L’action thermique a son importance : l’eau de mer utilisée à des températures diverses ne produit pas les mêmes effets - DR Delmas - Alliance Pornic
L’action chimique percutanée traduit le phénomène d’absorption de l’eau et des éléments qu’elle contient par la peau.
Il est aujourd’hui admis que ces particules traversent la peau à des doses infinitésimales dans certaines conditions de température et de concentration.
Cette action ne peut avoir lieu que lorsque la température de l’eau est supérieure ou égale à 32° et que l’immersion dure plus de 12 minutes consécutives.
Au cours des bains de mer chauds s’opère une réelle minéralisation par absorption au travers de la peau, stimulant ainsi les fonctions vitales.
Ces bains permettent le renouvellement des oligo-éléments et des sels minéraux nécessaires à l’équilibre.
Il est aujourd’hui admis que ces particules traversent la peau à des doses infinitésimales dans certaines conditions de température et de concentration.
Cette action ne peut avoir lieu que lorsque la température de l’eau est supérieure ou égale à 32° et que l’immersion dure plus de 12 minutes consécutives.
Au cours des bains de mer chauds s’opère une réelle minéralisation par absorption au travers de la peau, stimulant ainsi les fonctions vitales.
Ces bains permettent le renouvellement des oligo-éléments et des sels minéraux nécessaires à l’équilibre.
Le principe d’Archimède
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L’action mécanique nous ramène au principe d’Archimède (287 – 215 avant J.-C.). « Tout corps plongé dans un fluide au repos, entièrement mouillé par celui-ci ou traversant sa surface libre, subit une force verticale, dirigée de bas en haut et opposée au poids du volume de fluide déplacé ».
En clair le corps semble en état d’apesanteur, impression particulièrement ressentie dans l’eau de mer. Salée donc plus dense que l’eau douce, elle bénéficie d’une pression hydrostatique plus élevée.
Dans l’eau de mer le corps peut donc réaliser des mouvements avec plus d’aisance qu’à l’air libre.
Il est alors possible de faire jouer les articulations dans leur amplitude maximale en ne mettant en jeu qu’une faible contraction musculaire.
La pression hydrostatique stimule également la circulation sanguine en agissant sur les veines périphériques et les capillaires. Elle favorise le retour veineux qui, lorsqu’il est défectueux, génère le phénomène des jambes lourdes.
En clair le corps semble en état d’apesanteur, impression particulièrement ressentie dans l’eau de mer. Salée donc plus dense que l’eau douce, elle bénéficie d’une pression hydrostatique plus élevée.
Dans l’eau de mer le corps peut donc réaliser des mouvements avec plus d’aisance qu’à l’air libre.
Il est alors possible de faire jouer les articulations dans leur amplitude maximale en ne mettant en jeu qu’une faible contraction musculaire.
La pression hydrostatique stimule également la circulation sanguine en agissant sur les veines périphériques et les capillaires. Elle favorise le retour veineux qui, lorsqu’il est défectueux, génère le phénomène des jambes lourdes.
Températures différentes, effets différents
L’action thermique a son importance : l’eau de mer utilisée à des températures diverses ne produit pas les mêmes effets.
Les bains froids de 15° à 17° ont une action stimulante. Ils provoquent une vasoconstriction (2) des capillaires de la peau compensée par une vasodilatation dans tous les organes profonds. Cela se traduit par des frissons et une accélération rythme cardiaque.
Les bains tempérés de 28 à 32 ° sont plus toniques. Les bains chauffés de 33° à 35 ° permettent le passage d’oligo-éléments et de sels minéraux dans l’organisme. Ils réhydratent et compensent d’éventuelles carences ioniques.
Les bains chauds à 38 ° dilatent les vaisseaux sanguins principalement les capillaires et accélèrent la pénétration des ions.
(1) Ion : atome ou groupe d’atomes ayant gagné ou perdu un ou plusieurs électrons sous l’action de rayonnements ou de l’électrolyse.
(2) La vasoconstriction désigne la diminution du calibre des vaisseaux sanguins et la vasodilatation, en opposition, l’augmentation du calibre de ces vaisseaux.
(Source : Guide de la Thalassothérapie. Editions Liber Genève).
Les bains froids de 15° à 17° ont une action stimulante. Ils provoquent une vasoconstriction (2) des capillaires de la peau compensée par une vasodilatation dans tous les organes profonds. Cela se traduit par des frissons et une accélération rythme cardiaque.
Les bains tempérés de 28 à 32 ° sont plus toniques. Les bains chauffés de 33° à 35 ° permettent le passage d’oligo-éléments et de sels minéraux dans l’organisme. Ils réhydratent et compensent d’éventuelles carences ioniques.
Les bains chauds à 38 ° dilatent les vaisseaux sanguins principalement les capillaires et accélèrent la pénétration des ions.
(1) Ion : atome ou groupe d’atomes ayant gagné ou perdu un ou plusieurs électrons sous l’action de rayonnements ou de l’électrolyse.
(2) La vasoconstriction désigne la diminution du calibre des vaisseaux sanguins et la vasodilatation, en opposition, l’augmentation du calibre de ces vaisseaux.
(Source : Guide de la Thalassothérapie. Editions Liber Genève).