Dans un communiqué diffusé ce vendredi 31 mai 2013, l'Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie (UMIH), "salue la version quasi-définitive" de la nouvelle norme AFNOR sur les avis de consommateurs en ligne.
L'organisation note qu'il demeure certaines "marges de progrès" mais se satisfait de la prise en compte de ses remarques.
Les sites qui gèrent les avis spontanés devront ainsi désormais demander une preuve d'achat et permettre aux internautes d'identifier et de filtrer les avis adossés à une preuve.
Quant aux avis de plus de deux ans, s'ils restent accessibles en ligne, ils ne seront plus pris en compte dans le calcul de la note de l'établissement concerné. Par ailleurs, en cas de changement de propriétaire, le site devra supprimer et archiver les anciens commentaires ou indiquer clairement qu'un changement s'est produit.
Par ailleurs, les hôtels auront la possibilité de signaler aux plateformes un avis qui présente manifestement une intention d'atteinte avérée à sa réputation, dans le but d'obtenir une compensation financière par exemple.
Sur le droit de réponse, la nome précise que celui-ci est gratuit et que le professionnel peut y répondre en joignant des pièces telles des photographies. La réponse devra être publiée sous 7 jours maximum à compter de la demande.
L'Union note toutefois que certaines de ces revendications ne sont pas prises en compte par cette version. Notamment la création d'une plateforme gratuite d'alerte des hôteliers pour qu'ils soient avertis de la publication d'un avis qui les concerne.
De plus, l'UMIH demandait aussi l'apposition de mentions « avis rémunéré » ou « avis dans le cadre d'un jeu-concours ». Une mesure qui ne figure pas dans la version mentionnée.
L'organisation note qu'il demeure certaines "marges de progrès" mais se satisfait de la prise en compte de ses remarques.
Les sites qui gèrent les avis spontanés devront ainsi désormais demander une preuve d'achat et permettre aux internautes d'identifier et de filtrer les avis adossés à une preuve.
Quant aux avis de plus de deux ans, s'ils restent accessibles en ligne, ils ne seront plus pris en compte dans le calcul de la note de l'établissement concerné. Par ailleurs, en cas de changement de propriétaire, le site devra supprimer et archiver les anciens commentaires ou indiquer clairement qu'un changement s'est produit.
Par ailleurs, les hôtels auront la possibilité de signaler aux plateformes un avis qui présente manifestement une intention d'atteinte avérée à sa réputation, dans le but d'obtenir une compensation financière par exemple.
Sur le droit de réponse, la nome précise que celui-ci est gratuit et que le professionnel peut y répondre en joignant des pièces telles des photographies. La réponse devra être publiée sous 7 jours maximum à compter de la demande.
L'Union note toutefois que certaines de ces revendications ne sont pas prises en compte par cette version. Notamment la création d'une plateforme gratuite d'alerte des hôteliers pour qu'ils soient avertis de la publication d'un avis qui les concerne.
De plus, l'UMIH demandait aussi l'apposition de mentions « avis rémunéré » ou « avis dans le cadre d'un jeu-concours ». Une mesure qui ne figure pas dans la version mentionnée.
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