Il était d’autant plus important que ce plan fonctionne correctement étant donné que la Sobelair assurait la majorité des opérations de ces voyagistes. Un échec aurait pu avoir des conséquences commerciales et financières catastrophique pour ces TO qui globalement ont une part de marché de plus de 40 % du tourisme organisé. Sans parler des problèmes humains et sociaux que les touristes clients auraient connus, surtout ceux qui devaient revenir en Belgique.
Mardi 20 janvier, tous les vols de Jetair – à destination de Ténérife, Alicante, Almeria, Hurghada, Djerba et Monastir – ont pu avoir lieu, certains à l’heure prévue d’autres avec des retards variables.
La priorité est à la sécurité
Jetair avait informé toutes les AGV et tous les vacanciers sur les données de vols et sur ces solutions aériennes alternatives. Des temps d’attente imprévus sont ainsi théoriquement exclus. La plupart des opérations ont respectés les horaires communiqués avant la faillite de Sobelair.
Le plan respecte la législation puisque toute manière le TO est obligé d’avertir d’avance tous les vacanciers en cas de modification des horaires. Le seul plus du plan c’est de confirmer les vols dont les heures de vols ne sont pas modifiées.
Quant à la sélection des compagnies aériennes qui doivent remplacer les vols devant être opérés par Jetair, le groupe a déclaré : "En ce qui concerne le choix des compagnies aériennes, la priorité est à la sécurité.
Les vols sont effectués par des compagnies aériennes européennes qui – tant sur le plan de technique que de sécurité – répondent à tous les critères internationaux (J.A.A., critères Joint Aviation Authority)". En d’autres mots la filiale belge du groupe TUI semble avoir exclu les compagnies charters du Sud et de l’Est de la Méditerranée.
Le problème se situe au niveau des charters long-courriers
Si pour les vols courts et moyens courriers, il existe des solutions de rechange assez facile à mettre en place, ce n’est absolument pas le cas pour les destinations lointaines. En effet, la flotte de Thomas Cook Airlines (Belgium) assure déjà l’essentiel des besoins non long haul pour ce voyagiste.
Quant à la flotte de la compagnie aérienne en cours de création de TUI en Belgique, limitée au départ à deux appareils, le groupe a annoncé que celle-ci allait être agrandie avec l’apport d’appareils du groupe TUI pouvant être dégagés en Allemagne et en Grande Bretagne.
Par contre, le problème se situe au niveau des charters long-courriers. En Belgique, ces vols n’étaient plus assurés, après la disparition de City Bird, que par la Sobelair. D’après nos sources, les deux grands groupes sont en train de discuter ensemble pour trouver une solution. Certains responsables nous ont même confié que l’éventualité de la création d’une compagnie commune ne serait pas à exclure.
Mardi 20 janvier, tous les vols de Jetair – à destination de Ténérife, Alicante, Almeria, Hurghada, Djerba et Monastir – ont pu avoir lieu, certains à l’heure prévue d’autres avec des retards variables.
La priorité est à la sécurité
Jetair avait informé toutes les AGV et tous les vacanciers sur les données de vols et sur ces solutions aériennes alternatives. Des temps d’attente imprévus sont ainsi théoriquement exclus. La plupart des opérations ont respectés les horaires communiqués avant la faillite de Sobelair.
Le plan respecte la législation puisque toute manière le TO est obligé d’avertir d’avance tous les vacanciers en cas de modification des horaires. Le seul plus du plan c’est de confirmer les vols dont les heures de vols ne sont pas modifiées.
Quant à la sélection des compagnies aériennes qui doivent remplacer les vols devant être opérés par Jetair, le groupe a déclaré : "En ce qui concerne le choix des compagnies aériennes, la priorité est à la sécurité.
Les vols sont effectués par des compagnies aériennes européennes qui – tant sur le plan de technique que de sécurité – répondent à tous les critères internationaux (J.A.A., critères Joint Aviation Authority)". En d’autres mots la filiale belge du groupe TUI semble avoir exclu les compagnies charters du Sud et de l’Est de la Méditerranée.
Le problème se situe au niveau des charters long-courriers
Si pour les vols courts et moyens courriers, il existe des solutions de rechange assez facile à mettre en place, ce n’est absolument pas le cas pour les destinations lointaines. En effet, la flotte de Thomas Cook Airlines (Belgium) assure déjà l’essentiel des besoins non long haul pour ce voyagiste.
Quant à la flotte de la compagnie aérienne en cours de création de TUI en Belgique, limitée au départ à deux appareils, le groupe a annoncé que celle-ci allait être agrandie avec l’apport d’appareils du groupe TUI pouvant être dégagés en Allemagne et en Grande Bretagne.
Par contre, le problème se situe au niveau des charters long-courriers. En Belgique, ces vols n’étaient plus assurés, après la disparition de City Bird, que par la Sobelair. D’après nos sources, les deux grands groupes sont en train de discuter ensemble pour trouver une solution. Certains responsables nous ont même confié que l’éventualité de la création d’une compagnie commune ne serait pas à exclure.