2023 est une année record pour l’aéroport Marseille Provence. La plateforme a accueilli 10 800 254 passagers, dépassant de 648 400 pax le record établi en 2019.
Cependant, le nombre de vol commerciaux est en léger recul (-0,7 % de mouvements d’avions par rapport à 2019), phénomène dû, entre autres, à un meilleur remplissage des avions.
Pour l'AMP, les flux en provenance et à destination de l’international sont en constante progression (+17% versus 2019 et 25% versus 2022).
Le Top 5 des pays dont les lignes sont les plus empruntées sont : l’Espagne (dont îles Canaries) avec plus d’1 million de passagers, l’Algérie (823 642), le Maroc (803 664), la Grande Bretagne (748 661), et l’Italie (583 684).
"En 2023, nous avons gagné le pari d’accueillir de grands évènements internationaux tout en poursuivant le chantier titanesque du Terminal 1. En 2024, la métamorphose de ses aérogares sera complète, tandis que celle de notre activité se poursuivra, pour offrir à nos passagers un aéroport haut de gamme, résolument tourné vers un avenir responsable.
Les voyageurs emporteront avec eux, un souvenir en or de leur passage chez nous, et nous l’espérons des Jeux Olympiques !" exprime Philippe Bernand, président du directoire d’Aéroport Marseille Provence.
Cependant, le nombre de vol commerciaux est en léger recul (-0,7 % de mouvements d’avions par rapport à 2019), phénomène dû, entre autres, à un meilleur remplissage des avions.
Pour l'AMP, les flux en provenance et à destination de l’international sont en constante progression (+17% versus 2019 et 25% versus 2022).
Le Top 5 des pays dont les lignes sont les plus empruntées sont : l’Espagne (dont îles Canaries) avec plus d’1 million de passagers, l’Algérie (823 642), le Maroc (803 664), la Grande Bretagne (748 661), et l’Italie (583 684).
"En 2023, nous avons gagné le pari d’accueillir de grands évènements internationaux tout en poursuivant le chantier titanesque du Terminal 1. En 2024, la métamorphose de ses aérogares sera complète, tandis que celle de notre activité se poursuivra, pour offrir à nos passagers un aéroport haut de gamme, résolument tourné vers un avenir responsable.
Les voyageurs emporteront avec eux, un souvenir en or de leur passage chez nous, et nous l’espérons des Jeux Olympiques !" exprime Philippe Bernand, président du directoire d’Aéroport Marseille Provence.
Aéroport Marseille Provence : 2024 tournée vers l’international ?
Avec l'arrivé des Jeux Olympique, l'aéroport Marseille est encore en métamorphose, le Terminal 1 ouvrira ses portes en juin pour accueillir les spectateurs des épreuves de voiles et de football qui se dérouleront à Marseille.
Dans ce contexte, l’année 2024 sera logiquement tournée vers l’international avec, cet été, la desserte de 36 pays, 128 destinations, 164 lignes opérées par 34 compagnies aériennes, dont 6 nouvelles destinations déjà annoncées tels que : Stockholm en Suède, Antalya en Turquie (Transavia), et Zagreb en Croatie, Wroclaw en Pologne, Amman en Jordanie et Limoges (Ryanair).
Mais ce n'est pas tout, 2024 sera également l’année du lancement de l'Étude d’Impact selon l’Approche Équilibrée, sous l’autorité de la Préfecture et avec l’appui technique de la direction de la sécurité de l’aviation civile sud-est et dont l’objectif sera de trouver un point d’équilibre qui permettra de développer l'activité aéroportuaire, en accord avec les besoins du territoire, tout en limitant l’impact pour les riverains.
Dans ce contexte, l’année 2024 sera logiquement tournée vers l’international avec, cet été, la desserte de 36 pays, 128 destinations, 164 lignes opérées par 34 compagnies aériennes, dont 6 nouvelles destinations déjà annoncées tels que : Stockholm en Suède, Antalya en Turquie (Transavia), et Zagreb en Croatie, Wroclaw en Pologne, Amman en Jordanie et Limoges (Ryanair).
Mais ce n'est pas tout, 2024 sera également l’année du lancement de l'Étude d’Impact selon l’Approche Équilibrée, sous l’autorité de la Préfecture et avec l’appui technique de la direction de la sécurité de l’aviation civile sud-est et dont l’objectif sera de trouver un point d’équilibre qui permettra de développer l'activité aéroportuaire, en accord avec les besoins du territoire, tout en limitant l’impact pour les riverains.