Alors qu'on ne connait toujours pas les causes du crash d'un Airbus de la compagnie aérienne Yemenia au large des Comores, en juin 2009, il semblerait que "les autorités comoriennes tardent à les rendre publiques sous la pression du Yémen", selon des sources concordantes de l'AFP.
Pourtant, il serait possible de les expliquer, affirment les enquêteurs français.
Les boîtes noires de l'appareil "ont été retrouvées dans les semaines suivant l'accident et le travail d'enquête devrait maintenant être abouti (...). Or il n'en est rien", a expliqué à l'AFP Jean-Paul Troadec, directeur du Bureau français d'enquêtes et d'analyses pour la sécurité de l'aviation civile (BEA).
Ces conclusions sont cruciales pour indemniser les familles de victimes, mais seuls les Comoriens sont habilités à communiquer sur l'enquête.
Pourtant, il serait possible de les expliquer, affirment les enquêteurs français.
Les boîtes noires de l'appareil "ont été retrouvées dans les semaines suivant l'accident et le travail d'enquête devrait maintenant être abouti (...). Or il n'en est rien", a expliqué à l'AFP Jean-Paul Troadec, directeur du Bureau français d'enquêtes et d'analyses pour la sécurité de l'aviation civile (BEA).
Ces conclusions sont cruciales pour indemniser les familles de victimes, mais seuls les Comoriens sont habilités à communiquer sur l'enquête.
Pour rappel, les 153 passagers de l'A310, partis de France, les passagers avaient changé d'appareil à Sanaa, au Yémen, pour embarquer dans un Airbus vieux de 19 ans. Seule une adolescente de 14 ans a survécu.
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