Elisabeth Borne, a annoncé la conclusion des Assises du transport aérien, vendredi 8 mars 2019, près d'un an après leur lancement - DR : Assises nationales du transport aérien
Après 200 heures de débats, 37 réunions et 14 colloques, la ministre des Transports, Elisabeth Borne, a annoncé la conclusion des Assises du transport aérien, vendredi 8 mars 2019, près d'un an après leur lancement, le 21 mars 2018.
Dans un communiqué, la Fédération nationale de l'aviation marchande (FNAM), principale organisation professionnelle du secteur aérien, tire un premier bilan, négatif, des mesures proposées.
Si elles "méritent d’être examinées [...] ces dernières ne sont pas à la hauteur des enjeux et de l’urgence. Aucune de ces mesures ne rétablira vraiment le « level playing field » pour le transport aérien français", s'est exprimé Alain Battisti, président de la FNAM et de Chalair aviation.
Cet "acte politique fort [...] se termine par des propositions insuffisantes pour redynamiser notre secteur confronté à des concurrents conservant les avantages de leur pays d’origine, y compris sur le marché français. C’est pourquoi, depuis 10 ans, le transport aérien français n’a réussi à capter que 10% du marché français qui est pourtant le second en Europe", estime la fédération.
Dans un communiqué, la Fédération nationale de l'aviation marchande (FNAM), principale organisation professionnelle du secteur aérien, tire un premier bilan, négatif, des mesures proposées.
Si elles "méritent d’être examinées [...] ces dernières ne sont pas à la hauteur des enjeux et de l’urgence. Aucune de ces mesures ne rétablira vraiment le « level playing field » pour le transport aérien français", s'est exprimé Alain Battisti, président de la FNAM et de Chalair aviation.
Cet "acte politique fort [...] se termine par des propositions insuffisantes pour redynamiser notre secteur confronté à des concurrents conservant les avantages de leur pays d’origine, y compris sur le marché français. C’est pourquoi, depuis 10 ans, le transport aérien français n’a réussi à capter que 10% du marché français qui est pourtant le second en Europe", estime la fédération.