Corsair a été l'une des premières compagnies françaises à commissionner les agences de voyages sur la vente de services additionnels
Mais offrir 2% de commission sur des prestations facturées entre 10 et 80 euros ne semblait pas suffisant pour motiver pour les troupes.
La compagnie a donc décidé de remonter la barre et de commissionner à hauteur de 10%.
" Nous voulons donner aux vendeurs tous les outils disponibles afin d'apporter le meilleur service à leur client" explique Pascal Gardin le directeur commercial. "Ce dernier doit pouvoir accéder à nos offres quelque soit son canal de réservation"
Aujourd'hui, 90% des services additionnels sont achetés en ligne directement par les voyageurs, alors que la vente de billets en B2B représente 70% de l'activité.
Il reste donc une belle marge de progression aux agences de voyages.
Mais offrir 2% de commission sur des prestations facturées entre 10 et 80 euros ne semblait pas suffisant pour motiver pour les troupes.
La compagnie a donc décidé de remonter la barre et de commissionner à hauteur de 10%.
" Nous voulons donner aux vendeurs tous les outils disponibles afin d'apporter le meilleur service à leur client" explique Pascal Gardin le directeur commercial. "Ce dernier doit pouvoir accéder à nos offres quelque soit son canal de réservation"
Aujourd'hui, 90% des services additionnels sont achetés en ligne directement par les voyageurs, alors que la vente de billets en B2B représente 70% de l'activité.
Il reste donc une belle marge de progression aux agences de voyages.
Le supplément bagage reste le plus demandé
Pour leur faciliter la tâche, la compagnie a travaillé en partenariat avec Amadeus afin de fluidifier les ventes et d'offrir un meilleur accès à l'ensemble des options.
La commission est automatiquement ajoutée au PNR au moment de la tarification, puis transmise au BSP au moment de l'émission.
Elle va également organiser des formations en ligne pour créer un réflexe "service additionnels" auprès des vendeurs.
L'option la plus demandée reste l'achat d'un bagage supplémentaire, dont les ventes sont en progression de 15 à 30%.
Les clients qui réservent à l'avance peuvent d'ailleurs bénéficier d'une réduction de 20% sur le prix.
Ils apprécient également de pouvoir choisir leurs sièges aux issues de secours (vendu entre 60 et 80€), l'accès prioritaire à l'enregistrement ainsi que livraison prioritaire des bagages.
Entre 10 et 15 passagers par vol achètent un repas thématique, disponible au départ d'Orly, de Point à Pitre, Fort de France et de la Réunion.
La commission est automatiquement ajoutée au PNR au moment de la tarification, puis transmise au BSP au moment de l'émission.
Elle va également organiser des formations en ligne pour créer un réflexe "service additionnels" auprès des vendeurs.
L'option la plus demandée reste l'achat d'un bagage supplémentaire, dont les ventes sont en progression de 15 à 30%.
Les clients qui réservent à l'avance peuvent d'ailleurs bénéficier d'une réduction de 20% sur le prix.
Ils apprécient également de pouvoir choisir leurs sièges aux issues de secours (vendu entre 60 et 80€), l'accès prioritaire à l'enregistrement ainsi que livraison prioritaire des bagages.
Entre 10 et 15 passagers par vol achètent un repas thématique, disponible au départ d'Orly, de Point à Pitre, Fort de France et de la Réunion.
Pas question de revenir à une commission classique sur le billet d'avion
Enfin, seul l'accès aux salons n'est pas concerné par cette offre, faute de pouvoir gérer sur les disponibilités sur le GDS.
Aujourd'hui, la vente de ces options n'est pas encore significative dans le chiffre d'affaires de la compagnie.
Mais au delà de l'aspect financier, cette stratégie s'intègre dans sa politique de repositionnement et de montée en gamme.
"Nous souhaitons répondre aux attentes grandissantes sur la personnalisation de l'expérience client. Notre objectif reste avant tout d'augmenter leur taux de satisfaction pour les fidéliser " poursuit Pascal Gardin.
En revanche, il n'est pas question de revenir à une commission classique sur le billet d'avion, sachant que cette dernière existe toujours sous une autre forme d'accords et d'incentives avec les réseaux.
Aujourd'hui, la vente de ces options n'est pas encore significative dans le chiffre d'affaires de la compagnie.
Mais au delà de l'aspect financier, cette stratégie s'intègre dans sa politique de repositionnement et de montée en gamme.
"Nous souhaitons répondre aux attentes grandissantes sur la personnalisation de l'expérience client. Notre objectif reste avant tout d'augmenter leur taux de satisfaction pour les fidéliser " poursuit Pascal Gardin.
En revanche, il n'est pas question de revenir à une commission classique sur le billet d'avion, sachant que cette dernière existe toujours sous une autre forme d'accords et d'incentives avec les réseaux.