"Bonjour,
Suite à la publication de votre article « Licenciements Thomas Cook : faut-il craindre un plan "ça passe ou ça casse" ? », vous trouverez-ci-dessous la position de Thomas Cook France concernant le plan de sauvegarde de l’emploi.
Plan de Sauvegarde de l’Emploi - Position de Thomas Cook France suite au constat de carence de la Direccte
Il est courant que l'Administration émette un procès-verbal dit « de carence » en cours de consultation sur un plan de sauvegarde de l'emploi, lorsque les moyens du groupe sont malheureusement limités pour accorder aux salariés qui seraient touchés par le plan social, des mesures d'accompagnement supérieures à celles déjà prévues par la loi française.
Suite à la publication de votre article « Licenciements Thomas Cook : faut-il craindre un plan "ça passe ou ça casse" ? », vous trouverez-ci-dessous la position de Thomas Cook France concernant le plan de sauvegarde de l’emploi.
Plan de Sauvegarde de l’Emploi - Position de Thomas Cook France suite au constat de carence de la Direccte
Il est courant que l'Administration émette un procès-verbal dit « de carence » en cours de consultation sur un plan de sauvegarde de l'emploi, lorsque les moyens du groupe sont malheureusement limités pour accorder aux salariés qui seraient touchés par le plan social, des mesures d'accompagnement supérieures à celles déjà prévues par la loi française.
Cela n'invalide nullement le plan..."
Cela n'invalide nullement le plan mais traduit le souci et le besoin légitimes de l'Administration d'être éclairée sur les moyens réels du groupe. La direction complétera donc dans la plus grande transparence l'information de l'Administration dans une réunion à venir très prochainement.
Il est absurde de prétendre que le plan de sauvegarde de l'emploi est « vide » alors que dans notre pays, les droits et prérogatives accordés aux salariés sont parmi les plus protecteurs au monde.
En revanche, il est effectivement légitime de regretter que les pertes du groupe et son endettement excessif limitent considérablement ses moyens et marges de manœuvre et ne permettent pas d'aller beaucoup plus loin que ce que la loi française prévoit.
Pour autant, la consultation des instances représentatives du personnel se poursuit dans les conditions fixées par la loi."
Il est absurde de prétendre que le plan de sauvegarde de l'emploi est « vide » alors que dans notre pays, les droits et prérogatives accordés aux salariés sont parmi les plus protecteurs au monde.
En revanche, il est effectivement légitime de regretter que les pertes du groupe et son endettement excessif limitent considérablement ses moyens et marges de manœuvre et ne permettent pas d'aller beaucoup plus loin que ce que la loi française prévoit.
Pour autant, la consultation des instances représentatives du personnel se poursuit dans les conditions fixées par la loi."