Les organisations syndicales attendent l'ouverture de la procédure et les modalités du futur PSE - DR
La suppression de 74 postes chez CWT France ne se fera donc pas sous la forme d’une rupture conventionnelle collective. Les négociations concernant cette procédure n'ont pas abouti.
La CGT et CFTC ont refusé le projet de rupture conventionnelle collective. De son côté SNEPAT-FO ne souhaitait pas s’engager seul sur cette voie.
Résultat, l'entreprise s'oriente vers la mise en place d'un Plan de Sauvegarde de l'emploi. Selon SNEPAT-FO, "la direction a déjà fait savoir que 62 postes de la filière opérations et une douzaine d’autres postes étaient dans le viseur."
Désormais les organisations syndicales attendent l'ouverture de la procédure et les modalités du futur PSE.
Pour rappel, la direction a proposé lundi 29 janvier 2018 en CCE (Comité Central d'Entreprise) un plan de départ volontaire dans le cadre d'une rupture conventionnelle collective qui concernerait 74 CDI du service opérationnel.
La CGT et CFTC ont refusé le projet de rupture conventionnelle collective. De son côté SNEPAT-FO ne souhaitait pas s’engager seul sur cette voie.
Résultat, l'entreprise s'oriente vers la mise en place d'un Plan de Sauvegarde de l'emploi. Selon SNEPAT-FO, "la direction a déjà fait savoir que 62 postes de la filière opérations et une douzaine d’autres postes étaient dans le viseur."
Désormais les organisations syndicales attendent l'ouverture de la procédure et les modalités du futur PSE.
Pour rappel, la direction a proposé lundi 29 janvier 2018 en CCE (Comité Central d'Entreprise) un plan de départ volontaire dans le cadre d'une rupture conventionnelle collective qui concernerait 74 CDI du service opérationnel.
Cette procédure a été introduite par la réforme du Code du travail d'Emmanuel Macron fin 2017.
Déjà en 2017, un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) avait entraîné 132 suppressions de postes, 48 départs "naturels" et la fermeture des sites de Toulon et Nantes.
Déjà en 2017, un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) avait entraîné 132 suppressions de postes, 48 départs "naturels" et la fermeture des sites de Toulon et Nantes.