Forfait-flash n'est plus dans la course pour le Grand prix d'Espagne de Formule1 ce week-end à Barcelone / photo dr
Comment et où trouver des places et des chambres pour les clients qui ont acheté des forfaits pour le Grand prix d'Espagne de F1 qui a lieu ce week-end ?
Les distributeurs qui ont acheté des prestations chez Forfait-flash se retrouvent le bec dans l'eau.
Plusieurs centaines d'agences seraient dans ce cas mais Emmanuel Filiu, le président de CCEE, propriétaire de Forfait-flash joint hier soir, dit ne pas être au courant....
Pourtant, il explique que la revente de Port Aventura, c'est fini pour Forfait-flash. La rupture entre le parc et le producteur franco-espagnol est intervenue après un clash avec un fournisseur du parc, l’entreprise espagnole SERHF.
« Nous avons la mauvaise surprise, après le rachat de Forfait-flash en novembre dernier, de voir ce fournisseur nous réclamer 1,2 millions d’euros pour impayés divers et variés », explique Emmanuel Filiu.
Il a fait appel à un cabinet d’audit, en l’occurrence Pricewaterhouse Coopers qui a trouvé, à l’inverse, que c’était SERHF qui devait 1,5 millions au tour-opérateur, selon les dires du président. Forfait-flash porte plainte.
Une première citation au tribunal aurait donné raison au TO mais tout ceci envenime les relations avec PortAventura. Certains clients se voient refuser des prestations achetées chez Forfait-flash. Les commandes réalisées ne sont pas honorées.
« Nous avons même placé des collaborateurs dans le parc pour qu’ils rachètent au prix fort, les prestations refusées pour que la clientèle ne se rende compte de rien ».
Les distributeurs qui ont acheté des prestations chez Forfait-flash se retrouvent le bec dans l'eau.
Plusieurs centaines d'agences seraient dans ce cas mais Emmanuel Filiu, le président de CCEE, propriétaire de Forfait-flash joint hier soir, dit ne pas être au courant....
Pourtant, il explique que la revente de Port Aventura, c'est fini pour Forfait-flash. La rupture entre le parc et le producteur franco-espagnol est intervenue après un clash avec un fournisseur du parc, l’entreprise espagnole SERHF.
« Nous avons la mauvaise surprise, après le rachat de Forfait-flash en novembre dernier, de voir ce fournisseur nous réclamer 1,2 millions d’euros pour impayés divers et variés », explique Emmanuel Filiu.
Il a fait appel à un cabinet d’audit, en l’occurrence Pricewaterhouse Coopers qui a trouvé, à l’inverse, que c’était SERHF qui devait 1,5 millions au tour-opérateur, selon les dires du président. Forfait-flash porte plainte.
Une première citation au tribunal aurait donné raison au TO mais tout ceci envenime les relations avec PortAventura. Certains clients se voient refuser des prestations achetées chez Forfait-flash. Les commandes réalisées ne sont pas honorées.
« Nous avons même placé des collaborateurs dans le parc pour qu’ils rachètent au prix fort, les prestations refusées pour que la clientèle ne se rende compte de rien ».
Accélérer les projets de développement de nouveaux produits
Pour remplacer ce manque à gagner, l’entreprise dit accélérer les projets de développement de nouveaux produits - comme une programmation d’Ibiza, destination pour laquelle Forfait-flash se serait engagé sur des allottements hôteliers.
Le producteur a élargi sa production sur l’ensemble de l’Espagne mais pas seulement. Il s’est engagé auprès de 16 hôtels en Tunisie « pendant les événements ».
« Le timing était bon et si les contrats ne portent pas leurs fruits cette année, cela ira beaucoup mieux l’année prochaine », estime Emmanuel Filiu.
En fait, c’est une production généraliste que veut atteindre l’entreprise franco-espagnole avec des hôtels au Costa Rica, à Lambok, au Mexique, etc avec une distribution réalisée à 50/50 en circuit court et par les agences. Info ou intox, difficile à savoir pour le moment...
Cette course en avant, le patron de Forfait-flash dit la contrôler. Le développement de la production généraliste nécessitera un investissement de 3 millions d’euros … mais elle sera revendue non seulement en France et en Espagne mais également en Grande-Bretagne, Allemagne et Russie.
En attendant, en France, le producteur est référencé par Havas by Carlson pour la région du Sud-Ouest. Un réseau que nous avons (vainement) tenté de joindre pour savoir si les derniers incidents de Port Aventura pouvaient avoir une conséquence sur le référencement du TO.
Emmanuel Filiu estime que cette année sera difficile, avec le manque à gagner de Port Aventura - et ne parlons pas des conséquences sur les forfaits autour de la Formule 1 - mais il table sur un chiffre d’affaires de 70 millions d’euros en 2012.
Il dit avoir les ressources financières pour passer le cap 2011. Que l’APST se rassure, la caution de Forfait-flash ne dépend pas d’elle… Ouf !
Le producteur a élargi sa production sur l’ensemble de l’Espagne mais pas seulement. Il s’est engagé auprès de 16 hôtels en Tunisie « pendant les événements ».
« Le timing était bon et si les contrats ne portent pas leurs fruits cette année, cela ira beaucoup mieux l’année prochaine », estime Emmanuel Filiu.
En fait, c’est une production généraliste que veut atteindre l’entreprise franco-espagnole avec des hôtels au Costa Rica, à Lambok, au Mexique, etc avec une distribution réalisée à 50/50 en circuit court et par les agences. Info ou intox, difficile à savoir pour le moment...
Cette course en avant, le patron de Forfait-flash dit la contrôler. Le développement de la production généraliste nécessitera un investissement de 3 millions d’euros … mais elle sera revendue non seulement en France et en Espagne mais également en Grande-Bretagne, Allemagne et Russie.
En attendant, en France, le producteur est référencé par Havas by Carlson pour la région du Sud-Ouest. Un réseau que nous avons (vainement) tenté de joindre pour savoir si les derniers incidents de Port Aventura pouvaient avoir une conséquence sur le référencement du TO.
Emmanuel Filiu estime que cette année sera difficile, avec le manque à gagner de Port Aventura - et ne parlons pas des conséquences sur les forfaits autour de la Formule 1 - mais il table sur un chiffre d’affaires de 70 millions d’euros en 2012.
Il dit avoir les ressources financières pour passer le cap 2011. Que l’APST se rassure, la caution de Forfait-flash ne dépend pas d’elle… Ouf !