40 % des entreprises interrogées affichent cependant encore un budget voyages en recul.
C'est tout de même un progrès si l'on s'en réfère aux 66 % en 2009... et 29 % annoncent une stabilité et 31 % une augmentation, soit 3 fois plus que l'an dernier !
Les entreprises qui se sont recentrées sur leurs fondamentaux se reposent davantage sur leur TMC, quel que soit leur taille ou leur niveau de dépenses.
Parmi les 4 premiers leviers d'optimisation de dépenses de voyages, 3 concernent les négociations et le renforcement des relations avec les fournisseurs dont la TMC.
Son usage devient le premier levier d'optimisation des dépenses en 2010 devant le « best buy », premier levier en 2009.
C'est tout de même un progrès si l'on s'en réfère aux 66 % en 2009... et 29 % annoncent une stabilité et 31 % une augmentation, soit 3 fois plus que l'an dernier !
Les entreprises qui se sont recentrées sur leurs fondamentaux se reposent davantage sur leur TMC, quel que soit leur taille ou leur niveau de dépenses.
Parmi les 4 premiers leviers d'optimisation de dépenses de voyages, 3 concernent les négociations et le renforcement des relations avec les fournisseurs dont la TMC.
Son usage devient le premier levier d'optimisation des dépenses en 2010 devant le « best buy », premier levier en 2009.
La valeur de l'agence davantage mesurée et reconnue
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44 % des entreprises mesurent désormais la performance économique de sa TMC (+ 20 points vs 2009).
C'est le 2e critère d'évaluation de l'agence après la qualité de service. Les entreprises attachent également une importance au contrôle des coûts et à la consolidation des données.
En 2010 les entreprises ont davantage recours aux services de leur TMC sur l'ensemble de la chaîne de valeur par rapport à 2009. En effet, la capacité de la TMC à être force de proposition - notamment pour des services à valeur ajoutée - est au cœur des enjeux de l'entreprise.
C'est le 2e critère d'évaluation de l'agence après la qualité de service. Les entreprises attachent également une importance au contrôle des coûts et à la consolidation des données.
En 2010 les entreprises ont davantage recours aux services de leur TMC sur l'ensemble de la chaîne de valeur par rapport à 2009. En effet, la capacité de la TMC à être force de proposition - notamment pour des services à valeur ajoutée - est au cœur des enjeux de l'entreprise.
Top 10 des services à valeur ajoutée sollicités par les entreprises à leur agence :
- Assistance 24/24 : 70 % (+ 5 points)
- Solutions de réservation en ligne : 64 % (+ 4 points)
- Intégration de la PVE (politique voyage) dans les systèmes d'information : 42 % (+ 3 points)
- Diagnostic – Amélioration de la démarche achat : 38 % (+ 14 points)
- Audit, analyse et recommandations sur le workflow (gestion du flux) : 36 %
- Formation et conduite du changement : 34 % (+ 5 points)
- Sourcing aérien : 28 %
- Sourcing hôtelier : 26 %
- Optimisation de la PVE : 25 %
- Solution de géolocalisation des voyageurs : 22 %
- Solutions de réservation en ligne : 64 % (+ 4 points)
- Intégration de la PVE (politique voyage) dans les systèmes d'information : 42 % (+ 3 points)
- Diagnostic – Amélioration de la démarche achat : 38 % (+ 14 points)
- Audit, analyse et recommandations sur le workflow (gestion du flux) : 36 %
- Formation et conduite du changement : 34 % (+ 5 points)
- Sourcing aérien : 28 %
- Sourcing hôtelier : 26 %
- Optimisation de la PVE : 25 %
- Solution de géolocalisation des voyageurs : 22 %
Contrôles internes étendus et renforcés pour les collaborateurs
- 93 % des entreprises interrogées indiquent disposer désormais d'une PVE unique.
- 75 % déclarent mener des négociations au niveau mondial
- Le « full SBT » est optimisé au-delà de la réservation. On observe un plus large usage des self booking tools en amont et en aval de la réservation avec la mise en place de nouvelles fonctions intégrées comme la saisie des ordres de mission et le paiement des notes de frais.
- 93 % des entreprises interrogées indiquent avoir mis en place des procédures de suivi et de contrôle des budgets voyages. Un exemple : 91 % des dépenses initiées par les collaborateurs sont soumises à autorisation avec, cette année, une tendance qui s'accentue. 25 % des entreprises soumettent déjà les dépenses des collaborateurs à autorisation préalable.
- 75 % déclarent mener des négociations au niveau mondial
- Le « full SBT » est optimisé au-delà de la réservation. On observe un plus large usage des self booking tools en amont et en aval de la réservation avec la mise en place de nouvelles fonctions intégrées comme la saisie des ordres de mission et le paiement des notes de frais.
- 93 % des entreprises interrogées indiquent avoir mis en place des procédures de suivi et de contrôle des budgets voyages. Un exemple : 91 % des dépenses initiées par les collaborateurs sont soumises à autorisation avec, cette année, une tendance qui s'accentue. 25 % des entreprises soumettent déjà les dépenses des collaborateurs à autorisation préalable.
Consolidation, un nouvel enjeu de l'entreprise
Le baromètre 2010 constate une tendance à la rationalisation des moyens de paiement même s'ils restent multiples.
L'emploi des cartes logées et corporate (physique ou virtuelle) s'impose sur les pratiques plus anciennes (remboursement note de frais après un règlement personnel).
La rationalisation du nombre de moyens de paiement est cruciale afin de permettre aux entreprises de disposer d'une visibilité optimale sur les dépenses. Elles procèdent ensuite aux arbitrages afin d'obtenir le meilleur retour sur investissement.
L'emploi des cartes logées et corporate (physique ou virtuelle) s'impose sur les pratiques plus anciennes (remboursement note de frais après un règlement personnel).
La rationalisation du nombre de moyens de paiement est cruciale afin de permettre aux entreprises de disposer d'une visibilité optimale sur les dépenses. Elles procèdent ensuite aux arbitrages afin d'obtenir le meilleur retour sur investissement.
Mobilité et travel alternatives
En 2010 plus de 50 % des entreprises ont eu recours aux téléphones mobiles, smart phones et lap tops pour leurs déplacements. Tout indique que cet usage va s'amplifier dans les prochains mois.
75 % des entreprises déclarent avoir mis en place des mesures pour rester en contact avec leurs collaborateurs et ceci afin d'être en conformité avec les dispositions sur la responsabilité sociale liée à la sécurité au cours des déplacements.
La crise a par ailleurs accéléré le développement des alternatives au voyage, notamment pour les réunions internes (visio conférences etc.). L'absence d'outil permettant de mesurer l'impact de ces nouvelles technologies ne permet pas encore aux entreprises d'en apprécier les effets.
75 % des entreprises déclarent avoir mis en place des mesures pour rester en contact avec leurs collaborateurs et ceci afin d'être en conformité avec les dispositions sur la responsabilité sociale liée à la sécurité au cours des déplacements.
La crise a par ailleurs accéléré le développement des alternatives au voyage, notamment pour les réunions internes (visio conférences etc.). L'absence d'outil permettant de mesurer l'impact de ces nouvelles technologies ne permet pas encore aux entreprises d'en apprécier les effets.
34 % des entreprises envisagent une hausse de leur budget voyages pour 2011
En matière de prévisions les entreprises européennes se montrent prudentes en penchant pour une hausse de leur budget voyages de l'ordre de 3 %.
Comme fin 2009 elles se retrouvent face à ce double enjeu : contenir leurs dépenses tout en continuant d'être présentes sur les marchés à la fois pour fidéliser ou conquérir de nouveaux clients.
En moyenne, 34 % des entreprises envisagent une hausse de leur budget voyages, 65 % une stabilité et 11 % une baisse.
Ce sont les grands comptes (61 %) qui, comme en 2009, pensent à augmenter le poste déplacements. Ils resteront motivés par le développement de leur activité à l'international.
Comme fin 2009 elles se retrouvent face à ce double enjeu : contenir leurs dépenses tout en continuant d'être présentes sur les marchés à la fois pour fidéliser ou conquérir de nouveaux clients.
En moyenne, 34 % des entreprises envisagent une hausse de leur budget voyages, 65 % une stabilité et 11 % une baisse.
Ce sont les grands comptes (61 %) qui, comme en 2009, pensent à augmenter le poste déplacements. Ils resteront motivés par le développement de leur activité à l'international.
Le Baromètre 2010 a été préparé à partir d'une enquête téléphone réalisée entre le 5 et le 29 septembre 2010 auprès des personnes en charge des budgets voyages (directeurs financiers, directeurs des achats et travel managers) allant de 400 K€ à plus de 50 millions d'€. 296 entreprises européennes ont été interrogées. Elles sont basées sur 11 pays européens : Allemagne, Grande Bretagne, France, Belgique, Luxembourg, Pays-Bas, Espagne, Italie, Danemark, Suède et Norvège.