Le conseil d'administration d'Air Tahiti Nui, réuni mardi, a approuvé ces deux nouvelles liaisons. Air Tahiti Nui a lancé en milieu d'année 2003 une étude sur la viabilité d'une ligne à destination de la côte est des Etats-Unis, complétée par une autre étude menée par le Comité mondial du tourisme et du voyage (WTTC), suite à la demande du président du gouvernement de la Polynésie française, Gaston Flosse, à son P-dg, Sir Ian Prosser.
La destination américaine demeurait cependant en concurrence avec Shanghai, Vancouver et Sydney, encore en février, avait indiqué Gaston Flosse. La ligne Papeete-Sydney a par ailleurs été largement évoqué, en mars, entre le Président de la Polynésie française, et le consul général d’Australie en poste à Nouméa, Denise Fisher.
Le conseil d'administration a tranché mardi pour l'Australie et la côte est des Etats-Unis. Le cinquième appareil de la flotte ATN, disponible en juin 2005, est un airbus A340 300 qui dispose de six sièges en première classe, 24 en classe "affaires" et 264 en classe économique.
Augmentation de capital de 4,2 à 6,7 M€
Après négociation entre le président d'Airbus Industrie et le président du gouvernement de la Polynésie française, le coût de l'appareil a été arrêté à 108 millions de dollars US (environ 10,8 milliards de Fcfp), selon les déclarations à la mi-janvier du Président de la Polynésie française, Gaston Flosse.
L'avion a fait l'objet le 27 février de la signature d'un avenant au pacte d'actionnaires, se traduisant par une augmentation du capital de l'ordre de 500 à 800 millions de Fcfp (de 4,2 à 6,7 millions d'euros). Par cet avenant, la Polynésie française s'engage à apporter son soutien financier et sa garantie à la compagnie jusqu'en 2010, date de la fin de la période de défiscalisation concernant l'appareil.
Air Tahiti Nui dessert aujourd'hui Los Angeles, à raison de treize rotations par semaine, Paris (cinq rotations), Auckland (trois rotations), Narita (trois rotations) et Osaka (une rotation). La compagnie fêtera son sixième anniversaire en novembre prochain.
La destination américaine demeurait cependant en concurrence avec Shanghai, Vancouver et Sydney, encore en février, avait indiqué Gaston Flosse. La ligne Papeete-Sydney a par ailleurs été largement évoqué, en mars, entre le Président de la Polynésie française, et le consul général d’Australie en poste à Nouméa, Denise Fisher.
Le conseil d'administration a tranché mardi pour l'Australie et la côte est des Etats-Unis. Le cinquième appareil de la flotte ATN, disponible en juin 2005, est un airbus A340 300 qui dispose de six sièges en première classe, 24 en classe "affaires" et 264 en classe économique.
Augmentation de capital de 4,2 à 6,7 M€
Après négociation entre le président d'Airbus Industrie et le président du gouvernement de la Polynésie française, le coût de l'appareil a été arrêté à 108 millions de dollars US (environ 10,8 milliards de Fcfp), selon les déclarations à la mi-janvier du Président de la Polynésie française, Gaston Flosse.
L'avion a fait l'objet le 27 février de la signature d'un avenant au pacte d'actionnaires, se traduisant par une augmentation du capital de l'ordre de 500 à 800 millions de Fcfp (de 4,2 à 6,7 millions d'euros). Par cet avenant, la Polynésie française s'engage à apporter son soutien financier et sa garantie à la compagnie jusqu'en 2010, date de la fin de la période de défiscalisation concernant l'appareil.
Air Tahiti Nui dessert aujourd'hui Los Angeles, à raison de treize rotations par semaine, Paris (cinq rotations), Auckland (trois rotations), Narita (trois rotations) et Osaka (une rotation). La compagnie fêtera son sixième anniversaire en novembre prochain.