ÔVoyages trace sa route.
Après une année en croissance de 10% et un chiffre d'affaires à 197M€, le tour-opérateur a les yeux tournés vers 2020.
"Nous avons budgété +15% pour l'année 2020 mais depuis cet été nous sommes à +50%. Et la tendance s'est accélérée depuis la faillite de Thomas Cook. Une croissance que l'on retrouve chez l'ensemble des réseaux", explique Raouf Benslimane, PDG du tour-opérateur.
Pour porter son développement, le voyagiste mise notamment sur les clubs (42 adresses dont 34 en moyen-courrier et 8 sur le long-courrier).
L’offre s’étoffe de 20 nouvelles adresses aux Canaries (5 nouveaux clubs dont le ÔClub Premium Barcelo Santiago et le Ôclub Premium Tabaiba Princess), aux Baléares (un nouveau ÔClub Experience Occidental Ibiza), en Italie (Ôclub Experience Conte Di Cabrera), en Grèce (5 nouveautés dont le Ôclub Experience Stella Village, et le ÔClub Premium Aldemar Knossos Royal) et deux nouveaux au Maroc (Ôclub Experience Ona Ryads Park Marrakech et Ôclub Premium Kenzi Rose Garden entièrement rénové).
Après une année en croissance de 10% et un chiffre d'affaires à 197M€, le tour-opérateur a les yeux tournés vers 2020.
"Nous avons budgété +15% pour l'année 2020 mais depuis cet été nous sommes à +50%. Et la tendance s'est accélérée depuis la faillite de Thomas Cook. Une croissance que l'on retrouve chez l'ensemble des réseaux", explique Raouf Benslimane, PDG du tour-opérateur.
Pour porter son développement, le voyagiste mise notamment sur les clubs (42 adresses dont 34 en moyen-courrier et 8 sur le long-courrier).
L’offre s’étoffe de 20 nouvelles adresses aux Canaries (5 nouveaux clubs dont le ÔClub Premium Barcelo Santiago et le Ôclub Premium Tabaiba Princess), aux Baléares (un nouveau ÔClub Experience Occidental Ibiza), en Italie (Ôclub Experience Conte Di Cabrera), en Grèce (5 nouveautés dont le Ôclub Experience Stella Village, et le ÔClub Premium Aldemar Knossos Royal) et deux nouveaux au Maroc (Ôclub Experience Ona Ryads Park Marrakech et Ôclub Premium Kenzi Rose Garden entièrement rénové).
6 nouveaux clubs long-courrier
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"Aux Canaries ce sont tous des anciens Jet tours mais pour 50% d’entre eux, nous les avons récupérés bien avant la faillite. Les hôteliers se sont tournés vers nous car nous avons une force de frappe importante en terme d’aérien" ajoute Raouf Benslimane.
Le long-courrier n'est pas en reste avec de nouveaux établissements labellisés à Oman, Zanzibar, en Thaïlande, en République Dominicaine et deux à l'Île Maurice.
Des hôtels choisis d'abord pour leur emplacement : "Ce qui prime avant tout, c'est l'environnement dans lequel sont situés les clubs. Nous y sommes très attentifs", explique le PDG.
Pour tirer son épingle du jeu, le tour-opérateur se veut agile et ajuste les curseurs en fonction de la conjoncture et du type de produit.
Pour ce faire, Samia Benslimane, directrice générale mise aussi bien sur l’engagement aérien que sur le package dynamique.
Le long-courrier n'est pas en reste avec de nouveaux établissements labellisés à Oman, Zanzibar, en Thaïlande, en République Dominicaine et deux à l'Île Maurice.
Des hôtels choisis d'abord pour leur emplacement : "Ce qui prime avant tout, c'est l'environnement dans lequel sont situés les clubs. Nous y sommes très attentifs", explique le PDG.
Pour tirer son épingle du jeu, le tour-opérateur se veut agile et ajuste les curseurs en fonction de la conjoncture et du type de produit.
Pour ce faire, Samia Benslimane, directrice générale mise aussi bien sur l’engagement aérien que sur le package dynamique.
Plus de 300 000 sièges engagés
"Sur le long-courrier il est indispensable d’avoir du package dynamique mais sur le moyen-courrier il faut des engagements. L’offre aérienne se resserre et l’arrêt des B737 Max impacte l’offre avec une baisse des capacités charter. Ajoutez à cela les disparitions d’Aigle Azur et de XL Airways…
Désormais tout le monde pioche au même endroit. Il faut donc se différencier avec les stocks et la maîtrise du prix, c’est cela notre valeur ajoutée " analyse la directrice générale qui rappelle qu’un tour-opérateur doit prendre des risques.
Ôvoyages proposera donc plus de 300 000 sièges engagés au départ de 16 villes et disposera de 3 appareils dédiés d’une capacité de 189 sièges.
Les Canaries et la Grèce, les deux destinations fortes du TO profiteront notamment de ces engagements avec des objectifs fixés respectivement à 180 000 pax et 85 000 pax en 2020.
Au global, sur le moyen-courrier le TO vise près de 395 000 pax.
Désormais tout le monde pioche au même endroit. Il faut donc se différencier avec les stocks et la maîtrise du prix, c’est cela notre valeur ajoutée " analyse la directrice générale qui rappelle qu’un tour-opérateur doit prendre des risques.
Ôvoyages proposera donc plus de 300 000 sièges engagés au départ de 16 villes et disposera de 3 appareils dédiés d’une capacité de 189 sièges.
Les Canaries et la Grèce, les deux destinations fortes du TO profiteront notamment de ces engagements avec des objectifs fixés respectivement à 180 000 pax et 85 000 pax en 2020.
Au global, sur le moyen-courrier le TO vise près de 395 000 pax.
Long-courrier : 50 000 pax en 2020
Sur le long-courrier les objectifs sont aussi ambitieux, avec pour cible, 50 000 pax en 2020.
5 axes seront développés : le Moyen-Orient (Emirats Arabes Unis et Oman), l’Afrique (Kenya, Tanzanie, Zanzibar, Sénégal et Afrique du Sud), Océan Indien (Maurice, Réunion et Maldives), Asie (Thaïlande, Vietnam, Laos, Cambodge, Birmanie, Inde, Sri Lanka et Indonésie) et Caraïbes.
"Nous allons essayer de nous positionner sur de nouvelles ouvertures de clubs cet automne à Cuba, au Mexique, au Sri Lanka, aux Maldives et en rajouter en Thaïlande ou encore en République Dominicaine", explique Christian Vanroy, directeur du développement.
Des destinations sur lesquelles le TO propose déjà des circuits, autotours ou séjours. "Sur le Vietnam par exemple nous faisons partie des tout premiers TO en nombre de pax", précise le directeur du développement.
Fort d’une équipe de 130 collaborateurs, le tour-opérateur compte bien continuer sa route sans rejeter d’éventuels rapprochements : "Nous sommes regardés. Ouvrir le capital pourquoi pas, mais pas à n’importe quel prix.
S’il y a une opportunité nous saurons la saisir, mais pour l’instant on trace notre route...", lance Raouf Benslimane en guise de conclusion.
A bon entendeur !
5 axes seront développés : le Moyen-Orient (Emirats Arabes Unis et Oman), l’Afrique (Kenya, Tanzanie, Zanzibar, Sénégal et Afrique du Sud), Océan Indien (Maurice, Réunion et Maldives), Asie (Thaïlande, Vietnam, Laos, Cambodge, Birmanie, Inde, Sri Lanka et Indonésie) et Caraïbes.
"Nous allons essayer de nous positionner sur de nouvelles ouvertures de clubs cet automne à Cuba, au Mexique, au Sri Lanka, aux Maldives et en rajouter en Thaïlande ou encore en République Dominicaine", explique Christian Vanroy, directeur du développement.
Des destinations sur lesquelles le TO propose déjà des circuits, autotours ou séjours. "Sur le Vietnam par exemple nous faisons partie des tout premiers TO en nombre de pax", précise le directeur du développement.
Fort d’une équipe de 130 collaborateurs, le tour-opérateur compte bien continuer sa route sans rejeter d’éventuels rapprochements : "Nous sommes regardés. Ouvrir le capital pourquoi pas, mais pas à n’importe quel prix.
S’il y a une opportunité nous saurons la saisir, mais pour l’instant on trace notre route...", lance Raouf Benslimane en guise de conclusion.
A bon entendeur !
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