A la suite d'un bilan 2008 établi à 1 254 000 passagers (11ème rang national) avec l'ouverture de 5 nouvelles lignes et au vu de la crise actuelle, on attendait le bilan du trafic du 1er trimestre pour l'aéroport avec curiosité.
Alors que Bordeaux, Toulouse, Marseille, Nice, Lyon, Nantes, Lille, Strasbourg affichent des résultats négatifs entre -0,1 et -20%, Montpellier progresse de 0,7% malgré une baisse du trafic sur Orly.
Pour 2009, on notera que les compagnies étrangères augmentant leur offre en sièges, les vols affrétés seront plus nombreux, avec de nouvelles destinations et 2 nouvelles lignes seront opérationnelles.
Les responsables de l'aéroport (Jean-Pierre Fabre et Eric Demon) ont évoqué l'avenir de l'aéroport.
Alors que Bordeaux, Toulouse, Marseille, Nice, Lyon, Nantes, Lille, Strasbourg affichent des résultats négatifs entre -0,1 et -20%, Montpellier progresse de 0,7% malgré une baisse du trafic sur Orly.
Pour 2009, on notera que les compagnies étrangères augmentant leur offre en sièges, les vols affrétés seront plus nombreux, avec de nouvelles destinations et 2 nouvelles lignes seront opérationnelles.
Les responsables de l'aéroport (Jean-Pierre Fabre et Eric Demon) ont évoqué l'avenir de l'aéroport.
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La CCI de Montpellier s'est engagée dans le processus de transformation en société aéroportuaire. Le traité d'apport et le contrat de mise à disposition du personnel a été approuvé.
Ainsi, le 22 avril sera mis en place provisoirement une société à capital unique qui, au 1er juillet 2009, laissera place à une SA à capitaux publics. Les actionnaires seront l'Etat (60% jusqu'en 2012), la CCI (25%), les collectivités territoriales (15%).
L'implantation d'une compagnie "basée" (siège social sur l'aéroport, 3 à 5 avions sur place) est à l'étude pour développer le potentiel économique et éviter le monopole.
Des contacts permettent de s'orienter vers un modèle low cost, avec des avions modernes de 120 places pour des destinations transversales. A suivre.
Ainsi, le 22 avril sera mis en place provisoirement une société à capital unique qui, au 1er juillet 2009, laissera place à une SA à capitaux publics. Les actionnaires seront l'Etat (60% jusqu'en 2012), la CCI (25%), les collectivités territoriales (15%).
L'implantation d'une compagnie "basée" (siège social sur l'aéroport, 3 à 5 avions sur place) est à l'étude pour développer le potentiel économique et éviter le monopole.
Des contacts permettent de s'orienter vers un modèle low cost, avec des avions modernes de 120 places pour des destinations transversales. A suivre.