
« Nous attendons les conclusions de l’enquête. Notre seule certitude est qu’il ne s’agissait pas d’une panne moteur et la vie des passagers n’a jamais été menacée »...
Plus de peur que de mal, en fin de semaine dernière, pour les 350 passagers du vol Paris (Roissy)-Montréal de la compagnie Air Transat.
Vendredi midi, au décollage, les pilotes de l’A330 ont réagi à un problème technique, freinant brutalement l’appareil qui s’est immobilisé en bout de piste. Les passagers ont été débarqués, puis logés la nuit à l’hôtel Ibis de Roissy.
Selon Le Parisien qui a révélé l’incident dans son édition dominicale, l’avion a été réparé et contrôlé par la société d’assistance Swissport, avant de décoller pour Montréal le lendemain, samedi soir vers 20 heures, avec des pneus et des freins neufs.
Vendredi midi, au décollage, les pilotes de l’A330 ont réagi à un problème technique, freinant brutalement l’appareil qui s’est immobilisé en bout de piste. Les passagers ont été débarqués, puis logés la nuit à l’hôtel Ibis de Roissy.
Selon Le Parisien qui a révélé l’incident dans son édition dominicale, l’avion a été réparé et contrôlé par la société d’assistance Swissport, avant de décoller pour Montréal le lendemain, samedi soir vers 20 heures, avec des pneus et des freins neufs.
L'hypothèse d'une panne moteur semble aujourd'hui exclue
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«Nous attendons les conclusions de l’enquête. Notre seule certitude est qu’il ne s’agissait pas d’une panne moteur.
La vie des passagers n’a jamais été menacée» a tenu toutefois à rassurer Jean-Michel Laberge, Conseiller, affaires publiques et communication de Transat A.T. Inc, basé à Montréal.
«Les passagers ont bien réagi à notre décision de leur donner une compensation de 200$canadien (128 €)», précise-t-il. Air Transat aura du gérer quelques retards à Montréal à la suite de l’incident.
Jean-Michel Laberge a souligné que l’escale parisienne avait été «peu perturbée» : «A ma connaissance, tout est rapidement rentré dans l’ordre».
La vie des passagers n’a jamais été menacée» a tenu toutefois à rassurer Jean-Michel Laberge, Conseiller, affaires publiques et communication de Transat A.T. Inc, basé à Montréal.
«Les passagers ont bien réagi à notre décision de leur donner une compensation de 200$canadien (128 €)», précise-t-il. Air Transat aura du gérer quelques retards à Montréal à la suite de l’incident.
Jean-Michel Laberge a souligné que l’escale parisienne avait été «peu perturbée» : «A ma connaissance, tout est rapidement rentré dans l’ordre».