Suite au crash du vol IY 626 Sanaa-Moroni de la compagnie Yemenia en 2009, Thierry Mariani a pointé du doigt les insuffisances de l’enquête consécutive à l’accident, qui a coûté la vie à 152 personnes, indique son cabinet dans un communiqué, le 7 juillet 2011.
En effet, malgré les demandes du Bureau d’Enquêtes et d’Analyses (BEA) qui a apporté tout son concours à l’enquête dirigée par les autorités comoriennes, l’enquête n’a pas progressé.
Aucune mesure susceptible d’améliorer la sécurité des vols n’a encore été recommandée par la Commission d’enquête comorienne dont c’est pourtant la responsabilité.
Les familles des victimes, quant à elles, restent dans l’attente des éléments qui leur permettront de comprendre les circonstances de l’accident.
En effet, malgré les demandes du Bureau d’Enquêtes et d’Analyses (BEA) qui a apporté tout son concours à l’enquête dirigée par les autorités comoriennes, l’enquête n’a pas progressé.
Aucune mesure susceptible d’améliorer la sécurité des vols n’a encore été recommandée par la Commission d’enquête comorienne dont c’est pourtant la responsabilité.
Les familles des victimes, quant à elles, restent dans l’attente des éléments qui leur permettront de comprendre les circonstances de l’accident.
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Le ministre chargé des Transports a donc attiré l’attention du secrétaire général de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) sur les insuffisances de l’enquête consécutive à l’accident du vol IY 626 Sanaa-Moroni qui a coûté la vie à 152 personnes il y a un peu plus de 2 ans.
Rappelant que les règles de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) prévoient que l’Etat où est survenu l’accident publie un rapport dans les meilleurs délais, son secrétaire général Raymond Benjamin s’est engagé à apporter le soutien de l’OACI à cette demande auprès des autorités locales.
Rappelant que les règles de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) prévoient que l’Etat où est survenu l’accident publie un rapport dans les meilleurs délais, son secrétaire général Raymond Benjamin s’est engagé à apporter le soutien de l’OACI à cette demande auprès des autorités locales.