Mike Riddell, Directeur Général du Marineland depuis 25 ans, débarqué par les actionnaires
L’avenir de Marineland, premier parc marin d’Europe à Antibes et 3 e parc d’attraction de France avec 1,3 million de visiteurs et un chiffre d’affaires de 15 ME, passe peut être par sa cession.
Il est vrai que dans le contexte européen, Marineland reste une exception par son indépendance. Mike Riddell, Directeur Général du Marineland depuis 25 ans, a été débarqué par les actionnaires. Il est remplacé par Michel Dompnier qui fut DRH 5 ans à EuroDisney.
Stratégie de croissance : l'acquisition de sites en France et en Europe
Mais sa nomination pourrait n'être que provisoire. On évoque de plus en plus la cession de Marineland par les actionnaires. La Compagnie des Alpes serait sur les rangs. Cette société gère des stations de sports d’hiver (les Alpes en France, Suisse et Italie) avec lesquelles elle réalise 245 ME soit environ les deux tiers de son chiffre d'affaires.
L'activité parcs de loisirs (127 ME) est liée au Parc Asterix, France Miniatures, Grevin, Planète Sauvage ainsi qu'à 6 parcs en Allemagne, aux Pays-Bas et en Angleterre. Il mène une stratégie de croissance qui repose sur l'acquisition de sites en France et en Europe et le développement des sites qu'il gère et anime.
Le personnel de Marineland (300 toute l’année, 600 en saison) a rencontré le propriétaire fondateur Roland de la Poype. Si ce dernier n’a pas confirmé la vente les dissensions avec Mike Riddell et son limogeage après 25 ans de bons et loyaux services ne présagent rien de bon.
Les résultats, moins florissants, sont toujours acceptables
Le personnel ne redoute que le nouveau propriétaire ne parte sur une activité saisonnière avec fermeture du parc sur 4 mois contre un aujourd’hui. Fait plus positif, le nouvel acquéreur aurait les moyens d’engager les investissements nécessaires dans de nouvelles attractions et notamment le pavillon polaire que souhaitait réaliser Mike Riddell.
Il faudra toutefois que le parc tienne compte du jugement de la Cour d’Appel sur un litige portant sur la possibilité de construire sur le site. Le personnel souligne que les résultats, moins florissants, sont toujours acceptables. Ils craignent que le nouveau repreneur ne ferme le parc 4 mois durant l’hiver contre un mois (Janvier) actuellement.
Il est vrai que dans le contexte européen, Marineland reste une exception par son indépendance. Mike Riddell, Directeur Général du Marineland depuis 25 ans, a été débarqué par les actionnaires. Il est remplacé par Michel Dompnier qui fut DRH 5 ans à EuroDisney.
Stratégie de croissance : l'acquisition de sites en France et en Europe
Mais sa nomination pourrait n'être que provisoire. On évoque de plus en plus la cession de Marineland par les actionnaires. La Compagnie des Alpes serait sur les rangs. Cette société gère des stations de sports d’hiver (les Alpes en France, Suisse et Italie) avec lesquelles elle réalise 245 ME soit environ les deux tiers de son chiffre d'affaires.
L'activité parcs de loisirs (127 ME) est liée au Parc Asterix, France Miniatures, Grevin, Planète Sauvage ainsi qu'à 6 parcs en Allemagne, aux Pays-Bas et en Angleterre. Il mène une stratégie de croissance qui repose sur l'acquisition de sites en France et en Europe et le développement des sites qu'il gère et anime.
Le personnel de Marineland (300 toute l’année, 600 en saison) a rencontré le propriétaire fondateur Roland de la Poype. Si ce dernier n’a pas confirmé la vente les dissensions avec Mike Riddell et son limogeage après 25 ans de bons et loyaux services ne présagent rien de bon.
Les résultats, moins florissants, sont toujours acceptables
Le personnel ne redoute que le nouveau propriétaire ne parte sur une activité saisonnière avec fermeture du parc sur 4 mois contre un aujourd’hui. Fait plus positif, le nouvel acquéreur aurait les moyens d’engager les investissements nécessaires dans de nouvelles attractions et notamment le pavillon polaire que souhaitait réaliser Mike Riddell.
Il faudra toutefois que le parc tienne compte du jugement de la Cour d’Appel sur un litige portant sur la possibilité de construire sur le site. Le personnel souligne que les résultats, moins florissants, sont toujours acceptables. Ils craignent que le nouveau repreneur ne ferme le parc 4 mois durant l’hiver contre un mois (Janvier) actuellement.