Les 28 collaborateurs d'Aviareps France ne devront pas chômer pour atteindre les 40% de croissance prévus en 2020. DR
Aviareps a de grandes ambitions sur le marché français.
Filiale d'un groupe allemand qui vient de fêter ses vingt ans, le bureau parisien gère aujourd'hui 20 clients compagnies aériennes et destinations.
Et compte bien séduire de nouveaux prospects pour soutenir sa croissance, afin de croître de 40% d'ici 2020.
Pour se faire, le bureau compte tout d'abord engager un représentant à Marseille en septembre prochain.
"Nous avons de plus en plus de demandes dans le sud de la France, notamment avec Air Arabia qui possède un hub à Montpellier " explique Gilles Gosselin le directeur France.
Le groupe vient également de s'installer sur les Champs Elysées, dans des bureaux plus spacieux de 400 m2. Une adresse prestigieuse appréciée notamment par ses clients asiatiques.
Un déménagement qui a impacté négativement ses comptes. Son chiffre d'affaires a chuté de 9 millions entre avril 2012 – mars 2013 à 8,7 millions sur le dernier exercice, clôturé en mars dernier, pour un résultat net de 210 000 euros après impôts.
Le bureau a également perdu quelques compagnies : Olympic Air, fusionné avec Aegean, Bmi et Air Namibia.
Des départs compensés par l'arrivée de nouveaux contrats ; Biman Bangladesh Airlines et Surinam Airways, et par la hausse des ventes de ses autres compagnies, notamment d'Air Lingus, son plus ancien partenaire.
"Nous vendons beaucoup de billets pour les Etats-Unis grâce à l'amélioration des correspondances. Le passage des formalités d'immigration se fait très facilement à Dublin" explique Gilles Gosselin.
Beaucoup de clients se rendent également dans l'agence qui abrite le bureau d'Asiana, dont les ventes vers Bali ou l'Australie sont en croissance.
Il gère aussi l'activité groupes de Surinam Airways, un marché très important pour la Guyane. Ou encore les ventes de la seule compagnie nigérienne qui ne soit pas sur liste noire Arik Air, et qui intéresse les groupes pétroliers.
Filiale d'un groupe allemand qui vient de fêter ses vingt ans, le bureau parisien gère aujourd'hui 20 clients compagnies aériennes et destinations.
Et compte bien séduire de nouveaux prospects pour soutenir sa croissance, afin de croître de 40% d'ici 2020.
Pour se faire, le bureau compte tout d'abord engager un représentant à Marseille en septembre prochain.
"Nous avons de plus en plus de demandes dans le sud de la France, notamment avec Air Arabia qui possède un hub à Montpellier " explique Gilles Gosselin le directeur France.
Le groupe vient également de s'installer sur les Champs Elysées, dans des bureaux plus spacieux de 400 m2. Une adresse prestigieuse appréciée notamment par ses clients asiatiques.
Un déménagement qui a impacté négativement ses comptes. Son chiffre d'affaires a chuté de 9 millions entre avril 2012 – mars 2013 à 8,7 millions sur le dernier exercice, clôturé en mars dernier, pour un résultat net de 210 000 euros après impôts.
Le bureau a également perdu quelques compagnies : Olympic Air, fusionné avec Aegean, Bmi et Air Namibia.
Des départs compensés par l'arrivée de nouveaux contrats ; Biman Bangladesh Airlines et Surinam Airways, et par la hausse des ventes de ses autres compagnies, notamment d'Air Lingus, son plus ancien partenaire.
"Nous vendons beaucoup de billets pour les Etats-Unis grâce à l'amélioration des correspondances. Le passage des formalités d'immigration se fait très facilement à Dublin" explique Gilles Gosselin.
Beaucoup de clients se rendent également dans l'agence qui abrite le bureau d'Asiana, dont les ventes vers Bali ou l'Australie sont en croissance.
Il gère aussi l'activité groupes de Surinam Airways, un marché très important pour la Guyane. Ou encore les ventes de la seule compagnie nigérienne qui ne soit pas sur liste noire Arik Air, et qui intéresse les groupes pétroliers.
Diversification vers l'hôtellerie
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Aviareps possède également un pôle tourisme, plus récent, qui pèse 30% de son activité et qui est aujourd'hui rentable. Le bureau représente l'Estonie, le Nevada, San Francisco Travel, Taiwan, Chic Outlet Shopping et Tahiti Tourisme.
Il vient d'ailleurs de renouveler son contrat avec Tahiti Tourime en récupérant la partie relation presse jusqu'à fin 2015.
Son portefeuille vient de s'enrichir du Stockholm Visitors Bureau pour le MICE ainsi que de l'hôtel Desroches Island, un établissement de 55 villas situé aux Seychelles.
Ce premier client hôtelier marque sa volonté de s'ouvrir à de nouveaux secteurs d'activités, une stratégie débutée depuis 2012.
"Je pense qu'il est important de se diversifier pour multiplier les expériences et apporter un autre éclairage au marché " assure Gilles Gosselin.
Son pôle tourisme, davantage tourné vers le marketing, peut ainsi échanger ses bonnes pratiques avec les compagnies aériennes majoritairement axées vers la vente.
Cette mixité lui apporte également une connaissance précise des marchés ainsi qu'une expertise globale, très utile lors des appels d'offres.
"Les clients sont aujourd'hui plus exigeants en terme de contenus et de résultats. Nous devons être plus précis et plus créatifs, mais nous disposons d'excellentes ressources face à la concurrence".
Il vient d'ailleurs de renouveler son contrat avec Tahiti Tourime en récupérant la partie relation presse jusqu'à fin 2015.
Son portefeuille vient de s'enrichir du Stockholm Visitors Bureau pour le MICE ainsi que de l'hôtel Desroches Island, un établissement de 55 villas situé aux Seychelles.
Ce premier client hôtelier marque sa volonté de s'ouvrir à de nouveaux secteurs d'activités, une stratégie débutée depuis 2012.
"Je pense qu'il est important de se diversifier pour multiplier les expériences et apporter un autre éclairage au marché " assure Gilles Gosselin.
Son pôle tourisme, davantage tourné vers le marketing, peut ainsi échanger ses bonnes pratiques avec les compagnies aériennes majoritairement axées vers la vente.
Cette mixité lui apporte également une connaissance précise des marchés ainsi qu'une expertise globale, très utile lors des appels d'offres.
"Les clients sont aujourd'hui plus exigeants en terme de contenus et de résultats. Nous devons être plus précis et plus créatifs, mais nous disposons d'excellentes ressources face à la concurrence".