La nouvelle aérogare accueillera un espace commercial de 13 500m², soit un doublement de la surface - Crédit photo : Aéroport de Marseille (AMP)
La rédaction de TourMaG, vous le révélait hier : l'architecte Norman Foster a été choisi pour dessiner l'agrandissement de l'aérogare et de la nouvelle jetée, devant permettre d'accueillir des gros-porteurs.
Ce projet vise à agrandir le cœur d'aéroport de plus de 20 000 m², en reliant les deux terminaux de l'aéroport Marseille Provence (AMP).
L'inspiration de ce bâtiment moderne et lumineux est à chercher du côté des paysages de culture provençale.
Norman Foster détaille son idée : "Nous sommes convaincus que l’architecture naît de la synthèse de l’ensemble des éléments qui, séparément, comprennent et forment le caractère d’un aéroport.
Ceci inclut la structure qui maintient le terminal et ses connexions, les réseaux qui lui permettent de fonctionner, son écologie, la qualité de sa lumière naturelle,.
Mais aussi le symbolisme de sa forme, la relation du bâtiment avec le paysage alentour, la manière dont l’on se déplace à l’intérieur ou autour de lui, et
finalement, sa capacité à participer à améliorer la vie des passagers via une expérience personnalisée et l’anticipation de leurs attentes."
Ce projet vise à agrandir le cœur d'aéroport de plus de 20 000 m², en reliant les deux terminaux de l'aéroport Marseille Provence (AMP).
L'inspiration de ce bâtiment moderne et lumineux est à chercher du côté des paysages de culture provençale.
Norman Foster détaille son idée : "Nous sommes convaincus que l’architecture naît de la synthèse de l’ensemble des éléments qui, séparément, comprennent et forment le caractère d’un aéroport.
Ceci inclut la structure qui maintient le terminal et ses connexions, les réseaux qui lui permettent de fonctionner, son écologie, la qualité de sa lumière naturelle,.
Mais aussi le symbolisme de sa forme, la relation du bâtiment avec le paysage alentour, la manière dont l’on se déplace à l’intérieur ou autour de lui, et
finalement, sa capacité à participer à améliorer la vie des passagers via une expérience personnalisée et l’anticipation de leurs attentes."
A termes 16 millions de passagers attendus, et Emirates en vue
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La pose de la première pierre se fera en 2020, pour une fin des travaux estimée en 2022, et une inauguration courant 2023.
Le chantier est ancré dans le projet "Cap 2025" qui doit permettre de franchir le palier des 11 millions de visiteurs dans l'unique terminal 1, contre 8,5 millions (sur les deux terminaux) en 2016. Le cœur de l'aéroport est censé faire passer l'institution marseillaise dans la modernité. Le coût est estimé à 250 millions d'euros, le financement se fera par emprunt.
Ainsi, la fluidité dans le parcours passager sera améliorée, l'activité commerciale développée, les futures exigences normatives doivent être anticipées, le coût de fonctionnement diminué.
Au-delà de cette annonce d'envergure et un chamboulement de son actionnariat avec le désengagement de l’État en 2018, l'AMP prévoit d'autres avancées. Selon le président du directoire d'AMP, l'aéroport prévoit des tractations avec la compagnie Emirates dès 2019, et aborde la possibilité d'accueillir une connexion avec les États-Unis.
Le cabinet Norman Foster ne s'arrête pas en si bon chemin. Il aura à charge de dessiner la future jetée permettant alors de décupler la capacité d'accueil et de la porter à 16 millions de passagers, à l'orée 2027.
L'aéroport de Marseille deviendrait alors le premier aéroport régional, soit le troisième de France, derrière ceux de Paris. La bataille de l'aérien se mène aussi à terre
Le chantier est ancré dans le projet "Cap 2025" qui doit permettre de franchir le palier des 11 millions de visiteurs dans l'unique terminal 1, contre 8,5 millions (sur les deux terminaux) en 2016. Le cœur de l'aéroport est censé faire passer l'institution marseillaise dans la modernité. Le coût est estimé à 250 millions d'euros, le financement se fera par emprunt.
Ainsi, la fluidité dans le parcours passager sera améliorée, l'activité commerciale développée, les futures exigences normatives doivent être anticipées, le coût de fonctionnement diminué.
Au-delà de cette annonce d'envergure et un chamboulement de son actionnariat avec le désengagement de l’État en 2018, l'AMP prévoit d'autres avancées. Selon le président du directoire d'AMP, l'aéroport prévoit des tractations avec la compagnie Emirates dès 2019, et aborde la possibilité d'accueillir une connexion avec les États-Unis.
Le cabinet Norman Foster ne s'arrête pas en si bon chemin. Il aura à charge de dessiner la future jetée permettant alors de décupler la capacité d'accueil et de la porter à 16 millions de passagers, à l'orée 2027.
L'aéroport de Marseille deviendrait alors le premier aéroport régional, soit le troisième de France, derrière ceux de Paris. La bataille de l'aérien se mène aussi à terre