Samedi 4 novembre 2017, un missile balistique visant l'aéroport international King Khaled de Riyad (Arabie Saoudite) a été intercepté.
Le tir a été revendiqué par les rebelles yéménites Houthis, contre qui se bat la coalition arabe à la tête de laquelle se trouve l'Arabie Saoudite.
Des fragments ont été retrouvés aux alentours de l’aéroport, mais aucune victime n'a été recensée.
L'aéroport fonctionne normalement et aucun vol n'a été affecté.
Le conflit est aussi et surtout diplomatique : les rebelles, chiites, sont soutenus par l'Iran contre la coalition, sunnite, qui y voit une tentative de prise de pouvoir de Téhéran sur la région.
Le 6 novembre 2017 un communiqué envoyé par Riyad accusait l'Iran de soutenir militairement les rebelles, et qualifiait la position de l’Iran d’"acte de guerre". Des accusations rejetées fermement par Téhéran, mais qui durcissent encore un peu les tensions dans la région.
Le tir a été revendiqué par les rebelles yéménites Houthis, contre qui se bat la coalition arabe à la tête de laquelle se trouve l'Arabie Saoudite.
Des fragments ont été retrouvés aux alentours de l’aéroport, mais aucune victime n'a été recensée.
L'aéroport fonctionne normalement et aucun vol n'a été affecté.
Le conflit est aussi et surtout diplomatique : les rebelles, chiites, sont soutenus par l'Iran contre la coalition, sunnite, qui y voit une tentative de prise de pouvoir de Téhéran sur la région.
Le 6 novembre 2017 un communiqué envoyé par Riyad accusait l'Iran de soutenir militairement les rebelles, et qualifiait la position de l’Iran d’"acte de guerre". Des accusations rejetées fermement par Téhéran, mais qui durcissent encore un peu les tensions dans la région.