Fly Kiss...
Un bien joli nom de baptême pour une nouvelle compagnie aérienne française.
D’ici le 7 novembre 2016, ses avions s’envoleront depuis les aéroports de Brest, Clermont-Ferrand, Lille, Nice et Strasbourg ainsi que Londres Luton.
Fly Kiss a été créée par Bruno Lechevin, un entrepreneur de la région de Clermont-Ferrand, à la tête d’Enhance Aero, une société spécialisée dans la maintenance aéronautique, qui emploie une centaine de salariés, pour un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros.
Le groupe s’était lancé dans le vol charter d’incentive transportant des délégations gouvernementales, des VIP, ou des artistes en tournée.
Il franchit aujourd’hui un nouveau cap avec des lignes régulières entre 5 métropoles françaises, ainsi que la capitale anglaise.
Les vols, opérés par des Embraer 145 de 49 sièges, auront des horaires adaptés avec un minimum de trois fréquences par semaine.
Trois tarifs sont proposés : le basic, l'optimum et le premium, en fonction du degré de flexibilité du billet.
Par exemple, un Brest-Londres sera vendu à partir de 119 euros, un Brest Nice 169 euros. Les billets seront disponibles sur son site internet et dans les GDS début octobre.
Un bien joli nom de baptême pour une nouvelle compagnie aérienne française.
D’ici le 7 novembre 2016, ses avions s’envoleront depuis les aéroports de Brest, Clermont-Ferrand, Lille, Nice et Strasbourg ainsi que Londres Luton.
Fly Kiss a été créée par Bruno Lechevin, un entrepreneur de la région de Clermont-Ferrand, à la tête d’Enhance Aero, une société spécialisée dans la maintenance aéronautique, qui emploie une centaine de salariés, pour un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros.
Le groupe s’était lancé dans le vol charter d’incentive transportant des délégations gouvernementales, des VIP, ou des artistes en tournée.
Il franchit aujourd’hui un nouveau cap avec des lignes régulières entre 5 métropoles françaises, ainsi que la capitale anglaise.
Les vols, opérés par des Embraer 145 de 49 sièges, auront des horaires adaptés avec un minimum de trois fréquences par semaine.
Trois tarifs sont proposés : le basic, l'optimum et le premium, en fonction du degré de flexibilité du billet.
Par exemple, un Brest-Londres sera vendu à partir de 119 euros, un Brest Nice 169 euros. Les billets seront disponibles sur son site internet et dans les GDS début octobre.
Une compagnie 100% privée qui espère séduire 100 000 passagers
Les avions sont exploités sous CTA slovène, via sa filiale Si Avia, rachetée il y a un an. Les équipages sont européens, sous contrat de prestataire de service. Mais le PDG tient à préciser que ses avions sont basés en France.
La marque Fly Kiss est née début 2016, afin de répondre à un appel d’offre sur la ligne Lyon-Lorient qui a été ajourné.
Le groupe a donc décidé de se lancer seul, avec un investissement en fonds propres de 500 000 euros.
« Nous n’avons aucun financement public, il faut que cela marche dès la première année », espère Bruno Lechevin.
Il assure en effet que les lignes sélectionnées aujourd’hui sans aucun concurrent, peuvent être rentables.
« Regardez Britair qui exploitait à l’époque le Brest-Nice. Je ne pense pas que la ligne était déficitaire, car il y avait de la demande et les avions affichaient complet ».
Au total, il met sur le marché une capacité totale de 135 000 sièges, et espère séduire 100 000 passagers sur sa première année d’exploitation.
Si le succès est au rendez-vous, il pourrait étoffer sa flotte avec l’arrivée d’un 7e Embraer et donc de nouvelles lignes.
La marque Fly Kiss est née début 2016, afin de répondre à un appel d’offre sur la ligne Lyon-Lorient qui a été ajourné.
Le groupe a donc décidé de se lancer seul, avec un investissement en fonds propres de 500 000 euros.
« Nous n’avons aucun financement public, il faut que cela marche dès la première année », espère Bruno Lechevin.
Il assure en effet que les lignes sélectionnées aujourd’hui sans aucun concurrent, peuvent être rentables.
« Regardez Britair qui exploitait à l’époque le Brest-Nice. Je ne pense pas que la ligne était déficitaire, car il y avait de la demande et les avions affichaient complet ».
Au total, il met sur le marché une capacité totale de 135 000 sièges, et espère séduire 100 000 passagers sur sa première année d’exploitation.
Si le succès est au rendez-vous, il pourrait étoffer sa flotte avec l’arrivée d’un 7e Embraer et donc de nouvelles lignes.