16 tour-opérateurs ont été invités par l'office du tourisme de Thaïlande pour échanger sur les nouvelles tendances de la destination. DR-LAC
De nombreuses destinations profitent de la COP 21 pour communiquer sur leurs engagements en matière d'éco-tourisme.
La Thaïlande ne fait pas exception. A ceci près que la destination fut l'une des premières à promouvoir cette thématique dès 2010.
Car au delà des célèbres plages de Phuket ou de la trépidante mégalopole de Bangkok, le pays veut plus que jamais inciter les touristes à sortir des sentiers battus.
"Nous souhaitons qu'ils se rendent dans les communautés et les petits villages, à la découverte de nos traditions et de notre patrimoine", explique Kobkarn Wattanavrangkul, la ministre du tourisme, venue spécialement à Paris rencontrer une quinzaine de tour-opérateurs mardi 1er décembre.
Pour les guider, l'office du tourisme a édité sept petites brochures de présentation sur des régions méconnues.
De quoi donner un aperçu des forêts de palmiers de Huai Raeng, des villages sur pilotis de Ko Klang, de la communauté de tisserands de Ban Na Ton Chan, des bouddhiste de Khlong Daen, des potiers de Ban Chiang (UNESCO).
La Thaïlande ne fait pas exception. A ceci près que la destination fut l'une des premières à promouvoir cette thématique dès 2010.
Car au delà des célèbres plages de Phuket ou de la trépidante mégalopole de Bangkok, le pays veut plus que jamais inciter les touristes à sortir des sentiers battus.
"Nous souhaitons qu'ils se rendent dans les communautés et les petits villages, à la découverte de nos traditions et de notre patrimoine", explique Kobkarn Wattanavrangkul, la ministre du tourisme, venue spécialement à Paris rencontrer une quinzaine de tour-opérateurs mardi 1er décembre.
Pour les guider, l'office du tourisme a édité sept petites brochures de présentation sur des régions méconnues.
De quoi donner un aperçu des forêts de palmiers de Huai Raeng, des villages sur pilotis de Ko Klang, de la communauté de tisserands de Ban Na Ton Chan, des bouddhiste de Khlong Daen, des potiers de Ban Chiang (UNESCO).
Trouver de nouveaux relais de croissance.
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Pour les tour-opérateurs présents lors de cette conférence, l'éco-tourisme thaïlandais n'est pas un vain argument marketing.
"La Thaïlande est la seule en Asie du sud-est où vous pouvez trouver un lodge sur la plage avec un vrai engagement écologique. Il y a une véritable offre touristique à ce sujet et les demandes commencent à affluer ", assure Clémence Bloc, de la Maison de l'Indochine.
Le tourisme vert permettra ainsi au pays d'offrir de nouveaux produits à une clientèle de fidèles, qui représentent 60% des entrées.
L'occasion également pour les tour-opérateurs de reprendre la main sur une destination désintermédiée où seuls 23% des visiteurs passent par un professionnel pour voyager.
La Thaïlande souhaite également se positionner sur le tourisme haut de gamme, en s'appuyant sur la publication du city guide Louis Vuitton de Bangkok en octobre dernier.
"Nous avons une offre d'hôtels de luxe et d'excellents restaurants encore peu connus. Nous aimerions les mettre en avant pour devenir une destination de luxe abordable", explique Areerat Chunprapanusorn, la directrice de l'OT France.
De quoi faire grimper le panier moyen quotidien des Français, qui s'élève aujourd'hui à 105 euros, pour 17 jours de voyage en moyenne.
Ces derniers sont toujours plus nombreux à se rendre en Thaïlande, qui affiche une croissance de 5% entre janvier et octobre dernier.
Elle devrait atteindre son objectif de 650 000 Français d'ici la fin de l'année, contre 632 000 l'an passé.
Le pays n'a pas souffert des attentats qui ont endeuillé Bangkok en aout dernier. Bien au contraire, les réservations hivernales chez les tour-opérateurs sont excellentes.
"La Thaïlande est la seule en Asie du sud-est où vous pouvez trouver un lodge sur la plage avec un vrai engagement écologique. Il y a une véritable offre touristique à ce sujet et les demandes commencent à affluer ", assure Clémence Bloc, de la Maison de l'Indochine.
Le tourisme vert permettra ainsi au pays d'offrir de nouveaux produits à une clientèle de fidèles, qui représentent 60% des entrées.
L'occasion également pour les tour-opérateurs de reprendre la main sur une destination désintermédiée où seuls 23% des visiteurs passent par un professionnel pour voyager.
La Thaïlande souhaite également se positionner sur le tourisme haut de gamme, en s'appuyant sur la publication du city guide Louis Vuitton de Bangkok en octobre dernier.
"Nous avons une offre d'hôtels de luxe et d'excellents restaurants encore peu connus. Nous aimerions les mettre en avant pour devenir une destination de luxe abordable", explique Areerat Chunprapanusorn, la directrice de l'OT France.
De quoi faire grimper le panier moyen quotidien des Français, qui s'élève aujourd'hui à 105 euros, pour 17 jours de voyage en moyenne.
Ces derniers sont toujours plus nombreux à se rendre en Thaïlande, qui affiche une croissance de 5% entre janvier et octobre dernier.
Elle devrait atteindre son objectif de 650 000 Français d'ici la fin de l'année, contre 632 000 l'an passé.
Le pays n'a pas souffert des attentats qui ont endeuillé Bangkok en aout dernier. Bien au contraire, les réservations hivernales chez les tour-opérateurs sont excellentes.