Avant-hier Georges Colson, Christine Baal et Jean-Marc Rozé, respectivement président, vice-présidente et secrétaire général du SNAV ont rencontre Hervé Novelli dans ses bureaux de Bercy.
Le nouveau Secrétaire d'Etat a confirmé ses propos de Biarritz : il est à l'écoute des professionnels et rien de sera fait sans concertation.
La Directive sur les services, le régime d'Habilitation, la responsabilité « de plein droit » - imaginons des touristes pris en otage sur le Ponant... -, la possible évolution de la TVA actuellement sur la marge sont autant de décisions réglementaires qui conditionneront pour les années à venir l'exercice des métiers du tourisme.
Rappelons que, selon cette Directive, les États membres devront garantir le libre accès et le libre exercice d'une activité de services (dont le tourisme) sur leur territoire. Ils ne pourront donc imposer le respect de leur propre régime d'autorisation. Au SNAV maintenant d'occuper le terrain et de faire entendre sa voix.
Le Comité de Pilotage lancé par Luc Chatel devient un groupe de travail d'un effectif plus réduit dans lequel le SNAV aura sa place. Aux Assises du Tourisme de juin prochain il pourra faire valoir ses arguments. « Dans le passé on y parlait de tout, sauf des agences de voyages ! » observe Georges Colson.
Les surcharges répétitives de carburant qui alimentent un nouveau motif de controverse entre producteurs et distributeurs sont aussi un sujet qui fait l'actualité du président.
« Les tour-opérateurs et les distributeurs doivent se rencontrer pour évoquer ce sujet et trouver un modus vivendi et non s'engager dans une épreuve de force comme le veulent l'Alliance ou le G4 ».
Le nouveau Secrétaire d'Etat a confirmé ses propos de Biarritz : il est à l'écoute des professionnels et rien de sera fait sans concertation.
La Directive sur les services, le régime d'Habilitation, la responsabilité « de plein droit » - imaginons des touristes pris en otage sur le Ponant... -, la possible évolution de la TVA actuellement sur la marge sont autant de décisions réglementaires qui conditionneront pour les années à venir l'exercice des métiers du tourisme.
Rappelons que, selon cette Directive, les États membres devront garantir le libre accès et le libre exercice d'une activité de services (dont le tourisme) sur leur territoire. Ils ne pourront donc imposer le respect de leur propre régime d'autorisation. Au SNAV maintenant d'occuper le terrain et de faire entendre sa voix.
Le Comité de Pilotage lancé par Luc Chatel devient un groupe de travail d'un effectif plus réduit dans lequel le SNAV aura sa place. Aux Assises du Tourisme de juin prochain il pourra faire valoir ses arguments. « Dans le passé on y parlait de tout, sauf des agences de voyages ! » observe Georges Colson.
Les surcharges répétitives de carburant qui alimentent un nouveau motif de controverse entre producteurs et distributeurs sont aussi un sujet qui fait l'actualité du président.
« Les tour-opérateurs et les distributeurs doivent se rencontrer pour évoquer ce sujet et trouver un modus vivendi et non s'engager dans une épreuve de force comme le veulent l'Alliance ou le G4 ».