Avec une hausse de 10 % de son chiffre d’affaires prévue pour la fin 2006, à 10 M€, Wonderbox surfe sur le succès de la vente de coffrets cadeaux. Créé il y a un peu plus de 2 ans l’entreprise ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.
« Nous avons multiplié notre chiffre d’affaires, grâce au développement de nos canaux de distribution », explique Olivier Morand, Directeur du Développement. Une politique qui va se prolonger en 2007.
Pour l'heure, les coffrets cadeaux sont distribués, via le site www.wonderbox.com, par les entreprises (pour des incentives), par la Fnac, cultura ou encore carrefour ainsi que par des agences de voyages indépendantes ou en ligne telle que Lastminute ou ebookers. L’entreprise devrait passer à la vitesse supérieure et nouer prochainement des partenariats avec 2 grands réseaux d’agences.
Côté rémunération, Wonderbox propose un taux de commision compris entre 13% et 18%, en fonction de la mise avant des produits, et de la taille du réseau.
Coffrets cadeaux co-brandés
« Nous avons multiplié notre chiffre d’affaires, grâce au développement de nos canaux de distribution », explique Olivier Morand, Directeur du Développement. Une politique qui va se prolonger en 2007.
Pour l'heure, les coffrets cadeaux sont distribués, via le site www.wonderbox.com, par les entreprises (pour des incentives), par la Fnac, cultura ou encore carrefour ainsi que par des agences de voyages indépendantes ou en ligne telle que Lastminute ou ebookers. L’entreprise devrait passer à la vitesse supérieure et nouer prochainement des partenariats avec 2 grands réseaux d’agences.
Côté rémunération, Wonderbox propose un taux de commision compris entre 13% et 18%, en fonction de la mise avant des produits, et de la taille du réseau.
Coffrets cadeaux co-brandés
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« Nous sommes en pleine négociations, et ne pouvons encore vous révéler de qui il s’agit... ». Wonderbox propose deux formules à ces partenaires. Ils ont la possibilité de revendre le coffret tel quel, ou co-brandé à ses couleurs. « Concernant les 2 réseaux, ils ont choisi le formule co-brandée », précise Olivier Morand.
Le succès rencontré auprès du plublic se ressent également auprès des prestataires : « Il y a 3 ans, il fallait aller à la chasse aux prestataires pour l'élaboration de nos coffrets, désormais, ils nous contactent de plus en plus. A noter qu’il faut tout de même 3 mois pour réaliser un coffret. Autre point important, les coffrets sont fabriqués en fonction des capacités d’acceuil de nos prestatires ».
Pour 2007, Wonderbox compte ainsi poursuivre sur sa lancée, en augmentant le nombre de coffrets proposés et le nombre de ses partenaires.
Le succès rencontré auprès du plublic se ressent également auprès des prestataires : « Il y a 3 ans, il fallait aller à la chasse aux prestataires pour l'élaboration de nos coffrets, désormais, ils nous contactent de plus en plus. A noter qu’il faut tout de même 3 mois pour réaliser un coffret. Autre point important, les coffrets sont fabriqués en fonction des capacités d’acceuil de nos prestatires ».
Pour 2007, Wonderbox compte ainsi poursuivre sur sa lancée, en augmentant le nombre de coffrets proposés et le nombre de ses partenaires.
6 nouveaux coffrets cadeaux
Wonderbox a lancé 6 nouveaux coffrets cadeaux dont 5 coffrets Week-end. La marque propose désormais 15 coffrets et plus de 1500 activités. Les coffrets sont proposées à partir de 30 € et peuvent monter jusqu’à 299 €.
www.wonderbox.com
Wonderbox a lancé 6 nouveaux coffrets cadeaux dont 5 coffrets Week-end. La marque propose désormais 15 coffrets et plus de 1500 activités. Les coffrets sont proposées à partir de 30 € et peuvent monter jusqu’à 299 €.
www.wonderbox.com
Wonderbox vs Weekendesk
Wonderbox a indiqué qu’il avait « gagné le procès qui l’opposait à Weekendesk pour concurrence déloyale. Son concurrent a été débouté de toutes ses demandes par le Tribunal de Commerce tant sur un prétendu droit privatif sur les chèques cadeaux ou sur la notion de coffret cadeau. Le Tribunal de Commerce a reconnu que Wonderbox avait été victime d’actes de parasitisme économique par usurpation de mots clés sur internet et va donc être indemnisé pour ses dommages. »
Wonderbox a indiqué qu’il avait « gagné le procès qui l’opposait à Weekendesk pour concurrence déloyale. Son concurrent a été débouté de toutes ses demandes par le Tribunal de Commerce tant sur un prétendu droit privatif sur les chèques cadeaux ou sur la notion de coffret cadeau. Le Tribunal de Commerce a reconnu que Wonderbox avait été victime d’actes de parasitisme économique par usurpation de mots clés sur internet et va donc être indemnisé pour ses dommages. »