Le MICE est à l'ordre du jour. Ici, à l'issue du point presse, Annika Gummesson, DG Costa France, entourée par Georges Azouze, président de Costa France et Massimo Tedesco, directeur MICE - DR : M.S.
Cette expérience du MICE qui représente une clientèle exigeante ne laissant aucune place à l’improvisation, Costa la cultive depuis plus de vingt ans.
Alors les mini-croisières - 3 à 5 jours - qui répondent au cahier des charges des décideurs d’aujourd’hui étaient rares. En ce temps-là, l’acronyme anglais MICE (Meetings, Incentives, Conferencing, Exhibition) n’était pas encore entré dans les mœurs.
Il s’agissait d’affrètements, voire même de séries d’affrètements, pour un même client. « En 1986, nous avons fait partir 6 600 plombiers aux Caraïbes, » a dit Georges Azouze, président de Costa Croisières France.
Au vu des capacités des paquebots nouvelle génération, les affrètements sont devenus des groupes, pour lesquels la compagnie s’adapte et fabrique du « sur mesure » avec ce qu’il faut de flexibilité.
A Gênes et à Paris, des équipes dédiées sont à l’écoute des décideurs et organisateurs pour répondre à leurs cahiers des charges. Dirigée depuis trois ans par Massimo Tedesco, l’équipe MICE parisienne est notamment composée de quatre commerciaux.
Alors les mini-croisières - 3 à 5 jours - qui répondent au cahier des charges des décideurs d’aujourd’hui étaient rares. En ce temps-là, l’acronyme anglais MICE (Meetings, Incentives, Conferencing, Exhibition) n’était pas encore entré dans les mœurs.
Il s’agissait d’affrètements, voire même de séries d’affrètements, pour un même client. « En 1986, nous avons fait partir 6 600 plombiers aux Caraïbes, » a dit Georges Azouze, président de Costa Croisières France.
Au vu des capacités des paquebots nouvelle génération, les affrètements sont devenus des groupes, pour lesquels la compagnie s’adapte et fabrique du « sur mesure » avec ce qu’il faut de flexibilité.
A Gênes et à Paris, des équipes dédiées sont à l’écoute des décideurs et organisateurs pour répondre à leurs cahiers des charges. Dirigée depuis trois ans par Massimo Tedesco, l’équipe MICE parisienne est notamment composée de quatre commerciaux.
Un produit complet et pas seulement une unité de lieu
Les mini-croisières ou « sea breaks » (en référence aux city breaks de 3-4 jours sur terre) sont une production forte pour Costa. Elles créent la demande.
Chaque année, une cinquantaine de départs sont programmés au printemps et en automne au départ de Marseille et de Nice/Savone pour des croisières à bord de trois navires, les Costa Favolosa, Pacifica ou Mediterranea.
A noter : les mini-croisières de printemps 2017 affichent complet.
Une croisière c’est un « tout », un produit complet et pas seulement une unité de lieu - avantage de poids pour les organisateurs de congrès.
A portée d’ascenseur, les participants auront un hébergement, des restaurants, des salles et des espaces privatisables pouvant accueillir de 20 à 1 500 personnes.
Pour les séances de travail, Costa Croisières met en effet gracieusement à disposition des équipements (écrans, vidéo projecteurs, micros, sonorisations) et de nombreux espaces lumineux et climatisés adaptés à la taille du groupe.
Les théâtres sont particulièrement adaptés pour la tenue de séances plénières ou de remise de trophées, avec possibilité d’une traduction simultanée.
Tous les bars et restaurants gastronomiques et ponts extérieurs sont également privatisables à l’occasion de cocktails, dîners et soirées.
Une croisière, c’est un village flottant. On dort, on se restaure, on travaille. On se divertit, on s’amuse, on fait du sport, on joue, on se retrouve, on s’isole, on se donne du temps, on se détend. Le Spa est un espace particulièrement sollicité.
Une croisière c’est une autre façon de découvrir le monde. Tout devient possible pour les clients MICE : transferts privatifs, guides dédiés, privatisation d’un musée, d’une visite ou même d’une plage avec DJ pour une fête pieds dans le sable, comme ce fut le cas récemment à Palma.
Une croisière Costa, c’est "b[la maîtrise d’un budget]b".
Des transports aux ports d’embarquement, à la pension complète, en passant par les boissons et excursions et/ou une soirée de gala, la croisière sera du tout compris (de l’ordre de 150€ par jour et par personne).
« Ce sont des prix nets et justes avec du stock au départ de Marseille, » souligne Georges Azouze.
Chaque année, une cinquantaine de départs sont programmés au printemps et en automne au départ de Marseille et de Nice/Savone pour des croisières à bord de trois navires, les Costa Favolosa, Pacifica ou Mediterranea.
A noter : les mini-croisières de printemps 2017 affichent complet.
Une croisière c’est un « tout », un produit complet et pas seulement une unité de lieu - avantage de poids pour les organisateurs de congrès.
A portée d’ascenseur, les participants auront un hébergement, des restaurants, des salles et des espaces privatisables pouvant accueillir de 20 à 1 500 personnes.
Pour les séances de travail, Costa Croisières met en effet gracieusement à disposition des équipements (écrans, vidéo projecteurs, micros, sonorisations) et de nombreux espaces lumineux et climatisés adaptés à la taille du groupe.
Les théâtres sont particulièrement adaptés pour la tenue de séances plénières ou de remise de trophées, avec possibilité d’une traduction simultanée.
Tous les bars et restaurants gastronomiques et ponts extérieurs sont également privatisables à l’occasion de cocktails, dîners et soirées.
Une croisière, c’est un village flottant. On dort, on se restaure, on travaille. On se divertit, on s’amuse, on fait du sport, on joue, on se retrouve, on s’isole, on se donne du temps, on se détend. Le Spa est un espace particulièrement sollicité.
Une croisière c’est une autre façon de découvrir le monde. Tout devient possible pour les clients MICE : transferts privatifs, guides dédiés, privatisation d’un musée, d’une visite ou même d’une plage avec DJ pour une fête pieds dans le sable, comme ce fut le cas récemment à Palma.
Une croisière Costa, c’est "b[la maîtrise d’un budget]b".
Des transports aux ports d’embarquement, à la pension complète, en passant par les boissons et excursions et/ou une soirée de gala, la croisière sera du tout compris (de l’ordre de 150€ par jour et par personne).
« Ce sont des prix nets et justes avec du stock au départ de Marseille, » souligne Georges Azouze.
Le client MICE : un consommateur haute contribution
Le client MICE est un consommateur de haute contribution. Il apprécie les cabines haut de gamme avec balcons, les expériences gastronomiques.
« Sur le plan économique, il est important. Il crée des vocations et génère de nouveaux venus à la croisière.
Les passagers viennent invités par une entreprise, ils découvrent et reviennent à titre personnel, » précise Georges Azouze.
Il souhaiterait que les agences de voyages françaises soient plus attentives à une production croisière adaptée au MICE. A l’entendre, il n’y aurait en France que deux agences événementielles spécialisées dans la croisière.
La marge de progression est vaste. Rappelons qu’en France, le taux de pénétration de la croisière n’est que de 0,9%. En clair, 99% des vacanciers français ne connaissent pas la croisière.
Le développement du MICE est l’un des objectifs d’Annika Gummesson, directrice générale de Costa France depuis septembre 2016. Pour avoir effectué une partie de sa carrière chez Carlson Wagonlit Travel, elle connaît bien le secteur du MICE en général, du tourisme d’affaires en particulier.
Laissons le mot de la fin à Norbert Stiekema, vice-président exécutif sales et marketing de Costa Croisières de passage à Paris pour une série de réunions avec ses partenaires : « en France, on assiste à beaucoup de changements.
A nous d’adopter la bonne stratégie pour les trois prochaines années. 2016 est a été en phase avec le budget. Il y a même eu une croissance importante, non pas à travers une réduction des prix mais par la reconnaissance de la valeur du produit ».
« Sur le plan économique, il est important. Il crée des vocations et génère de nouveaux venus à la croisière.
Les passagers viennent invités par une entreprise, ils découvrent et reviennent à titre personnel, » précise Georges Azouze.
Il souhaiterait que les agences de voyages françaises soient plus attentives à une production croisière adaptée au MICE. A l’entendre, il n’y aurait en France que deux agences événementielles spécialisées dans la croisière.
La marge de progression est vaste. Rappelons qu’en France, le taux de pénétration de la croisière n’est que de 0,9%. En clair, 99% des vacanciers français ne connaissent pas la croisière.
Le développement du MICE est l’un des objectifs d’Annika Gummesson, directrice générale de Costa France depuis septembre 2016. Pour avoir effectué une partie de sa carrière chez Carlson Wagonlit Travel, elle connaît bien le secteur du MICE en général, du tourisme d’affaires en particulier.
Laissons le mot de la fin à Norbert Stiekema, vice-président exécutif sales et marketing de Costa Croisières de passage à Paris pour une série de réunions avec ses partenaires : « en France, on assiste à beaucoup de changements.
A nous d’adopter la bonne stratégie pour les trois prochaines années. 2016 est a été en phase avec le budget. Il y a même eu une croissance importante, non pas à travers une réduction des prix mais par la reconnaissance de la valeur du produit ».