Autres articles
-
Corsair : l'Etat s'échine à éponger 141 millions d'aides [ABO]
-
Taxe Chirac : prix des billets d'avion en hausse pour les Outre-mer ! 🔑
-
Qui doit financer le poids de l’innovation ?🔑
-
Pourquoi Boris Reibenberg est devenu actionnaire de Corsair 🔑
-
Corsair : tout ce qui n'a pas été dit sur le tour de table ! 🔑
Après le litige entre le tour opérateur Elégance et la compagnie Atlas Jet, qui a bloqué plusieurs centaines de touristes en Turquie, d´autres voyageurs n'ont pas pu rejoindre leur destination à temps.
Cette fois l'affaire oppose Corsair à Isrofly, un tour-opérateur spécialiste d'Israël. La filiale aérienne de TUI qui devait assurer pour le compte d´Isrofly, les vols Paris-Tel-Aviv et Tel Aviv-Paris les 23, 28 et 30 août, avait informé sur son site Internet que ces liaisons ne pouvaient pas être assurées, « en raison de l´incapacité du Tour Opérateur « ISROFLY » d´honorer ses engagements financiers ».
La réunion organisée à l'initiative de Dominique Perben, ministre de l'Equipement, des Transports du Tourisme et de la Mer mardi 22 août dans la soirée « a permis d'aboutir a une solution » selon un communiqué du ministère.
Les passagers qui devaient effectuer les vols Paris/Tel Aviv et Tel Aviv/Paris le 23 août seront reprotégés sur les vols Corsair du 28 et 30 août 2006 qui eux ont été finalement maintenus suite à la médiation organisée par le ministère des transports, explique J. Marciano patron de Isrofly.
Contacté par téléphone le directeur du tour opérateur met en cause, selon ses propres termes les « agissements de TUI ». Selon ses explications : « Nous avons demandé à Corsair l´affrètement de 8 Jumbo en avril 2006. En mai et juin, la compagnie filiale de TUI nous a demandé de restituer 50 places par avion pour les donner à Nouvelles Frontières, ce que nous avons fait. »
Le directeur poursuit : « NF en a profité pour vendre les billets A/R à 280 € alors que nous avions acheté à Corsair 480 € + taxes le siège que nous devions vendre aux clients à 550 € + taxes A/R. Dans cette situation les clients n´ont pas acheté de billets chez nous et nous avons été contraint de vendre à perte nos billets et d´annuler certains vols. En plus, Corsair nous a facturé des frais d´annulation. Conséquence cela a entraîné pour nous une perte de 200 000 euros »
Du coup, "notre société n'est même pas en mesure d'assurer un hébergement à nos clients." Isrofly serait en train d'essayer de trouver un accord avec Corsair pour les indemniser les clients, toujours selon J. Marciano.
A noter : nous n'avons pu réussir à cette heure à contacter un responsable de chez Corsair.
Cette fois l'affaire oppose Corsair à Isrofly, un tour-opérateur spécialiste d'Israël. La filiale aérienne de TUI qui devait assurer pour le compte d´Isrofly, les vols Paris-Tel-Aviv et Tel Aviv-Paris les 23, 28 et 30 août, avait informé sur son site Internet que ces liaisons ne pouvaient pas être assurées, « en raison de l´incapacité du Tour Opérateur « ISROFLY » d´honorer ses engagements financiers ».
La réunion organisée à l'initiative de Dominique Perben, ministre de l'Equipement, des Transports du Tourisme et de la Mer mardi 22 août dans la soirée « a permis d'aboutir a une solution » selon un communiqué du ministère.
Les passagers qui devaient effectuer les vols Paris/Tel Aviv et Tel Aviv/Paris le 23 août seront reprotégés sur les vols Corsair du 28 et 30 août 2006 qui eux ont été finalement maintenus suite à la médiation organisée par le ministère des transports, explique J. Marciano patron de Isrofly.
Contacté par téléphone le directeur du tour opérateur met en cause, selon ses propres termes les « agissements de TUI ». Selon ses explications : « Nous avons demandé à Corsair l´affrètement de 8 Jumbo en avril 2006. En mai et juin, la compagnie filiale de TUI nous a demandé de restituer 50 places par avion pour les donner à Nouvelles Frontières, ce que nous avons fait. »
Le directeur poursuit : « NF en a profité pour vendre les billets A/R à 280 € alors que nous avions acheté à Corsair 480 € + taxes le siège que nous devions vendre aux clients à 550 € + taxes A/R. Dans cette situation les clients n´ont pas acheté de billets chez nous et nous avons été contraint de vendre à perte nos billets et d´annuler certains vols. En plus, Corsair nous a facturé des frais d´annulation. Conséquence cela a entraîné pour nous une perte de 200 000 euros »
Du coup, "notre société n'est même pas en mesure d'assurer un hébergement à nos clients." Isrofly serait en train d'essayer de trouver un accord avec Corsair pour les indemniser les clients, toujours selon J. Marciano.
A noter : nous n'avons pu réussir à cette heure à contacter un responsable de chez Corsair.