Au départ, la compagnie, qui s’appelait encore TUI Airlines Belgium, n’était qu’une compagnie charter, créée pour acheminer les clients de Jetair — qui s’écrivait encore avec un A majuscule.
Mais la faillite, quelques semaines plus tard, de Sobelair, la filiale charter de feue la Sabena, allait précipiter les besoins en avions du marché belge. Et c’est avec cinq appareils que Jetair démarrait sa première saison.
Dès février 2005, Jetairfly se lançait à l’assaut des Caraïbes, et reste aujourd’hui encore la seule compagnie à opérer des vols directs de Bruxelles vers la République Dominicaine, le Mexique, Cuba et la Jamaïque.
Entre-temps, elle multipliait ses destinations : Jetairfly dispose aujourd’hui des droits de trafic vers 73 aéroports.
Mais la faillite, quelques semaines plus tard, de Sobelair, la filiale charter de feue la Sabena, allait précipiter les besoins en avions du marché belge. Et c’est avec cinq appareils que Jetair démarrait sa première saison.
Dès février 2005, Jetairfly se lançait à l’assaut des Caraïbes, et reste aujourd’hui encore la seule compagnie à opérer des vols directs de Bruxelles vers la République Dominicaine, le Mexique, Cuba et la Jamaïque.
Entre-temps, elle multipliait ses destinations : Jetairfly dispose aujourd’hui des droits de trafic vers 73 aéroports.
Une compagnie « polyvalente »
Jetairfly a aussi rapidement quitté son image de compagnie charter pour se positionner comme une compagnie « polyvalente », à savoir qu’elle opère des vols réguliers — neuf sur dix de ses mouvements —, quotidiens pour de nombreuses destinations, et se positionne sur le marché des low cost, quoique avec une philosophie différente : pas de prix d’appel ni de vols à un euro ici, mais des prix plancher toute l’année, qui font le bonheur des résidents en Espagne ou dans le Midi de la France…
Ce qui suppose des services adaptés, notamment en ce qui concerne l’offre de repas à bord.
En prolongation de sa ligne vers Toulon, Jetairfly assure aussi plusieurs liaisons hebdomadaires avec Brest, reliant ainsi les deux premiers ports militaires français par ce qui passe pour être la plus longue route aérienne en France !
En Belgique, Jetairfly ne se contente plus de voler de Bruxelles, mais assure aussi de très nombreux départs d’Ostende, de Liège et surtout de Charleroi, d’où Monastir et Djerba s’ajouteront, dès la saison d’été, aux cinq destinations déjà desservies.
Ce qui suppose des services adaptés, notamment en ce qui concerne l’offre de repas à bord.
En prolongation de sa ligne vers Toulon, Jetairfly assure aussi plusieurs liaisons hebdomadaires avec Brest, reliant ainsi les deux premiers ports militaires français par ce qui passe pour être la plus longue route aérienne en France !
En Belgique, Jetairfly ne se contente plus de voler de Bruxelles, mais assure aussi de très nombreux départs d’Ostende, de Liège et surtout de Charleroi, d’où Monastir et Djerba s’ajouteront, dès la saison d’été, aux cinq destinations déjà desservies.
Une flotte plus jeune et plus verte
Jetairfly forme avec les autres compagnies du groupe TUI — une flotte internationale de 155 avions — un des plus grands groupes aériens d’Europe, qui devrait encore se renforcer prochainement avec les participations croisées qu’il devrait prendre dans Air Berlin.
Jetairfly n’est pas peu fière d’avoir créé en Belgique 715 emplois directs — et sans doute le double d’emplois indirects — au cours de ces cinq années. Elle a aussi transporté près de huit millions de passagers, dont près de deux millions rien que l’an dernier.
Et ce n’est sans doute pas fini : Jetairfly a passé commande du Boeing 787 Dreamliner qui, quand il sera livré, rajeunira encore l’âge moyen de sa flotte : 6 ans et demi aujourd’hui, avec un B737-700 supplémentaire, livré la semaine dernière en droite ligne de l’usine Boeing de Seattle.
Que ces avions soient moins gourmands en carburant et dotés des technologies les plus récentes correspond bien à la philosophie de Jetairfly, qui se montre très attentive aux aspects « verts » du transport aérien.
Le passage des Boeing classiques aux modèles next generation correspond à une économie de 7,5 millions de litres de carburant. Avec leurs ailes plus grandes, les next gen peuvent aussi voler à plus haute altitude et consommer moins. Rien que les winglets, en bout d’ailes, permettent une économie de 2 à 3 p.c.
Mais cela va évidemment beaucoup plus loin. Des normes « maison » de consommation ont été mises au point, et l’équipage embarque un ordinateur portable afin de calculer la route et les trajectoires optimum pour chaque vol, qui est ensuite analysé, notamment du point de vue de son impact écologique. Et 2.000 pages de papier sont ainsi économisées chaque jour…
Notons aussi que savoir-faire de Jetairfly lui a valu d’être à la base de la création de la compagnie low cost marocaine Jet4you.
Jetairfly n’est pas peu fière d’avoir créé en Belgique 715 emplois directs — et sans doute le double d’emplois indirects — au cours de ces cinq années. Elle a aussi transporté près de huit millions de passagers, dont près de deux millions rien que l’an dernier.
Et ce n’est sans doute pas fini : Jetairfly a passé commande du Boeing 787 Dreamliner qui, quand il sera livré, rajeunira encore l’âge moyen de sa flotte : 6 ans et demi aujourd’hui, avec un B737-700 supplémentaire, livré la semaine dernière en droite ligne de l’usine Boeing de Seattle.
Que ces avions soient moins gourmands en carburant et dotés des technologies les plus récentes correspond bien à la philosophie de Jetairfly, qui se montre très attentive aux aspects « verts » du transport aérien.
Le passage des Boeing classiques aux modèles next generation correspond à une économie de 7,5 millions de litres de carburant. Avec leurs ailes plus grandes, les next gen peuvent aussi voler à plus haute altitude et consommer moins. Rien que les winglets, en bout d’ailes, permettent une économie de 2 à 3 p.c.
Mais cela va évidemment beaucoup plus loin. Des normes « maison » de consommation ont été mises au point, et l’équipage embarque un ordinateur portable afin de calculer la route et les trajectoires optimum pour chaque vol, qui est ensuite analysé, notamment du point de vue de son impact écologique. Et 2.000 pages de papier sont ainsi économisées chaque jour…
Notons aussi que savoir-faire de Jetairfly lui a valu d’être à la base de la création de la compagnie low cost marocaine Jet4you.
Si tous les passagers qui ont volé avec Jetairfly vendredi ont reçu des chocolats (belges), l’anniversaire de la compagnie est aussi marqué par la mise en ligne d’un site Internet complètement relifté et le lancement d’un jeu viral qui permet de gagner des vacances et des billets d’avion. Jetairfly a également mis en vente à cette occasion 5.555 billets à € 55,55 TTC pour plus de 20 destinations.