n’aient pas été confrontés aux populations locales via l’organisation de temps d’échanges, ni de concertations publiques locales ».
Avec 22 escales pour 28 269 passagers, 2023 a ainsi été une année record pour Brest.
Le collectif ajoute : « Ce tourisme destiné à une poignée d’individus est indécent dans une époque de crise climatique majeure comme nous la vivons aujourd’hui. Les bouleversements météorologiques qui s’enchaînent ne pourront être freinés si le développement de l’industrie de la croisière se poursuit ».
Enfin, Stop croisières BZH conclut en prévenant que « si aucune discussion n’est ouverte, aucun acte n’est posé ou aucune décision n’est annoncée pour mettre fin à ces pratiques » qu’ils dénoncent, ils pourront compter sur leur détermination pour continuer à poursuivre la mobilisation.
Avec 22 escales pour 28 269 passagers, 2023 a ainsi été une année record pour Brest.
Le collectif ajoute : « Ce tourisme destiné à une poignée d’individus est indécent dans une époque de crise climatique majeure comme nous la vivons aujourd’hui. Les bouleversements météorologiques qui s’enchaînent ne pourront être freinés si le développement de l’industrie de la croisière se poursuit ».
Enfin, Stop croisières BZH conclut en prévenant que « si aucune discussion n’est ouverte, aucun acte n’est posé ou aucune décision n’est annoncée pour mettre fin à ces pratiques » qu’ils dénoncent, ils pourront compter sur leur détermination pour continuer à poursuivre la mobilisation.
Une quinzaine de collectifs européens réunis à Marseille le weekend dernier
Ainsi, à Douarnenez (Finistère), début octobre, 80 manifestants avaient accueilli les passagers du bateau de croisière World Traveller, avec des huées.
En août, une quarantaine de militants écologistes s’étaient aussi mobilisés à Concarneau contre l’arrivée d’un bateau de croisière avec des pancartes comportant des slogans tels « La croisière abuse » , ou encore « climat : tous dans le même bateau » .
A Marseille, plus d'une quinzaine de collectifs européens, soit une trentaine de personnes, étaient réunis le week-end dernier à l'appel de Stop Croisières, pour réclamer une réduction radicale des croisières et leur disparition à terme, l'arrêt du développement des infrastructures portuaires d'accueil ou encore l’organisation d'une transition pour les secteurs du tourisme dans les villes concernées.
En août, une quarantaine de militants écologistes s’étaient aussi mobilisés à Concarneau contre l’arrivée d’un bateau de croisière avec des pancartes comportant des slogans tels « La croisière abuse » , ou encore « climat : tous dans le même bateau » .
A Marseille, plus d'une quinzaine de collectifs européens, soit une trentaine de personnes, étaient réunis le week-end dernier à l'appel de Stop Croisières, pour réclamer une réduction radicale des croisières et leur disparition à terme, l'arrêt du développement des infrastructures portuaires d'accueil ou encore l’organisation d'une transition pour les secteurs du tourisme dans les villes concernées.