La liaison aérienne de Ryanair entre Bergerac, en Dordogne (24) et Marrakech (Maroc) ne devrait pas reprendre avant avril 2014. Voire même jamais selon un article publié sur FranceBleu.fr.
La compagnie aérienne devrait annoncer sa décision au printemps. Mais si elle n’est pas encore notifiée, "elle ne fait désormais plus guère de doutes", écrit le réseau de stations de radio publiques locales sur son site Internet.
Et pourtant, depuis son lancement en avril 2013, la ligne affichait un taux de remplissage de 83 %. Fin août 2013, sa prolongation pour la saison hivernale avait même été annoncée par le transporteur irlandais. Mais, récemment, des locaux qui avaient réservé des billets pour des vols en novembre 2013 ont appris que leur avion ne partirait pas.
Pour continuer ses opérations, la low-cost demande aux autorités locales de l’argent pour développer son marketing autour de la liaison et ainsi s’assurer d’un taux de remplissage encore plus élevé.
Des exigences auxquelles la chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Bergerac refuse de céder. "Nous savons que l’aéroport est un outil au service de l’économie du département, mais dans ces conditions nous ne pouvons pas toujours suivre les demandes de Ryanair", affirme Serge Mérillou, Président du SMAD (Syndicat Mixte Air Dordogne).
La compagnie aérienne devrait annoncer sa décision au printemps. Mais si elle n’est pas encore notifiée, "elle ne fait désormais plus guère de doutes", écrit le réseau de stations de radio publiques locales sur son site Internet.
Et pourtant, depuis son lancement en avril 2013, la ligne affichait un taux de remplissage de 83 %. Fin août 2013, sa prolongation pour la saison hivernale avait même été annoncée par le transporteur irlandais. Mais, récemment, des locaux qui avaient réservé des billets pour des vols en novembre 2013 ont appris que leur avion ne partirait pas.
Pour continuer ses opérations, la low-cost demande aux autorités locales de l’argent pour développer son marketing autour de la liaison et ainsi s’assurer d’un taux de remplissage encore plus élevé.
Des exigences auxquelles la chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Bergerac refuse de céder. "Nous savons que l’aéroport est un outil au service de l’économie du département, mais dans ces conditions nous ne pouvons pas toujours suivre les demandes de Ryanair", affirme Serge Mérillou, Président du SMAD (Syndicat Mixte Air Dordogne).
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